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 Mathias Jefferson

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MessageSujet: Mathias Jefferson   Mathias Jefferson Icon_minitimeVen 30 Mai - 11:51

Mathias Jefferson

Come break me down


Genre :
Masculin
Âge :
17 ans
Lieu de résidence :
 Loutry Ste Chaspoule
Maison :
Serdaigle
Année :
7 eme année.
Personnage ou auteur de l'avatar :
Tetsuro Kuroo - Haikyuu!!

Familier :
Un chat noir du nom de Présage
Baguette :
Aubépine, dragon, 23 centimère, rigide.
Patronus :
Un orque.
Epouvantard :
Son père
Balai :
Comète 180
Amortentia :
L'odeur de chocolat et un parfum de lilas frais.
Matières :
 Astronomie (A) ; Botanique (E) ; Défense contre les forces du Mal (O); Histoire de la magie (A) ; Métamorphose (O); Potions (E); Sortilèges (O); Étude des runes (E) ; Arithmancie (E)

Taille :
Plutôt grand, dans les un 1m80.
Corpulence :
Fin et sec, une fine musculature due à sa condition de joueur de quidditch
Cheveux :
Noir, mis long, avec un léger reflet brun au soleil. Ils sont bien souvent décoiffé et à du mal à les discipliner.
Yeux :
Brun, tirant vers le vert
Signes distinctifs :
• Deux cicatrices discrètes, une en bas des reins et l'autre sur son avant bras droit.
• Souffre d'un léger trouble obsessionnel  compulsif, plus précisément l'obsession de l'ordre et la compulsion de rangement. Même s'il ce dit simplement quelqu'un d’ordonné et de méticuleux, il est réellement obsédé par l’ordre, la symétrie et l’exactitude. Inconsciemment il a donc quelques "rituels" qui consistent à ranger les objets en permanence, à les disposer selon un agencement précis (comme leurs couleurs ou leurs taille), plier du linge d’une certaine façon, etc ...
• Claustrophobe.
Style vestimentaire :
Sobre, des chemises simples, des pantalons droit, quelques chandails le tout de bonne qualité. Il n'aime pas particulièrement ce démarquer des autres en portant des vêtement de couleur trop vive, il tien tout de même à rester élégant quelque que soit la tenue et présente toujours très bien même si, étrangement, il semble ne pas apprécier les cravates.

Qualités :
Assidu, Fidèle, Protecteur, Appliqué, Autonome, Intelligent, Contentieux, Déterminer, Intuitif, Digne de confiance, Mature, Organisé, Ordonné, Romantique, Sensible, Studieux, Vigilant, Perspicace.  
Défauts :
Angoissé, Entêté, Anxieux, Distant, Impulsif, Jaloux, Renfermé, Secret, Maniaque, Sombre, Timide, Lunatique, Envieux, Triste, Méfiant, se Dévalorise souvent, Nerveux, Excessif, Instable, Plus fragile qu'il en a l'air.
Préférences :
Poudlard, Les espaces vert, Marcher pied nus, Ranger des choses, Qu'on lui propose de ranger les choses, Etudier, Les bonbons à la menthe, Le calme des nuits d'été, Kay, Le chocolat sous toute ses formes, Les roman à l'eau de rose, La musique (il aimerait bien en faire d'ailleur), le Quidditch, Voler, Les fruits surtout la mangue, Les plats à base de curry, le Thé vert, les Personnes gentilles, extraverties et amusantes, Passer des heures sous une douche chaude,
Antipathies :
Sa "famille", les Vacances, le Noir, les Espaces clos, le Désordre, ses TOC (même s'il prétend ne pas en avoir), les Personnes agressives, la Violence gratuite, être Malade, l'Alcool (aucune résistance ... bourré avec un bonbon monchéri), les Mélanges sel-sucre, les Rumeurs de commères, l’intolérance, les fouineurs.

Réputation :
Mathias est vus comme le garçon gentil, le bon ami, celui qui es discret mais sympathique, intelligent mais modeste, ses conseils sont avisés, sa compagnie est agréable et c'est un bon joueur de quidditch. Il aurait put être préfet, ou même capitaine de l'équipe, mais il y avait toujours quelqu'un quelque part qui semblait meilleurs que lui.
Peut être qu'il est un peu bizarre Mathias, il passe du sourire à la mine sombre en une fraction de seconde. Parfois vous lui parlez et il tourne simplement les talons pour partir. Il est intelligent et bon élève, pourtant il n'a pas l'air d'en être satisfait, pire, ça semble l'accabler malgrés les félicitions de ses professeurs. Il a aussi quelques manies, amusantes pour certain, agaçante pour d'autres, on le prend juste pour quelqu'un de très ordonné, même si cette obsession tourne parfois au ridicule. Au cour de sa cinquième année il a passé tout un mois à ranger et classer les livres de la bibliothèque par auteur et par taille, comme ça, soit disant parce que ça l'occupe.
Mais il est gentil Mathias, sauf quand il ce met à crier, parfois pour rien, une tape dans le dos, un sourire en trop, et c'est l'explosion de colère, comme ça, sans prévenir, d'ailleurs on sait pas vraiment pourquoi, y'a juste des jours ou il est pas d'humeur. Des jours ou il vaut mieux le laisser seul sans vraiment chercher à lui parler si on veut éviter une remarque déplaisante ou simplement un regard noir suivie du vent le plus magistrale du monde. A croire que c'est simplement votre présence qui l’énerve..
Mystérieux, peut être un peu trop, ou pas assez.. juste assez pour qu'on ce demande ce qui lui trotte dans la tête. Il a l'air tourmenté des fois, et puis anxieux aussi à croire que quelque chose l'inquiète, mais on sait jamais quoi. Parfois il ce parle tout seul, et marmonne tout bas, il dit que ça l'aide à réfléchir, y'en a qui disent que c'est une façon pour calmer ses nerfs, pourtant, on sait toujours pas ce qui le préoccupe à ce point. Un grand perfectionniste peut être? l’éternel insatisfait? Mais on fait avec parce qu'au fond il est gentil, il a peut être juste une araignée au plafond, ou des secrets enfouit dans le placard de son esprit.
Mais c'est un bon ami Mathias, il sait garder les secrets, peut être même qu'il les gardera jusque dans sa tombe. Il est honnête, en faite, il ne sait même pas mentir, il essai parfois, mais c'est certainement un des rare domaine ou il ce montre particulièrement médiocre. Il bafouille, rougit, contourne la question.. bref.. il n'y arrive pas. Alors on peut dire qu'il est digne de confiance. Quand on a sa confiance, on peut être certain qu'il vous trahira jamais, la confiance c'est important, comme les amis, s'il vous considère comme un ami vous pouvez être certain qu'il sera le premier à vous défendre, parce qu'il est protecteur même si on dit qu'il est timide. Quand on s'en prend à ceux qu'il apprécis il peut ce montrer vraiment mauvais, peut être même un poil excessif, et alors là, une fois de plus, c'est l'explosion de colère. Pourtant parfois, c'est vraiment pas méchants, quelques mots blessant ou une petite bousculade, ça suffit à le faire sortir hors de ses gonds. Suffit de pas l’énerver ou de jouer les tyrans quand il est pas dans les parages.
Mathias, c'est le jour et la nuit réunie, la plupart du temps ça passe, mais d'autre fois ça casse.

Projets :
Pour le moment il n'est obsédé que par les ASPIC, son père veux qu'il suive ses traces en devenant Auror, c'est donc l'objectif qu'il s'est fixé même si ce rêve est plus celui de son père que le sien. Il n'a concrètement aucun projets personnel.
Famille  :
Sang mélé. Son père, Oscar Jefferson est un Auror réputé, à la carrière et au travail exemplaire. Sa mère est morte en lui donnant la vie il ne l'a donc jamais connus, il n'a d'elle que quelques récits comptés par sa grand mère lorsque il été petit. Son père s'étant remarié, il a maintenant une belle mère d'a peine dix ans son aînée du nom de Rosalia, cette dernière va d'ailleurs bientôt lui donner un demis frère, ou une demis sœur.
Histoire :
~ Pas de place /o/


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MessageSujet: Re: Mathias Jefferson   Mathias Jefferson Icon_minitimeVen 30 Mai - 11:53

L'histoire de Mathias commence bien longtemps avant sa naissance, avec le mariage de ses parents. Oscar Jefferson, âgé d'à peine 20 ans, épousa Margarette Grant. Une union arrangé, un contrat passé entre deux familles de sorciers cherchant à redorer leurs noms et leurs valeur. La père Jefferson, Auror de son état, a vus le nom de sa famille souillé par quelques rumeurs et complot l'accusant de corruption et de trafics avec un mage noir. Même si les fait n'ont jamais pus être prouvés, l'homme n'a jamais cessé de clamer son innocence. Sa carrière et son nom furent salis après le scandale, mais il comptait bien le redorer grâce à son fils, Oscar, d'une main de fer, il l'éleva dans le seul but que ce dernier le succède au rang d'Auror, à ses 15 ans, il passa un contrat avec une famille de sorcier sang mélé, les Grant. Le père Grant était sang pur, il épousa une moldu et donna naissance à une fille, Margarette. La famille Grant vécu cette union comme une sorte d’échec, même s'ils n'avaient pas vraiment d’antipathie pour les moldu, ils auraient préféré gardé la pureté de leurs sang, c'est pourquoi, à la mort du père Grant, c'est son frère aîné qui persuada la jeune veuve de marier sa fille sorcière à un héritier de bonne famille. Par quelques connaissance, les deux familles furent mis en relations et très vite, les fiançailles furent célébrés. Une réjouissance pour leurs parents, une contrainte pour les deux époux. Il n'ont jamais su s'aimer, quelques soit les effort fournis. Quelques années s'écoulèrent sans qu'ils ne consentent à donner une descendance à cette nouvelle union. Le père Jefferson fit pression sur son fils comme il l'avait toujours fait pour que celui ci lui donne un hérité. Un garçon, absolument, seul un garçon pouvait transmettre son nom aux générations suivante, et il n'était pas question que le nom des Jefferson s'éteigne de si tôt.

C'est donc quelques années plus tard que le miracle eut lieux, Madame Jefferson portait la vie. Un petit garçon d’après les médecins. La nouvelle enchanta une fois de plus les anciens, mais qui n’apporta pas une once de joie aux futur parents. Pour Margarette, ce fut le début d'une longue période sombre, depuis tans d'année, elle avait du sacrifier sa vie et céder son corps à un époux qui posait à peine les yeux sur elle, un époux qui préférait certainement la compagnie d'autres femmes que la sienne. Elle ne voulait pas de cette vie, et ne l'avait jamais voulu, c'est peut être pour cette raison qu'elle trouva la mort en donnant naissance à cet enfant tant attendu. Un matin de printemps, le 09 mais plus précisément, Mathias venait de naître, sa mère décéda dans la nuit des suite de son accouchement. Le nouveau né ce retrouvait déjà seul avec son père, devenu veuf. Mais étrangement la mort de sa femme fut une sorte de délivrance pour l'homme. On lui avait imposé une femme, la voilà maintenant parti, certes elle lui laissait un enfant, mais ce détail ne sembla pas le préoccuper outre mesure. Il pouvait reprendre le contrôle de sa vie, sans devoir obéir au exigence de son paternel, du moins, c'est l'illusion qu'il s'était donné.

Mathias grandit à Loutry Ste Chaspoule dans la demeure familial, la première année fut difficile, le jeun père n'avait aucune idée de comment prendre soin de cet enfant qu'il considérait à peine comme le sien. Dépassé par les événements, il dus ce résoudre à demander de l'aide. Ce n'est pas auprès de sa famille qu'il fit cette demande, mais bien à la mère de sa défunte femme. Moldu, veuve depuis des années, elle fut ravie de pouvoir nouer quelques liens avec son petit fils, d'autant plus qu'on l'avait plus ou moins écarté de la vie de sa fille depuis son mariage, ils ont voulu l'effacer de sa vie, comme si ce n'était qu'une vulgaire tache sur du linge propre, c'est une des raison pour laquelle la défunte mère s'était senti abandonné et si triste. Mais la jeune grand mère, bien qu'elle ce sentait cruellement coupable, comptait bien rattraper cette erreur en élevant son petit fils. Les six première années de Mathias furent joyeuses et pleine d'amour. Il ne voyait que très peu son père, toujours occupé quelque part, pour le travail, ou pour les femmes. Une femme en particulier. Mathias ce souvenait simplement d'une dispute entre sa grand mère et son père à propos d'elle. Cette nuit là, des mots furent échangé, des mots qui resteraient gravé dans la tête d'un enfant un peu trop jeun, des mots comme "Une erreur", "Jamais aimé", pour la première fois il voyait son père éprouver un sentiment à son égare, mais celui ci n'était autre que du mépris.

Pourquoi? C'est la question qui lui revenait sans cesse en tête, il ne ce souvenait pas d'avoir fait quelques chose de mal.. Pourtant c'est le sentiment qu'il avait, et ce sentiment ne fit que grandir au cour des années. Aprés la dispute entre sa grand mère et son père, l'enfant fut troublé et avait du mal à le caché, il finit par raconter les événement à son grand père paternel, certainement la pire erreur de sa vie, mais il n'avait que six ans, il ne pouvait pas ce douté que cet aveu aurait des répercutions terrible. Le vieille homme ce senti profondément blessé dans sa fierté et son orgueil. Son propre fils avait préféré confier l'éducation de son enfant à cette vieille moldu, plutôt que de s'en charger lui même, ce que tout homme aurait fait. Une honte. Oscar Jefferson ne supporta pas de voir la déception dans le regard de son père. Lui qui s'était toujours plié à sa volonté quitte à sacrifier sa vie, ses rêves et ses envies, le voila qui le méprisait et le blâmait à cause d'un enfant qu'il n'avait même pas voulu.
Mathias venait de briser le seul lien qu'il y avait entre les deux hommes, et il en payerai le prix jusqu’à ce que l'affront serait réparé. Oscar allait prouver à son père qu'il été tout à fait capable d'élever son fils, et d'en faire un grand homme, plus grand qu'il ne l'a jamais été.

Depuis ce jour, les mots échec et médiocrité n'étaient plus toléré. Toute plainte, toute erreur et faiblesse étaient sévèrement réprimandés. Sévérité, fermeté et violence étaient les seul méthode employés, c'était aussi le seul schéma qu'il connaissait, reproduisant les méthodes de sa propre éducation. Ça avait bien marché pour lui, ça marcherait certainement pour son fils. Mais voilà Mathias était un enfant plutôt maladroit et la constant pression exercé sur ses petite épaule ne l'aidaient pas vraiment. Il ne cherchait qu'a le satisfaire, mais rien n'y faisait. Jamais content, on lui en demandait toujours un peu plus, et c'était pire pendant les apparition publique. La famille unie et épanouie, c'est l'image qu'on leurs demandait de montrer. Alors Mathias était l'enfant souriant qu'on voulait qu'il soit. Un peu maladroit, extrêmement timide, il avait du mal à ce lié avec les autres enfants de son âges, ne sachant pas vraiment comment les aborder, ou comment ce comporter avec eux. Le garçon qu'il devait être en dehors de ces murs était tellement différent de celui qu'il était en compagnie de son père qu'il avait du mal à réellement ce trouver. Les seul vrais moment de joie et d'apaisement qu'il avait étaient lorsqu'il allait fouillé le grenier à la rechercher de vieux livres ayant appartenu à sa mère. Il ne l'avait jamais connus, mais à travers les livres et photo qu'elle avait laissé, il ce peignit un portrait d'elle. Romantique, tout ces livres parlaient d'amour, d'aventure, de romance et de sentiment sincère. Il aimait ces livres, il s'était bien souvent imaginé vivre une aventure similaire, rencontrer une âme sœur et s'enfuire avec elle. Étrangement, il ce sentait plus proche des femmes de ces livres que de n'importe qui d'autre. Lui aussi était seul, perdu dans un monde tyrannique qu'il ne comprenait pas, cherchant désespérément celui qui viendrait l'arraché à cette vie et l’emmènerait vers un avenir plus beau. Un beau rêve, un rêve qui devenait un espoir, un espoire qui ce brisait un peu plus à chaque fois que sont père haussait la voix et levait la main sur lui. Mais il y croyait, il ne cesserait jamais d'y croire, ses rêves étaient les seul chose qu'on ne pouvait pas lui imposer.

Trois années s'écoulèrent au rythme des épreuves, des souffrances et de l'acharnement. Mathias trouva une issus à cette vie en s’adonnant à quelques rituel de rangement, ranger les choses lui donnait l'illusion de garder un minimum de contrôle sur sa vie, et l'aidait à géré les situations difficiles. Ranger, classer, ordonner, l'ordre et la symétrie des choses l’apaisaient un peu, il y trouvait une sorte d'équilibre. Son père avait remarqué cette étrange manie, mais n'en fut pas vraiment étonné, au contraire, l’ordre et la rigueur que montrait son fils le ravirent, même s'il finissait par trouver ça légèrement irritant à la longue. Mais un changement était en train de ce produire, un changement qui détourna de nouveau le père de son fils. Une nouvelle femme. Rosalia Roberts, 19 ans, nouvelle fiancé de son père. Mathias n'avait que les illusions des roman pour ce faire une idée de ce qu'était une "Femme", ou même une mère. Mais cette belle mère là était tés loin de la belle image douce et tendre qu'il s'était imaginer. Une femme odieuse, capricieuse et exigeante. Finalement, elle ressemblait assez à son père.. Les premiers mois, elle n'avait fait que l'ignorer. Les rares fois ou elle daignait le regarder c'était simplement pour lui montrer son dégoût et son mépris à travers un regard noir. Pourtant il n'avait rein fait, une fois de plus, il ne comprenait pas pourquoi.

Deux ans passé avec cette mégère. Elle ne voyait en cet enfant que la première femme de son futur époux, même s'ils ne s'était jamais vraiment aimé, elle ne pouvait pas ce résoudre à apprécier le garçon aussi gentil qu'il soit. Elle ce montrait bien souvent injuste avec lui, l’accusant de fait qu'il n'avait jamais commis, comme lui manquer de respect ou ce montrer ouvertement provocateur et méchant avec elle. Mensonges qui furent bien évidement punis, c'est au cours de ces trois années qu'il fût marqué par une cicatrices que même la magie ne parvint pas à effacer. Une causé par sa belle mère qui brisa un bouteille de vin en lançant cette dernière sur le petit garçon qui avait, soit disant, volontairement déchiqueté à sa plus belle robe. La réalité est que le jeune sorcier commençait simplement à découvrir ses pouvoir, et avait beaucoup de mal à les contenir, surtout lorsqu'il ce sentait sous pression. Cette fois ci, il était en train de plier le linge pour la troisième fois, les deux première ne lui convenait pas, sa belle mère le surpris et ce mit à crier après lui, sous le coup de la surprise et de la peur, le tissus ce déchira tout seul, provoquant ainsi les foudres de la belle dame. Le verre ce brisa sur l'avant bras du garçon, entaillant celui ci. Malgré la gravité de la blessure, elle ne ce préoccupa pas plus de son état et attendit que que son père rentrer pour lui servir un nouveau mensonge, comme quoi le garçon s'était blessé par maladresse. Mathias ne tenta pas vraiment de plaider sa cause, il savait que c'était peine perdu, alors il ce contenta d'attendre et de faire de son mieux pour satisfaire tout le monde, c'était simplement la meilleur chose à faire.

Deux ans plus tard, le jour de ses onze ans, le garçon reçus cette lettre tans attendu. Le voilà maintenant futur étudient, il allait quitter cette maison. Enfin. Le garçon ce montrait absolument ravie de cette lettre, tout comme le reste de la famille d'ailleurs. Pour une fois, il semblait tous sur la même longueur d'onde, Rosalia était enchantée de voir l'enfant disparaître, son père était comblé de savoir qu'il allait enfin pouvoir montrer l'étendu de sa réussit à travers le travail de son fils, et Mathias était simplement content de rencontrer de nouvelles personnes et de s’échapper de son quotidien.
La jour J arriva. Son père l'accompagna jusque sur le quai du train. Son regard était toujours aussi dure, mais cette fois Mathias pouvais un lire un brin de fierté. Pour la première fois il ce sentait estimé par son père, il pouvait lire dans ses yeux qu'il ne désirait qu'une chose. Que son fils réussisse. Qu'il soit l'élite de l'école, et fasse parti des grand de ce monde. Un Auror, c'est là le but qu'il lui souffla, et Mathias ferait son possible pour rendre son père fière, juste une fois de plus.

Arrivé à l'école, ce fut le moment de la répartition. Serdaigle, Serpentard, Gryffondor et Poufsouffle. L'anxiété gagnait le garçon, il avait passé tout le trajet à parcourir de long en large les wagons évacuant ainsi le stresse et la peur. Mais une fois devant le chapeau, il fut face à son premier défis. Être envoyé dans la bonne maison. Certain diront qu'il n'y a pas de mauvaise maison, mais Mathias savait que son père n'en accepterait qu'une, la même que la sienne et que celle de son père avant lui. Serdaigle. Il avait répété ce mot encore et encore dans sa tête depuis l'instant ou il avait posé les pieds dans le majestueux château. Il fallait que ce soit Serdaigle. Son père aurait peut être toléré Serpentard ou Gryffondor, même s'il aurait certainement été un peu déçus.. Poufsouffle n'était même pas envisageable. Il préférait encore faire ses valises et s'en aller d'ici si c'était le cas. C'est donc avec la peur au ventre qu'il s'avança vers le chapeau étrange, il ce répétait ce mot encore et encore, il l'aurait crié s'il n'avait pas eu la gorge si noué. Puis vint l'heur du verdict, et c'est avec soulagement qu'il entendu le bout de tissu miteux clamer le nom de Serdaigle à travers la grande salle.
C'était sa première victoire, il en était fière et il en était heureux, heureux comme il l'avait rarement été.

Maintenant qu'il avait une nouvelle maison, il lui fallait aussi de nouveaux amis. Malgré sa timidité et sa maladresse il ce risqua à venir au contacte des autres. Sa première tentative fut un véritable échec. Il entra dans son dortoir et ce retrouva nez à nez avec un garçon blond au visage de petite fille. Il le prit pour une fille et lui fit la remarqué qu'il s'était certainement trompé de dortoir. Il ce souvient encore du malaise et de la honte qu'il avait éprouvé ce jour là. Heureusement, ce garçon e ce vexa pas, au contraire, il ce mit à rire et rectifia très vite la situation. Après cet incident, il réussit à s'intégré parmis les autres élèves de son année sans réel difficulté. Poudlard était comme une libération, enfin il pouvait faire ce qui lui plaisait, sans ce sentir oppressé ou obligé de les faire. Même s'il faisait tout ça pour son père, il avait l'illusion d'être libre entre les murs de l'école, illusion qui l'aidait à devenir quelqu'un d'un peu plus fort, et d'un peu plus indépendant. C'était comme redécouvrir le monde. Il aimait toujours autant les livres à l'eau de rose, bien que comme à la maison, il ce cachait pour les lires. Un petit plaisir honteux qu'il avait de plus en plus la force d'assumer. Ses rêves d'enfants lui semblaient soudainement beaucoup plus réaliste. Il ne lui restait qu'a trouver une âme sœur.

Comme tout les garçons de son âge, il s’intéressait à toutes sortes de choses, le quidditch, qu'il trouvait fantastique, les études, qu'il trouvait passionnantes, les dragons, qu'il trouvait fascinant, les filles, qu'il trouvait pas si envoûtante que ça. Oh elles étaient jolie avec leurs grand yeux et leurs long cils, elles sentaient toujours bon, et il aimait la façon qu'avaient leurs cheveux de ce mouvoir lorsqu'elle bougeaient la tête. Mais elles n’éveillaient pas grand chose chez lui. Pas d’attirance, pas plus que ça... Elles sont jolie. C'est tout. Il n'y avait pas de coeur embrasé par la passion ou par l'amour, leurs regard ne le faisait pas frémir, il ne ce sentait pas bouillir lorsqu'elle posaient leurs mains sur lui. Il aurait aimé, il aurait tout donné pour ça, mais rien n'y faisait. C'est en croisant le regard d'autres garçon qu'il ce sentait parfois rougir, c'est quand ils étaient un peu trop proche de lui qu'il sentait son coeur s’emballer dans sa poitrine. Pourquoi? Qu'est ce qu'il avait de différent du reste du monde? Il lutta contre ce sentiment avec hargne, aussi durement qu'on puisse lutter contre des démons invisible. Ce n'était pas normal, ce n'était peut être même pas humain. Il savait que cette différence le briserait si elle était amené à ce savoir. Jamais personne n'accepterait ça, et certainement pas son père, il préférera certainement le tuer de ses propres main plutôt que de laisser le nom des Jefferson être souiller une nouvelle fois. Il vivrait ça comme l'ultime échec de sa vie, un père qui a faillit dans sa mission de parent à tel point que son fils en vient à aimer les hommes. Jamais ce secret ne devait être découvert.

C'est au cour de sa quatrième année qu'il fut résigner à admettre qu'aucune fille ne lui ferait jamais autant d'effet qu'un garçon. Une réalité difficile à surmonté, mais il ne ce laissa pas abattre pour autant, car, d'une part, ça aurait éveillé quelques soupçon, et d'autre part, il fallait qu'il garde ses objectif en vue. Obtenir ses BUSE, ensuite ses ASPIC, devenir Auror et peut être, un jour, trouver la force d'affronter son père et ses châtiments. Il a à peine 14 ans quand un autre événement surgit dans sa vie sans qu'il ne l'ai vus venir. Un autre enfant. Sa belle mère porte la vie. La nouvelle éclate en plein séjour de Toussaint alors que le garçon est de séjour chez lui, comme pour chaques vacances. Mathias essaya de ce réjouir, mais n'y parvint pas.. il ne savait pas vraiment comment géré cette nouvelle... est ce que son père serait aussi sévère avec ce nouveau venu qu'avec lui? Peut être que non.. visiblement celui ci n'était pas une erreur, mais bien un événement attendu et espéré. Quelque part, il ce sentais jaloux de cet enfant qui grandissant à l'interrieur de ce ventre. la jalousie laissa très rapidement place à la culpabilité et au remord quand un accident ce produisis. Un accident bête, mais terrible, Mathias aurait donné chère pour qu'il n'arrive jamais. La veille de son départ, sa belle mère vint le nargué avec cette nouvelle, elle le baratina des heure sur le bonheur parfait que serait la venus du petit, à quel point elle et son père étaient heureux, elle lui rappela qu'il n'avait pas sa place ici, qu'il ne l'avait jamais eu, et puis elle eut le mot de trop, celui qui poussa Mathias à ce rebeller pour la première fois de sa vie. Elle s'en pris à sa défunte mère et salie le peu qu'il avait de sa mémoire. Il répliqua quelques mots grossiers à sa belle mère, lui rappelant qu'elle n'avait rien de bien particulier et qu'elle n'avait jamais rien fait d’honorable dans sa vie mis à part ce faire engrosser par un veuf cherchant simplement une jolie femme pour faire bonne figure. Blessé par les mot du garçon, elle tenta de nouveau d'imposer son point de vus en le brusquant agrippant son bras entre ses doigts délicats. Mais il n'avait plus neuf ans, il avait grandit, aussi bien physiquement que mentalement, et il n'avait plus envie de la laisser parler de sa mère de la sorte, alors li la repoussa d'un geste brusque, un peu trop brusque peut être, car la dame, encombré par son imposante robe, trébucha et chuta hors de la terrasse avant de dévaler dans le jardin.
Mathias regretta ce geste presque aussitôt. Quelques voisins témoins de la scène ce précipitèrent pour venir en aide à la jeune femme, elle fut reconduite à l’intérieur avant d'être examiné par quelqu'un. Dans son état, c'était préférable. Mais voilà, tout acte à ses conséquences, et celui ci avait fait beaucoup de mal. La jeune femme avait perdu l'enfant, aucune magie ne pouvait rien y faire. Le père, revenus en urgence de sa mission, découvrit sa femme en pleur et son fils, plus désolé que jamais. Il ne dit rien, les premier temps il ne fit qu'écouter les conseils du médecins ainsi que les condoléances des voisin. Il ne posa pas le regard sur son fils, pas une seul fois, il ce contenta de remercier tout ces gens dans un regard triste avant de les raccompagner à la porte. Mathias savait que ce geste ne resterait pas impuni, il s’éclipsa dans sa chambre dans l'espoire de ce faire oublié, mais rien ne le sauverait d'une punition, pour une fois, peut être mérité. Pardon, c'est le seul mot qu'il réussit à prononcé en entendant son paternel gravir les marches lourdement. Il s'était répété ce mot, encore et encore depuis la seconde ou sa belle mère avait glissé de la terrasse. Il le répéta comme si le simple fait de le prononcer allait réparer les tords. Mais rien n'y fit, pas même la mince tentative de sceller la porte à coup de baguette. Espéré fuir un Auror était certainement aussi censé qu'espérer voler sans balais. D'un coup de baguette la porte vola en éclat, le "Diffindo" lancé avec un peut trop de haine percuta également le garçon, mais personne ne s'en rendit réellement compte. Le fils était trop occupé à tenter e s'expliquer, de s’excuser aussi bien qu'il pouvait le faire, le père quand à lui était simplement aveuglé par sa colère et par sa déception. La nuit fut longue et resta a jamais marqué dans sa mémoire, ainsi que sur son corps. Il garda la marque de cette erreur en bas de son dos.

De retour à Poudlard, il repris sa vie d'étudient comme si rien ne s'était passé, après tout, la vie continuait son cheminement. Il étudia sérieusement et obtenus de bonnes notes à ses BUSE, ses professeurs étaient, dans l'ensemble satisfait de son travail. C'était un bon élève, l'année s'écoula avec la déception de ne pas avoir été nommé préfet, tout comme celle de ne pas avoir été Capitaine. Il gérait les échec comme il le pouvait, devant un peu plus maniaque de jour en jours, mais la vie à Poudlard, ainsi que les personnes chère à son coeur, lui permettait de garder le sourire, et de relativiser les choses, ce n'était qu'un bref moment à passer, un jour il aurait la force, il en était convaincu.

Maintenant en dernière année, c'était pour lui sa dernière chance de briller, il ne voulait pas finir cette année sans avoir eu le sentiment d’accomplir quelque chose de bien, de grand, et surtout quelque chose qui compte pour lui. Il ne savait pas encore quoi, mais il ce fit la promesse de ne pas laisser passer cette chance.
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MessageSujet: Re: Mathias Jefferson   Mathias Jefferson Icon_minitimeVen 30 Mai - 12:54





Bonjour, je suis Sally Chapman, modératrice. Je suis également responsable de ta validation.

Hé bien, bienvenue à nouveau ! A un moment, je n'écrirais même plus de message de validation. Nah.



Je pleure du sang. *meurt* Fiche fournie, certes, mais aussi très agréable à lire, donc pas de problèmes. Quelques petits fautes d'oublis, rien de bien grave ! Amuse toi bien ! Et tu connais la suite ? Profil, fiche de lien, rp /o/
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