[première semaine de Janvier] Écrit sang sur blanc [Pv Mathias Jefferson]

Une nouvelle année venait à peine de débuter. Une année qui s'annonçait assez spécial.. et qui n'avait rien à voir avec toutes celles déjà écoulés.. Il faut forcément que ça tombe lors de mon dernier semestre ici.. comme si les examen de fin d'années n'étaient pas assez stressant.. voila qu'en plus on viens nous ajouter une dose de glauque et de sinistre avec cette attaque du nouvel an.. on ne parle que de ça absolument partout. Mais le pire ce n'est certainement pas ça.. Voila que pour assurer notre sécurité.. une troupe d'Auror allait nous surveiller de prêt... Manquerait plus que mon père soit réglé à la sécurité de Poudlard, et je peux assurer que c'est certainement la pire année de ma vie qui commence.

Mais je n'allais pas me lamenter sur mon sort, d'ailleur j'avais déjà tout prévus pour faire en sorte de limité les dégâts, et de finir cette année tranquillement.. et puis quand je me met à trop réfléchir, je me noyais dans les révisions, histoire de distraire mon esprit.. jusque là ça avait toujours très bien marché. Je restais tard le soir, souvent seul étant donné que la plupart des gens dormaient déjà tandis que moi, j'avais du mal à trouver le sommeil. Je commençais à en avoir l'habitude d'ailleurs, à force je n'y faisais même plus attention.. Sauf ce soir... J'étais pourtant retourné dans ma chambre, mais il y avait quelque chose qui m'avait trotté dans la tête un petit moment.. Une des portes n'était pas bien fermée.. ce n'est qu'un détail.. les élève sont l'habitude de fermer les portes une fois que tout le monde est parti ce coucher.. il y avait encore quelques élèves dans la salle? A cette heure ci? Ça m'avait tracassé.. pourtant ce n'était pas mes affaires ce que font les autres.. Je n'étais pas préfet après tout.. Alors ce n'était pas mon boulot de les surveillé... et pourtant.. Me voilà debout à inspecté la salle commune. Un feu qui crépite, un livre abandonné là.. la porte qui ce referme dans un léger bruit.
Quelqu'un est sorti.

Peut être que je devrais juste aller me recoucher.. Pourtant je suis déjà dans le couloir à suivre le fuyard.. qu'est ce qui pouvait bien motiver quelqu'un à sortir aussi tard... et puis surtout pourquoi c'est moi qui li cours après? Y'a pas des préfets pour ça?.. Jamais là quand ils faut ces deux là.. Des incapables.. en train de larmoyer dans un coin ou de ce faire poursuivre par des gamines.. Cette simple pensé me tira un soupir agacé.. Non pas que je méritais plus la place de préfet qu'eux deux.. Mais si.. c'était ça en faite... Frustré et passablement agacé, je suivais l'ombre devant moi qui m'apparaissait de plus en plus claire.. Timothy Hardy.. étrangement ça ne m'étonnait pas.. Il avait bien évidement suivis le chemin de la bibliothèque.. ça non plus ça n'a rien d'étonnant... Mais pourquoi maintenant .. en pleine nuit.. Ce gamin est pas possible quand il s'y met.. Par chance il avait évité de croiser la route d'un préfet.. ou pire.. d'un Auror.. je donne pas cher de nos peaux si on tombe sur l'un d'entre eux.. Une fois derrière lui, je m'étais approché pour l'interpeller en posant ma main sur son épaule. Je le senti se raidir sous cette pression, à croire qu'il allait mourir sur place s'il tournait les yeux vers moi.. Il ne s’attendait pas à voir quelqu'un ici, ni à ce faire prendre.. pas de chance pour lui.. je l'avais suivis à la trace.. Je m'étais ensuite penché vers lui pour parler tout bas.. au cas ou..

- Tu crois vraiment que c'est le moment pour des révisions?... Qu'est ce que tu fais là... et me répond pas que c'est pour lire un livre ou je te jure que je t’assomme avec...

Je faisais le moins de bruit possible, chuchotant à toute vitesse tout en jetant quelques regard autour de nous. Je m'étais peut être un peu emporté, mais il n'était pas tout à fait innocent sur ce coup là!

- Et puis avec la tonne d'Auror qui ce balade en ce moment.. à quoi tu pense? Tu veux te faire renvoyé ou quoi?

Fallait aps rester là.. entrer ou ce barrer, mais aps rester la en plein couloir, à la vus de tous. D'un coup de baguette et d'un informulé, j'avais ouvert la porte pour y pousser le jeun serdaigle à l'interrieur.. Au moins ici personne ne nous chercherait.. du moins pour le moment. Mon regard ce posa sur le blondinet, bras croisé et regard perçant, attendant une vague explication de sa part.