Réputation :
Comme la petite peste adorée ? ♥
Projets :
Eh oh je suis qu'en 1ere année hein é_è
Famille :
Ses parents sont sang pur et elle est fille unique. Sa mère travaille à la banque Gringotts et son père au ministère de la magie.
Histoire :
Petyr Marshall et Arya Baelish se sont rencontrés alors qu’ils étaient chacun à Poudlard, lui en 6e année et elle en 5e. Ils étaient dans le même maison, à Poufsouffle, mais c’est grâce au quidditch qu’ils ont vraiment fait connaissance. Petyr était le gardien des buts et capitaine de l’équipe ; un poste de poursuiveur s’était libéré, car l’élève occupant ce poste – un certain Sebastian – avait passé ses ASPIC l’année passée et avait donc quitté l’école. Arya aimait voler sur un balai, et quand elle vi l’avis de recherche d’un poursuiveur, elle se dit « Pourquoi pas ? »
Une fois les essais terminés, Petyr a décidé qu’Arya intègrerait l’équipe car elle avait été la plus performante, et faut dire qu’il la trouvait très se… Séduisante sur son balai. Ils se sont alors rapprochés pour finalement sortir ensemble. Chacun leur tour, ils ont passés leurs ASPIC puis ont trouvé du travail. Ils se sont acheté une maison et, 9 mois plus tard, naissait une petite fille : Andrea Marshall.
Petyr et Arya étaient tous deux sangs purs, issus de familles aisées et gagnaient bien leur vie. Andrea était leur petit bébé et elle fut vite traitée comme une petite princesse. Bien sûr, cela n’eut pas un impact positif sur son caractère : elle est devenue une vrai petite peste. Pourtant, malgré son caractère peu commode, elle avait développé un grand sens de la loyauté et de l’entraide.
Andrea et ses parents vivaient dans un petit chalet, au milieu des bois. Andrea , en grandissant, avait pris l’habitude de sortir la nuit par sa fenêtre et d’aller se promener dans les bois. Elle se baladait toujours pieds nus car elle se sentait plus à l’aise ainsi. Mais une nuit, peu de temps avant d’atteindre son dixième anniversaire, sa petite balade nocturne ne se passa pas comme prévu.
Le ciel était totalement dégagé et la pleine lune offrait une très bonne vision des environs. Quelques nuits plus tôt, Andrea s’était enfoncée un peu plus dans les bois et avait découvert un grand lac. Cette nuit elle était excitée de voir comment le lac serait avec la pleine lune. Plus elle s’éloignait du petit chalet, plus son excitation grandissait. Elle se mit alors à courir et arriva enfin au bord du lac. Elle en eu le souffle coupé : le lac resplendissait tel mille diamants. Ni une ni deux, Andrea se déshabilla et plongea, crevant la surface lisse de l’eau. Quand elle eut jaugé qu’elle avait assez nagé, elle sorti de l’eau et alla s’installer sur un rocher moussu pour sécher. La fatigue l’emporta et elle s’endormit.
Elle fut réveillée par la fraicheur du petit matin. Le jour pointait mais la lune n’avait pas encore disparue. Andrea se redressa, frissonnante et descendit de son rocher. En se penchant pour prendre ses vêtements, elle jeta un œil en direction du lac s’immobilisa soudain. En face d’elle se tenait un énorme loup, qui la regardait avec deux yeux malveillants. Andrea n’osait plus bouger, gardant les yeux fixés sur la bête. Elle était de toute façon paralysée, de peur certes, mais elle était également fascinée par la puissance que dégageait le loup. Elle était toujours nue, et lorsqu’un coup de vent vint la chatouiller, elle ne put contenir un frisson qui la secoua de la tête aux pieds. A partir de ce moment-là, tout est devenue flou pour Andrea. Alors que quelques secondes avant le temps avait paru figé, il passa au contraire tel un éclair. Quand elle a frissonné, Andrea a bien vu les muscles du loup, saillant sous sa fourrure, se tendrent. Elle ne prit pas la peine de ramasser ses vêtements, elle devait prendre ses jambes à son cou. Mais le loup était rapide, bien plus rapide qu’elle. Elle avait à peine fait demi-tour que le loup était sur elle et l’avait attrapée dans sa gueule par sa hanche gauche. Andrea hurla, sentant chaque croc planté dans sa chair, répandant un poison dans ses veines. Puis soudain, la pression se relâcha. Sa vision était brouillée mais elle put s’apercevoir que le soleil s’était levé, et que, là où aurait dû se trouver le loup, un homme se tenait debout. L’homme la regarda, effrayé par ce qu’il avait fait. Il s’approcha d’elle, les mains tremblantes.
« Je… Je suis désolé, je ne voulais pas… »
Andrea n'avait plus de force, elle ferma les yeux et ce fut le trou noir.
Elle se réveilla le lendemain. Elle était étendu dans un lit, un bandage lui couvrant sa hanche. Ses parents étaient à son chevet, ils avaient l'air fatigué mais heureux de voir leur fille se réveiller.
Ils lui apprirent – ou lui confirmèrent – qu'elle avait été attaqué par un loup garou, et la seule raison pour laquelle elle était encore vivante était le levé du soleil qui avait alors levé le sors. En plus d'être devenue louve garoutte, Andrea ne pourrait manger qu'en petite quantité car la morsure a infligé à ses intestins des dommages irréparables.
Pourtant, Andrea n'était pas inquiète. Ses parents sauraient quoi faire pour l'aider, et la vision du puissant loup s'était imprimé dans son esprit, non comme une crainte mais comme une admiration. Elle était comme ça maintenant, et cette idée lui plaisait.
Comme elle le pensait, les parents d'Andrea firent en sorte qu'elle passe sans encombre l'année qui suivi. Puis Andrea reçu sa lettre d'inscription à Poudlard, elle entrerait en 1ère année a la rentrée prochaine. Ses parents informèrent l'école de l'état dans lequel se trouvait leur fille, qui promi de faire en sorte qu'Andrea vive au mieux sa scolarité.