Little secrets i'm hiding

Cynthia est une vieille amie. Comme la plupart des gens que j'ai fréquenté à Poudlard, la distance nous a séparé, nous nous somme perdu de vus mais le destin l'a conduite récemment à nous réunir. Elle a débarqué un jour chez moi alors que je n'attendais plus grand chose de la vie. Le temps à passé, la vie à continué mais je dois avouer que la fraîcheur des retrouvaille est préférable à la pitié et au chagrin des amis que je n'ai pas perdu. Les liens ce renouent lentement maintenant qu'on sait ou ce trouver.

Eden est une vielle connaissance, et par vieille, je ne parle pas que de son âge. De quelques années mon aînée, nous nous somme toujours bien entendu, et cela, depuis Poudlard, elle et moi nous somme retrouver bien des fois à étudier les rudiment de l'Occlumenci. Et puis la vie l'a porter ailleurs. Quand je l'ai retrouvé, elle était l'amie de Pearl, la maman d'une petite fille, et elle était toujours aussi, changeante. Maintenant que nous somme adulte, notre relation est plus professionnel, elle vient par moment acheter des choses, demander quelques services, ou simplement voir Pearl et nous parler de son adorable petite angé qu'est sa merveilleuse fille. Une maman redoutable.  

On ce connait depuis toujours, ou presque, dés les premier jours, le courant est tout de suite passé entre nous. Il avait tout du pote parfait, il était grande gueule, bagarreur sur les bord, drôle dans son genre, mais il avait aussi quelques défaut le pauvre. Un peu trop bagarreur, un peu trop grand gueule, et pas assez prudent. On était souvent ensemble, enfin, quand il été pas en train de ce battre avec son autre bande. Je lui ai souvent dit de laisser tomber, mais c'était plus fort que lui. Il ne le sait peut être pas, mais il a été d'un grand soutien quand je me suis retrouvé seul, et ça, jusqu’à ce qu'il disparaisse. Renvoyé, évaporé dans la nature, j'ai eu du mal à le garder proche de moi après ça.. un Hibou, par ci par la, mes voyages n’arrangèrent pas les choses.
Et puis un jour, le hasard qui aime bien faire les choses, nous rassembla de nouveau. J'en croyais pas mes yeux, il était, là, après toutes ces années. Instinctivement, les vieilles habitudes revinrent rapidement, c'est presque si comme si on s'était jamais quitté. Il est toujours aussi imprudent, paumé et sombre. Son séjour à l'ombre n'a rien arrangé, mais il sait que tans que je serais vivant, ma porte lui sera toujours ouverte, et mon canapé, à sa disposition.

Ce môme, il a un sacré culot, je dirais même qu'il est pas vite gêné. Un jour, il est entrée chez moi pour quelques courses, j'étais étonné de voir quelqu'un de si jeune entré ici, mais finalement c'était assez intéressant, et puis il est resté.. encore et encore.. Ce n'était pas vraiment le moment car j'attendais un client particularité.. Alors j'ai du rusé, et le présenta comme mon assistant.
Depuis ce petit "imprévus", qui je l'avoue, m'avait pris au dépourvus, je lui ai offert de venir m'aider ici, à la boutique, de temps en temps. Avoir un petit larbin volontaire était tout a fait séduisant.. et puis c'est un enfant, je ne suis pas obligé de le payer une fortune.

Mon deuxième apprenti. J'ai accepté de le prendre à mon service sous la demande de Cynthia. Contrairement à Levy il ce montre plus bavard et agité, mais il est tout aussi volontaire et intéressé alors j'essais de faire abstraction de ses piaillements agaçant qui finissent par me donner mal à la tête..  quelque part ça me prépare à affronter mon propre fils quand celui ci aura apprit à parler..C'est deux fois plus fatiguant.

Un confrère, un des rare à connaitre mon identité, c'est sa retenue qui nous a conduit à ce faire plus ou moins confiance. Il n'est pas dévoué corps et âme à la cause comme beaucoup d'autres. Il a un point de vus plus objectif et ce sert de sa tête. Nous en savons assez l'un sur l'autre pour tenir notre langue mutuellement.

Un client régulier. Il est venus me voir spécialement pour ma réputation à toujours satisfaire le client même si les ingrédient souhaité sont difficile à ce procuré, ou moralement discutable. Un homme sympathique et dévoué à son travail.

Un enmerdeur de première. Arthur s'est entiché de ce mec du jours au lendemain. Je lui ai toujours dis de ce méfier et de prendre ses distance, mais comme ç son habitude il était borné et n'avait rien écouté. Aujourd'hui il s'avère que j'avais raison et que cet homme était Auror. Au moins j'ai une raison de plus de nourrir cette haine que je lui porte.

Un vieil ami, un de ceux qui ai survécu à mon exil dans l'est. On s'envois quelques lettres, parfois on va jusqu'a prendre un verre. Il est Auror, du moins il l'était, aujourd'hui il ne veux plus entendre parler de ça et j'avoue que je me sens un peu plus d'humeur à le fréquenter depuis.