Bouts de parchemin - Courrier d'Orion Smethwyck

27 Octobre 1943,

Professeur Smethwyck,

Il y'a longtemps que je n'ai pris le temps de prendre de vos nouvelles. Heureusement que mes sœurs m'inondent d’anecdotes à votre sujet. Visiblement ce poste d'enseignant vous va à merveille et j'ose espérer que vous avez moins de travail qu'au Ministère. En ce moment c'est plutôt mouvementé, même si vous trouviez le temps de passer dire bonjour je doute que quiconque ici ai plus de dix minutes à vous accorder.

Nous espérons que tout ceci finisse par ce calmer. Je ne sais pas si j'ai le droit de vous en parler mais je suppose que vos anciens collègues ont peut être prit cette peine, notre première grosse intervention aura lieux demain soir. Après le fiasco de Gringotts ils ont estimé qu'il fallait prendre plus de précautions cette fois ci, j'aurais aimé que vous soyez là pour nous voir à l’œuvre, j'espère que les efforts que nous avons tous fournis ces trois dernières années n'auront pas été en vain.

J’espère également pouvoir passé dans quelques jours, je l'ai promis à mes sœurs ainsi qu'au Professeur Lovelace. Je vous promet de vous faire un récit détaillé de tout ce qui c'est passé, qui sait peut être que cette fois ça vous donnera envie de revenir.
D'ici là portez vous bien.

Amicalement,

Samuel MacKenzie.