Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 August Eastwood

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
avatar
Invité


August Eastwood Empty
MessageSujet: August Eastwood   August Eastwood Icon_minitimeSam 3 Déc - 23:25

August Eastwood

Stuck between a rock and a hard place


Genre :
Masculin
Âge :
19 ans
Métier :
Assistant de l’apothicaire
Lieu de résidence :
Studio à Londres.
Personnage ou auteur de l'avatar :
 OC de superkokia

Familier :
Il parle à ses plants de carottes.
Baguette :
Frêne, ventricule de dragon, 29 cm, plutôt rigide
Patronus :
Un saumon.
Epouvantard :
Des dents gigantesques couvertes de sang prêtes à se refermer sur lui.
Amortentia :
Embrun de l’océan en une matinée froide.

Taille :
1m81
Corpulence :
Un peu de muscles grâce à la course à pied. Un peu de gras à cause de la bièreaubeurre.
Cheveux :
Roux
Yeux :
Bleus
Signes distinctifs :
Des tâches de rousseurs partout sur son corps et une grosse cicatrice de morsure sur son avant-bras droit.
A chaque pleine lune, il devient un loup dont la fourrure à des reflets roux.
Style vestimentaire :
Une cape et un pantalon, ou une robe. Une écharpe quand il fait froid, des gants parfois. Toujours des manches longues pour cacher la cicatrice sur son bras. Rien de très original en sommes.

Qualités :
Fidèle, curieux, déterminé, bienveillant, spontané, sociable
Défauts :
Peureux, secret, cafardeux, influençable, irritable, instable
Préférences :
L’océan, le chocolat, les câlins. Se rouler dans un plaid en buvant un thé. Lire, acheter des bibelots inutiles mais jolis, faire de nouvelles rencontres. Le calme mais aussi les foules. Parfois être seul, parfois être bien entouré. Fumer, danser et courir.
Antipathies :
La chaleur, le chou. Qu’on lui touche les bras. Ceux qui posent trop de questions. Ceux qui ont de trop grandes dents. La lune, surtout pleine. Les forêts trop denses. Se faire traiter de monstre. La douleur, celle qui laisse tremblant ; celle qui coupe le souffle. Les chats.

Que pensez-vous de la situation politique actuelle ?
La politique dépasse un peu le jeune homme. Il a du mal à tout suivre, surtout avec les évènements récents qui l’ont touché personnellement. Ce qui est certain, c’est qu’il n’est pas d’accord avec ceux favorisants les sang-purs – étant donné qu’il est un sang mêlé – et il espère que les temps ne vont pas devenir plus chaotiques, craignant de finir enfermé à cause de son statut de lycan.
Réputation :
Comment est-il perçu ?
Si les personnes ignorent sa lycanthropie, August laisse de plutôt bonnes impressions. Il est sympathique et bienveillant. Cela se ressent. Il aime discuter de tout et rien et n’est pas très sauvage. C’est un ami fidèle, bien que secret sur certains points.
Les rares personnes qui savent ont des réactions variées. Certaines le haïssent sans même le connaitre et seraient prêtes à lui cracher au visage. Parfois, des proches lui ont tourné le dos en apprenant la nouvelle. D’autres sont plus modérés et lui laissent une chance, non sans une certaine méfiance. A cause de cela, il préfère garder sous silence sa malédiction.
Projets :

- Devenir plus puissant et être capable de protéger ses proches.
- Guérir de sa lycanthropie.
- Se montrer plus brave.
Famille  :
August est fils unique. Il vivait à Londres avec ses parents. Sa mère est une sorcière norvégienne avec qui il est en froid depuis sa majorité. Son père était un moldu anglais. Il repose maintenant en paix dans un cimetière à Londres après avoir été tué par un loup garou.


Revenir en haut Aller en bas
Invité
avatar
Invité


August Eastwood Empty
MessageSujet: Re: August Eastwood   August Eastwood Icon_minitimeSam 3 Déc - 23:26

Histoire :

Été 1942.
Quelque part en Norvège.


La porte grinça longuement en s’ouvrant. Une odeur de renfermé envahit les narines de deux arrivants. Leurs pas provoquaient des vagues de poussières sur le sol, agitant les araignées bien installées. Les meubles en bois avaient perdu leur couleur sous la grisaille environnante. Le nez retroussé de dégoût, le jeune August suivait son père de près, craignant toujours qu’une créature ne se soit installée en leur absence. Il avait entendu tant d’histoires de ses amis norvégiens sur les êtres de la forêt locale qu’il en était devenu inquiet. Peureux certes mais pas au point d’attendre dehors. Il faisait face et surveillait tout autour de lui, à l’affut du moindre mouvement. Cette année encore pourtant, seules des souris – et quelques rats peut-être – avaient envahi les lieux. Le duo s’arrêta au milieu du salon et d’un geste de baguette, le plus vieux entreprit de remettre la décoration en état. Les volets s’ouvrirent brusquement. Les fenêtres plus délicatement. La fine brise estivale les caressa. Les moutons de poussière s’échappèrent par l’ouverture, sautant un par un. Les couleurs des rideaux et canapés se ravivèrent tandis que le sol se remit à briller d’un éclat propre. Ce n’était pas parfait. Sa mère prenait le temps de faire sortir les araignées aussi – par dégout de ces dernières. Cependant, elle n’était pas là. Une histoire de travail qui avait retardé de son départ. Tant qu’elle revenait pour le 13 août, les hommes de la famille s’en inquiétaient peu. L’anniversaire d’August était un grand évènement. D’autant plus que cette année : il atteindrait ses dix-huit ans.

La longue journée fut en grande partie dévouée au nettoyage et au rangement. Les deux devaient faire le tour de l’habitation pour s’assurer d’éventuels – très probables – dégâts occasionnés en leur absence. Les hivers rudes de la région avaient tendance à laisser des traces. Et d’autant plus dans le jardin redevenu sauvage. Le père et le fils se regardèrent face à cette étendue de nature et d’un accord silencieux décidèrent de reporter cela au lendemain. Ils avaient mieux à faire. Notamment discuter de l’avenir du plus jeune.

Dans la nuit – brève en cette période – des bruits sourds réveillèrent le rouquin. Se demandant si un animal égaré n’était pas entré dans la maison, il descendit à petits pas, baguette en main. Sa chambre se trouvait à l’étage tandis que celle des parents donnait sur le salon. Grimaçant lorsque les marches semblaient grincer sous son poids, August finit par arriver en bas. Pieds nus, il avança dans le salon lentement, observant autour de lui. Rien ne semblait avoir changé….

Ou presque.
Son regard se posa sur le portrait de famille. Un grand tableau peint par un ami de sa mère trônait au-dessus de la cheminée. Les trois Eastwood s’y tenaient, un sourire aux lèvres. L’œuvre datait de quelques années déjà. Ils l’avaient réalisée lorsque l’enfant avait douze ans. A l’époque, il possédait encore des joues rebondies et un air enfantin. Peut-être une touche d’agacement typique d’adolescent aussi.
Seulement cette fois-ci, la peinture présentait de larges entailles. Les morceaux de toile pendaient en lambeaux. Le visage de son père ne distinguait même plus tandis que celui de sa mère n’était que coupé en deux, pile entre les yeux, au milieu de son sourire. Des marques de griffures et de crocs avaient déchiquetés le portrait. Un frisson d’effroi traversa le dos du jeune homme. Il réalisait seulement le souffle qui caressait sa nuque dans une langueur terrifiante. Un grondement acheva d’assécher sa bouche et couvert de sueurs froides, August se tourna. Lentement. Jusqu’à le voir. Lui. Le monstre. L’instant fut bref. La bête avançait déjà d’un pas vers lui et la gorge nouée par la peur, le roux se protégea de ses bras. Sa baguette ? Oubliée. Il la tenait fermement dans sa main sans y penser. Les crocs sauvages s’enfoncèrent dans la chair de son bras. Des crocs et du sang. Il ne voyait plus que ça. Ses cordes vocales se débloquèrent enfin et un cri de douleur et d’horreur lui échappa avec force. La créature se contenta de cette menue victoire et s’échappa par la fenêtre sans demander son reste, filant sous l’éclat blafard de la Lune.

Les jambes de l’adolescent cédèrent sous son poids. Son hurlement avait réveillé les voisins, de vieux amis sorciers, qui se ruèrent dans la maison. Sans comprendre ce qu’il se déroulait, August se retrouva enroulé dans une couverture et assis sur son canapé. Ses mains tremblaient sans que l’étau sur sa baguette ne se soit défait. Des murmures autour de lui encombraient son esprit toujours ancré sur le tableau. L’image s’imprégnait en lui à jamais. Les adultes cherchaient à ce qu’il n’entende pas leurs propos. Les regards inquiets, horrifiés et attristés se posaient sur lui sans qu’il n’y fasse attention. Perdu dans sa bulle, encaissant ce qu’il venait de se dérouler, le mordu n’avait pourtant pas entendu la pire des nouvelles.

Un an plus tard.
Cimetière à Londres, Angleterre.


Une tombe s’orna d’un bouquet de fleurs blanches, en changé de l’ancien flétri. Du bout des doigts, le jeune homme effleura l’inscription. Son nom en lettres majuscules. Ou plutôt, celui qu’il partageait avec son père. Le loup garou n’avait pas fait qu’une seule victime. August s’en sortait d’ailleurs mieux que son paternel. Marqué à vie et maudit certes, mais vivant. Depuis les funérailles, sa mère s’était montrée distante. Il ne la voyait presque plus. Elle travaillait dur et aux yeux du fils, cachait quelque chose. Ou fuyait. Refusait-elle de faire son deuil ? L’enfant l’avait fait. Pourquoi pas elle ? Qu’est-ce qui la retenait tant ?

Un soupir glissa sur ses lèvres et les questions furent chassées de son esprit. La maison en Norvège avait été vendu. Le tableau brûlé. Les beaux souvenirs ternis par cet évènement macabre. Les premiers mois avaient été les plus difficiles. Perdu dans un mélange de tristesse, de haine et d’impuissance. August s’en voulait. Il voyait encore sa main tremblante serrer la baguette avec force sans l’utiliser. Sa décision avait été de ne plus se montrer si faible, si incapable. Une fois encore, il s’excusa auprès de son père. Il demandait le pardon. Le pardon d’avoir laissé partir son meurtrier. Le pardon d’avoir entendu les bruits si tard. Le pardon d’avoir choisi une autre voie que celle qu’il lui indiquait. Puis s’en suivait les promesses. Promesses de puissance et de connaissance. Au fond de lui, le mordu espérait trouver la solution pour se débarrasser de cette malédiction. Il espérait aussi être capable de protéger les autres sans faillir ni trembler. Des murmures autant pour le défunt que lui-même.
Revenir en haut Aller en bas
Lian Jenkins
Lian Jenkins
Capitaine de Gryffondor
Capitaine de Gryffondor

Date d'inscription : 18/12/2013
Messages : 1163

August Eastwood Empty
MessageSujet: Re: August Eastwood   August Eastwood Icon_minitimeDim 4 Déc - 11:43

Bienvenue!

On t'aime déjà tu sais?



Bonjour, je suis Lian, Admin en charge des validations.
Et bah voilà! C'est fait! Tu est validé et on t'aime déjà! On t'autorise même à nous machouiller le mollet si tu veux et t'offrons des cookies. Ou des os.. c'est comme tu veux.
On est content d'avoir de la chaire fraîche *tousse tousse*
Et on espère tous que tu te plairas ici!
La suite c'est par là!




Félicitation, les portes du forum te sont désormais grandes ouvertes ! Si tu souhaites te présenter un peu plus personnellement à la communauté, n'hésite pas à te présenter en tant que joueur. Tu peux également poster ta fiche de relations et la compléter. Ne sois pas timide et demande des liens avec d'autres personnages ! Si tu cherches un partenaire pour RP pourquoi ne pas répondre à l'une des demandes ou poster la tienne dans les "recherches "? Et avant de fuir, n'oublie pas de remplir ton profil !

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé




August Eastwood Empty
MessageSujet: Re: August Eastwood   August Eastwood Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
August Eastwood
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Absence d'August
» [13 novembre 1943] Le coffre [PV August]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Felix Felicis 1942 :: Le Chaudron Baveur :: Poubelle :: Poubelle des personnages-
Sauter vers: