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 [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington

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MessageSujet: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeMer 3 Sep - 17:38




Isobel



J'le jure, je travaillais!



Le mois de janvier, ça peut paraître bien. Même si ça rime avec rentrée, ce n’est pas pour autant que l’atmosphère devient plus studieuse qu’à son habitude. Ca pourrait même être pire qu’en été, lorsque les examens sont terminés. Pourquoi ? Parce que la neige. Vile. Perfide. Qui n’attend que de devenir gel – m’en fous si ce n’est pas le cas, j’suis pas scientifique.- ou glissante pour vous voir vous étalez de tout votre long sur elle. Et vous faire mal. Très mal. Et vous en pouvez rien faire contre elle. Si ce n’est essayer de la faire fondre, mais une nouvelle fois, s’il refait froid, elle deviendra gel et vous fera encore plus mal. Cercle vicieux. Et sincèrement je me vois mal me trimballer partout où je vais, avec ma baguette en main, pour faire fondre la neige sur mon chemin. J’aurais juste l’air encore plus ridicule que d’habitude, et puis en plus, vu ma taille, il faudrait que je me penche à mort, et avec mon bol habituel, je me prendrai juste la moitié ce qui passerait sur mon chemin. Merci, j’ai déjà assez donné niveau chute, et je ne tiens pas plus que ça à aller à l’infirmerie. Bref. Cette même neige, elle fait a) rentrer les élèves les plus frileux à l’intérieur et b) …Donne lieu à des batailles de boules de neige DANS les couloirs. Enfin plutôt dans l’entrée du château, mais merci, moi pauvre petit -…okay grand.- Poufsouffle, si moi vouloir quitter Salle Commune qui se trouve dans les cachots, moi devoir passer par entrée, et moi souvent être dégât collatéral, ou cible préférée des boules de neige perdue. Et c’est pas parce que j’ai des racines soviétiques que j’aime la neige. Donc s’il vous plait, garder cette neige pour vous, manger là si vous voulez, mais faites qu’elle ne vienne pas violer mon espace vital que je me suis moi-même inventé. Merci.

Mais je ne suis pas ici pour faire une dissertation sur la neige, ni sur mes pensées intérieures de cette chose blanche ô combien détestable, bien que ce soit drôle au début d’aller jouer avec itou, c’est vite lassant. Et c’est froid. Mais ça, ça ne me dérange pas. En attendant, ce n’était certainement pas ça qui allait m’aider à m’avancer dans mes révisions. Je sais, les B.U.S.E.s, c’est dans longtemps. Je trouve aussi. Me connaissant je m’y mettrai pas avant un bout de temps, mais par contre le devoir en Potions, il va pas se faire tout seul. Malheureusement. Ce serait pas mal si un jour les devoirs se décidaient à se remplir. Ou que les plumes décident d’écrire les réponses sans qu’on ne leur demande rien. Mais bon. Ce n’est pas le cas pour l’instant. Il va donc falloir que je prenne mon courage à deux mains et que je…je continue à lire ce livre. Je veux au moins essayer de remonter ma moyenne en Potions avec les devoirs écrits étant donné que la pratique, ce n’est pas trop ça.  Je me suis bougé jusqu’à la bibliothèque, j’ai risqué ma vie dans les couloirs –si si, rappelez-vous tout ce que je vous ai dit sur la neige- et j’ai réussi à trouver une table au calme, alors il faut que je fasse ce devoir, et que j’arrête de trouver n’importe quelle excuse pour détourner mon attention de ce devoir. Motivons-nous. J’ai exactement écrit 10 cm sur ce devoir. Il en faut 30. Mais c’est injuste, j’ai une plus petite écriture que la moyenne d’abord. Mais peu importe. Je le battrai ce parchemin. Même si les voisins de table commencent à faire du bruit. J’aimerais bien en faire à mon tour pour leur montrer mon mécontentement, mais de 1) ce n’est pas encore trop dérangeant, et de 2) On est dans une bibliothèque, nous allons donc éviter de trop monter la voix, chose que je ne fais déjà pas d’habitude. Alors je vais me contenter de m’écraser bien gentiment et de continuer ce devoir. Je l’aurai un jour, je l’aurai.

Allez 25 centimètres maintenant, c’est que y a du progrès ! J’aurais bien sorti les confettis et la vodka, mais une fois de plus, dans une bibliothèque, ça le fait pas de trop. Donc on se contentera de…Finir les 5 cm restant en blablatant n’importe quoi. J’ai jamais été bon dans mes conclusions. Mon avenir n’est certainement pas dans l’écriture. En tout cas, il ne vaudrait mieux pas que je devienne écrivain, ne serait-ce que pour les yeux de l’éditeur, il devrait se casser la tête à me déchiffrer. Le pauvre, je l’enterre déjà à l’avance. En attendant, les bouffons d’à côté, ils continuent de faire du bruit. Je sais pas de quelle maison ils sont ni rien d’autre, étant donné que la seule chose que j’ai vue en tournant la tête en leur direction…fut un livre. Et je ne l’ai pas seulement vu, j’ai aussi eu droit de faire une rencontre personnelle et très intime avec la page numéro 358 d’un livre d’histoire. Mon nez, souffre. Réellement. Et en même temps, il y a un bruit de verre cassé. Je ne veux pas savoir ni quoi ni qu’est-ce. Je veux juste finir mes 5 centimètres. Maintenant c’est un peu râpé je pense. D’abord, on enlève ce livre de ma figure. Ce sera un bon avancement de voir quelque chose. Mais à peine je l’eus enlevé que…Que j’eus envie de le remettre de suite. C’était bien finalement de ne rien voir. Déjà il y avait plusieurs livres à terre. Et un peu plus loin de moi, une tâche d’encre, mais pas la petite tâche que l’on fait en laissant sa plume au-dessus du sol. Non genre…Genre le pot qu’on a lancé. Exprès. Pas par hasard. Qu’est-ce que ça fout à côté de moi ? Le mien est toujours sur la ta…Eh…Il est plus là. Je crois qu’un livre l’a percuté lui aussi. Et avec tout ça, je n’entends plus lesdits voisins. …Peut-être parce que je n’ai PLUS de voisins. Que je me retrouve seul dans le coin, un livre en man, d’autres par terre, et une grosse tâche d’encre. Et la bibliothécaire à quelques mètres. Je…Je crois que je suis dans la bouse, de dragon. Et pas qu’un peu. Là tout de suite, j’aurais bien aimé rentrer sous terre. Mais le sol n’est pas très coopérant. La seule chose que je peux encore faire, c’est rentrer un peu la tête dans les épaules, mais ça n’arrangera pas grand-chose.



« -▬ E…Eh…Je suis désolé j’ai…laissé…tombermonpotden… »


A force de faire dans la discrétion, et d’essayer de se faire le plus petit possible  ( ce qui est une fois de plus raté) c’est ma voix qui a préféré me lâcher. Tout comme mon regard. Je l’ai regardée exactement…Trente secondes maximum, avant de regarder mes mains. Très intéressantes. Je devrais un jour penser à faire une manucure. Je la ferais bien maintenant tout de suite mais je n’ai pas de vernis. C’est ballot. TRES ballot. Je vais devoir maintenant…Euh. M’expliquer avec la bibliothécaire. Dire que ce sont les autres responsables de ce désastre. Si je trouve le courage de reprendre la parole.










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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeJeu 4 Sep - 20:59

Enfermer dans ma bibliothèque chérie, j'étais éloignée de la neige qui régnait à l'extérieur. J'étais dans un cocon douillet, et cela me convenais très bien. En plus de cela, la journée avait été très calme, sans élève pertubateur, un pur bonheur. Sauf le moment fatidique où dans un coin de la pièce j'entendis du bruit. Grommelant des grossièretés en langues mortes, j'allais voir ce qui se passait, et arrivait jusqu'à temps pour voir des livres voler, un élève s'en prendre un sur la figure et un encrier tomber par terre. Bizarrement, les fautifs disparurent bien vite avant que je les remarquent, car leur victime est ébété, il me faut l'avouer. Soupirante, je commençais à ramasser les livres par terre après avoir jeter un regard noir à l'élève fautif au premier abord. Sortant ma baguette, je la pointais vers le sol et lançait un sort de nettoyage.

-Vous n'aurez plus qu'à racheter un encrier.

Puis sans un mot je rangeais les livres sortis avant de prendre le "coupable" par le bras et le tirer derrière moi, en apparence furieuse, mais dans le fond lasse. En vérité je savais qu'il était innocent mais je faisais ça pour les potentiels coupables retardataires. Ce n'était pas dans mes intentions de le punir, loin de là. L'entrainant dans mon bureau, je claquais la porte derrière moi et alla me mettre face à lui, neutre comme à mon habitude.

-Explication ? Les vraies, pourquoi on vous a viser.

Puis sans plus un mot, je le regardais, les doigts croisés, mes yeux plantés dans les siens.
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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeJeu 4 Sep - 22:58




Isobel



J'le jure, je travaillais!



Le prochain qui me sort que la bibliothèque est un endroit calme où l’on peut travailler tranquillement, sans aucune embrouille, je l’étrangle. Mentalement bien sûr. Mais je l’étrangle quand même. Même si extérieurement j’aurai juste l’air de le fixer d’un air ahuri, et qu’on me comparera très certainement à un bovin regardant un train passer, je m’en contre-fiche. Et devinez quoi. Pour l’instant j’aurais très envie d’étrangler la personne m’ayant lancé cet ouvrage sur la figure. C’est un outrage pour ce dernier. Et puis juste pour dire, prendre la fuite en essayant de faire accuser quelqu’un d’autre à sa place, ce n’est pas ce qu’il y a de plus galant et courageux. Mais la galanterie, il a du se la mettre dans un placard en voyant que j’étais doté d’un trois pièces. Les cheveux longs, ça fait pas tout. Heureusement dans un sens, malheureusement dans un autre. Peut-être qu’en faisant partie de la gente féminine on se fait moins bizuter ? Question à creuser. Mais je me vois mal suivre des élèves partout dans les couloirs pour voir si elles se font bizuter. J’aurais plus l’air d’un stalker qu’autre chose. Et une nouvelle fois, je suis certain que je serais tout sauf discret. La dernière fois que j’ai essayé de raser un mur pour éviter un groupe de Serpentards –mais ça, on évite de le raconter- je m’en suis pris un autre de plein fouet. Si ça se trouve, c’était ce même élève plus le groupe, qui s’était rassemblé pour se venger. Мама, s’il te plait où que tu sois, viens aider ton fils. Il en a fortement besoin. Quoique…Non. Après mûre réflexion, je pense que j’aurais l’air encore plus ridicule si ma mère débarquait de nul par dans le château pour venir me défendre. Là c’est certain que ma dignité, en plus d’être cachée au fin fond du Lac Noir avec le calamar géant, elle serait passée dans une moissonneuse-batteuse, piétinée par une horde de Centaures et donnée en becquée à des Hippogriffes auparavant.

M’enfin, je ferais mieux de m’inquiéter d’autre chose que de ma dignité pour le moment. Comme…Comme ma peau. Le regard que vient de me lancer la bibliothécaire n’a rieeeeen de bien rassurant. Si seulement je daignais ramener mes fesses plus souvent ici, elle aurait peut-être pu remarquer que balancer des livres ainsi que des pots d’encre ne figuraient pas dans ma liste de hobbys, que j’étais plutôt du genre à m’asseoir bien gentiment à une table et à essayer de me faire oublier des autres, mais le problème était que je ne venais quasiment jamais à la bibliothèque. Du moins, que je n’y restais jamais bien longtemps. Généralement, juste le temps de chercher le livre souhaité, puis je repartais avec dans ma Salle Commune. Pour le rendre à temps. Tiens, ça c’est un bon argument pour ma défense ! Je rends toujours mes livres à temps ! Ahaha, je ne suis peut-être pas tout à fait perdu ! Haut les cœurs, camarades, il ne faut rien lâcher et se battre jusqu’au bout ! …Se battre pour quoi ? Aucune idée. Alors je la ferme et je l’aide à ramasser les quelques livres autour de moi, pendant qu’elle, fait disparaître la grosse tâche à l’aide d’un sort de nettoyage. Tellement bien lancé que je me serais bien aplati au sol, premièrement pour admirer son œuvre de plus près, et deuxièmement pour lui faire mes plus plates excuses, mais je ne suis pas certain qu’elle prenne bien le fait qu’un élève se jette à terre à ses pieds pour s’excuser. Donc on va éviter. …Et si j’avais pu éviter de renverser ma chaise en me levant un peu trop précipitamment, ça aurait été bien aussi. Le jour où j’éviterai d’accumuler les bourdes, je le graverai dans la pierre.



« ▬ Je…Je pense que c’est…la meilleure des…options.»


Afin d’éviter son regard, je me tournai vers ma chaise, qui désormais gisait à terre – Racisme, elle on lui dit rien quand elle s’écrase au sol.- et la remit en place, en essayant de ne pas griffer le plancher au passage, on va éviter de déclencher une guerre si possible. Quoiqu’il en soit, une fois que je me tournai vers elle, avec l’intention de ramasser le reste des livres, je remarquai qu’elle l’avait déjà fait, et qu’elle les avait déjà rangés, et me senti tiré par le bras. J’aurais pu crier au kidnapping. J’aurais pu crier pour qu’on vienne à mon secours, j’aurais pu crier à l’enlèvement, j’aurais pu crier à la maltraitance, j’aurais pu crier au vio…Ouais non. J’aurais pu crier à plein de choses, mais étant donné qu’elle fait quand même partie du corps professoral, on va éviter et on va la suivre bien gentiment, même si je n’en ai pas du tout envie. Je rappelle quand même que je ne suis qu’une pauvre victime de toute cette mascarade, et que je dois me remettre du choc émotionnel provoqué par la perte de mon encrier. Mais le pire dans tout ça, c’est que la bibliothécaire semblait furieuse. S’il vous plait, épargnez-moi, j’ai une femme et des enfants à nourri…Okay. Ca marche pas dans mon cas. J’ai encore toute ma vie à vivre, vous préférez ? Mais la question la plus importante du moment était plutôt : Où m’emmenait-elle ? Qu’allait-elle me faire ? Ô rage, ô désespoir ! …Oh. J’ai déjà une réponse pour le où on m’emmenait : dans son bureau. Du moins, ça y ressemblait. Et même si je me sentais plutôt mal, ne voyant pas comment me ressortir indemne de cette situation, je ne pût m’empêcher de regarder tout autour de moi, intrigué par cette salle, soucieux et curieux de mon environnement, regardant d’un air pétillant non dissimulé ce qui m’entourait, avant de me rappeler ce pourquoi j’étais ici et de revenir sur terre. D’accord, c’est son claquement de porte qui m’a surtout fait revenir sur terre. Et une fois qu’elle se plaça juste en face de moi, je ne pus m’empêcher de déglutir, tout en commençant à me triturer les mains, plus que mal à l’aise, faisant tout mon possible pour éviter son regard, tout ayant l’air naturel. Ce qui était plutôt mal parti, mais je n’aime pas auto-briser mes espoirs. Alors je vais faire comme si j’étais naturel. Mais était donné qu’elle, me fixait, je ne pus l’ignorer bien longtemps et me mordis quelques instants l’intérieur de la joue avant de la regarder à mon tour. Bon. Calmons-nous. A la vue de ses paroles, elle avait bien dû voir que ce n’était pas moi qui avait mis tout ce bazar, et que je ne m’amusais pas encore à me lancer des livres dans la figure. Elle avait bien dit «  Pourquoi on vous a visé ». Donc il était sûr et certain qu’elle savait parfaitement que je n’étais qu’une cible. Et maintenant, elle attendait des explications. Explications qui n’allait pas être très fameuses. Je haussai un peu les épaules, tout en essayant de m’enfoncer dans ma chaise par la même occasion –tout est bon pour faire paraître plus petit ce mètre 90- avant de prendre la parole après quelques secondes d’un lourd silence, n’y tenant plus.


«▬ Hrm…A vrai dire…C’est même encore très obscur pour moi, peut-être que…que ma tête ne leur revenait pas, ou qu’ils n’apprécient pas les cheveux longs. Aha…ah… »


Rire nerveux du jour bonjour. Je n’ai jamais su m’exprimer correctement face à quelqu’un qui avait de l’autorité sur moi, alors si en plus j’étais en situation de danger, et que cette personne avait eu l’air en colère quelques minutes auparavant, ça n’arrangeait strictement rien. Bougeant un peu sur ma chaise, la faisant grincer au passage –je t’interdis de céder sous mon poids sale planche de bois, ou je viendrai secrètement te brûler la nuit tombée- et continuant de me triturer les mains, je regardai une nouvelle fois autour de moi, comme pour chercher une sortie de secours, ou tout simplement cherchant quelque chose qui pourrait m’aider à me sortir de ce pétrin. Balancer les élèves ? Ridicule, j’avais à peine vu leurs blasons, et même si je pouvais dire à quelle maison appartenaient certains, j’aurais bien du mal à dire leur année. Je ne sais même pas vous dire exactement qui est dans ma classe alors bon. Et puis, ce n’est pas dans mes manières de balancer les gens.


«▬ Pour tout vous dire, je ne sais pas si j’étais réellement visé - et d’ailleurs je m’en fichais complètement, si ils me visaient personnellement, ce ne serait certainement pas le premier groupe qui me prenait pour cible et certainement pas le dernier, à la fin, on s’y habitude-  je ne faisais que travailler quand ces élèves de… »


Taggle Artur. Juste tais-toi. On a dit pas de balançage. Je me mettrai bien une baffe, ou je me mettrais bien à me mordre la main, ou la cravate, juste pour m’empêcher d’en dire plus, mais elle risquerait de s’inquiéter de ma santé mentale, et je n’ai pas envie de me retrouver à l’infirmerie. Alors on va se contenter de se mordre la langue. …Ce qui fait mal. Et pas qu’un peu. En plus je déteste le goût du sang, pourquoi j’ai fait ça. Maintenant je n’ai plus qu’à me lamenter en silence sur mon sort en espérant qu’elle ne me pose pas plus de questions.










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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeMar 30 Sep - 8:35

Je m'appuyais contre mon bureau en soupirant. Il se rapetissait dans sa chaise, comme s'il avait peur de moi, ce qui était sans doute le cas. Après tout, n'étais je pas celle qui ne parlait jamais, fusillait du regard les élèves ? Si, il me semblait bien, mais passons, là n'était pas la question et j'avais un début de réponse, réponse puérile mais réponse tout de même.
Je décroisai les bras et passa derrière mon bureau dans l'espoir de le mettre à l'aise.

-Cette excuse n'est pas valable, ce n'est pas vraiment un motif pour ce qui viens de se passer. Vous n'avez pas idée du vrai ?

J'attendis et hochait doucement la tête en l'entendant dire qu'il n'était peut être pas vraiment visé. Après tout cette hypothèse se tenait, il pouvait être une cible comme ça à quelque malheureux en manque de distraction. Je dis bien malheureux car j'allais leur faire payer ce qu'il avait fait. Justement, j'allais pouvoir le faire car un début de dénonciation arriva mais ne se termina pas, ce qui était compréhensible, peu d'élèves dénonçait leurs camarades, ce qui horripilait certains de mes collègues.
Au contraire, moi je souris, et même, un petit rire m'échappa, je ne sais s'il était joyeux ou non, mais j'avais ris un instant.

-Monsieur Strugatsky, il n'y a pas de mal à dénoncer des camarades quand ils sont en tord et encore plus quand il vous font porter le chapeau. Même leur maison peut me suffire, je ne vous impliquerais pas plus dans cet histoire et vous pourrez retourner réviser en silence dans votre coin.

Je m’apprêtais à lâcher mon argument le concernant, argument qui j'espérais ferais pencher la balance pour qu'il me dévoile l'identité des coupables.

- Je sais que vous êtes un élève calme. Je ne suis pas encore assez sénile,encore heureuse vu mon âge, pour remarquer ceux qui se font discret quand ils viennent emprunter quelque chose. Et dans votre cas, qui le rende en temps et en heure dans le même état qu'il l'ont emprunter. Donc, je sais que ce n'est pas vous qui avez fait le dérangement de tout à l'heure, et me dire la maison des fauteurs de troubles ou non ne changera rien, je finirais tout de même par deviner qui ils sont.


Je me tus, j'avais assez parler comme ça, voyons la réaction du Poufsouffle. Comme pour l'encourager, Blitz vint s'installer sur ses genoux et se mit à ronronner.
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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeMer 1 Oct - 0:31




Isobel



J'le jure, je travaillais!



Comment ça qu’elle est pas valable mon excuse ? Moi je la trouve très bien d’abord. Ca aurait très bien pu être une raison pour s’en prendre à ma pauvre et humble personne ! Bon j’en fais peut-être un peu trop, mais si l’exagération existe, c’est pour pouvoir s’en servir. Mais ce n’est certainement pas ça qui m’aidera à me sortir de la sorte d’impasse dans laquelle je me trouve actuellement malheureusement. En fait, ça ne pourrait qu’empirer mon cas – j’en suis certain- alors on va se contenter de garder ses pensées pour nous-même et d’éviter de lui dire que je m’étais déjà ramassé un pot de yoghourt dans la figure juste parce que la personne n’appréciait visiblement pas mon choix capillaire. Bon, après c’est vrai que la personne en question devait avoir 4 ans et demi. J’aurais pu répliquer, si seulement il ne s’était pas agi du Saint fils de la meilleure amie de ma mère. Sale gosse si vous voulez mon avis. C’est tout ce que j’ai à dire. Bref. La bibliothécaire doit s’en préoccuper autant que de sa première chaussette, ce pourquoi je lui épargnerai la peine de le connaître, ne serait-ce qu’à travers mes paroles. Quoiqu’il en soit, ça ne m’avançais toujours pas de beaucoup. Même de pas du tout. Ça ne m’enfonçait pas non plus, mais il faudra bien qu’à un moment ou à un autre, je me décide à faire quelque chose. Bien que stagner ne m’aurais absolument pas dérangé, je ne pense pas qu’elle ait non plus toute sa journée à perdre à regarder un élève essayer de contourner ses questions. Elle en perdrait sûrement patience.

Quoiqu’il en soit, elle essaya de me convaincre de dénoncer les autres élèves, après avoir lâché un léger rire, sans doute causé par ma tentative de rattrapage plus que médiocre. C’est vrai que niveau discrétion, on fait certainement mieux que moi. Mais ça, j’étais déjà au courant, depuis plusieurs années. Enfin, pensons positif, au moins, contrairement peut-être à certains, elle ne s’énervait pas du fait que j’aie « omis » de dire les noms. Je doute que tout le monde aurait réagi comme elle. Enfin, heureusement qu’elle ne l’avait pas pris mal, sinon je ne sais vraiment pas ce que j’aurais fait. Ceci dit, je ne pouvais toujours pas me décider à lui répondre clairement l’identité des élèves. Même si elle me promettait que cela n’irait pas plus loin, du moins pour ma personne, et même s’ils semblaient avoir tout fait, ou presque, en leur pouvoir pour que je sois accusé à leur place, je ne pouvais toujours pas me résigner à le dire. Et cette fois-ci, ce n’était pas non plus vraiment une question de loyauté ou de bon sentiment ou je ne sais quelle chose dans le genre. Si jamais ils avaient une retenue, de la part de la bibliothécaire, c’est clair qu’ils feraient le lien entre cette retenue et moi. Bien qu’ils ne se soient peut-être pas attardés sur ma propre identité, il vaut mieux être pessimiste et se dire qu’ils savent parfaitement qui je suis, et qu’ils seraient prêts à faire quelques représailles.

Durant quelques instants, je me mordis la lèvre inférieure, hésitant, avant qu’elle ne reprenne la parole, me faisant relever un peu les yeux vers elle. Je me rendis tout d’abord compte qu’elle connaissait mon nom, de fait elle l’avait utilisé un peu avant, et j’admets, je viens seulement de m’en rendre compte, honte à moi. Non pas qu’il était rare que les gens le connaissent, mais surtout que je ne m’étais pas vraiment attendu à ce qu’elle le connaisse plus particulièrement. Après tout, je ne lui parlais pas plus que ça, et vu le nombre d’élèves dans le château, j’imagine bien qu’il y a des personnes dont on retient le nom nettement plus rapidement. Aussi, elle avait visiblement remarqué mon comportement et en gros bien cerné la personne que j’étais. Ainsi je pouvais retirer de ma tête toute idée comme quoi elle pourrait me soupçonner, tout en essayant de me faire croire le contraire. Et il faut bien avouer, ses paroles me firent hésiter encore plus. Balancer ou ne pas balancer ? Telle était la question. Je n’avais pas grand-chose à gagner, mais lorsqu’on y pensait, à perdre non plus.

Et…Et je ne sais pas d’où sort ce chat, mais il est trop mignon. Comme la plupart des chats, j’en conviens, mais ils ne viennent pas tous non plus de leur plein gré sur vos genoux en ronronnant. Je me haïrais presque de tant les aimer. Parce que je sais parfaitement bien en plus qu’il suffit de m’en présenter un pour que je gagatise à moitié devant ces boules de poil. Mais sincèrement, qui pourrait y résister ? Je n’ai même pas pu attendre une dizaine de seconde avant de me mettre à lui gratouiller doucement les oreilles. Au moins, une chose est certaine, il est nettement plus facile de s’y prendre avec les chats, et même les animaux tout court, qu’avec les humains. Eux au moins ils ne vous jugent pas, et s’ils le font, ça ne se voit pas. Et puis ça ne vous crie pas dessus non plus. Je serais bien resté là à caresser le chat, mais il faudrait bien qu’un jour je me décide à répondre à celle qui semblait être sa propriétaire.



« ▬ Je…Ils n’ont pas dû faire exprès que…ça me retombe dessus…Et…Il y en avait au moins un de…de Gryffondor, les autres je n’ai…pas vraiment fait attention, je…ne les connaissais absolument pas.»


Ce n’était pas non plus comme si ma capacité à reconnaître les gens était légendaire non plus. Je peinais déjà à savoir si oui non telle ou telle personne était dans mon année et généralement ma connaissance des noms se limitait aux personnes de ma maison. Sans doute que si je daignais faire un effort et sortir un peu plus de ma Salle Commune, j’aurais plus de genre, mais…non. Ca ne me tentait pas plus que ça. Pas du tout. Etre ermite peut être très bien. Ca a tout à fait ses avantages. En attendant, le chat ronronnait toujours tranquillement, m’arrachant un sourire, et me décidai enfin à regarder dans les yeux la personne qui me faisait face.


«▬ Il s’appelle comment ? »


Au moins que je sache comment le nommer c’te bout de chou. Je lui ferais bien un câlin mais c’est pas non plus vraiment le bon moment pour le faire là. Alors on va se contenter de sourire en le regardant faire.









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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeDim 5 Oct - 8:54

Je souris une nouvelle fois en le voyant caresser ma boule de poil qui s'était installer sur ses genoux. Apparemment, le contact avec les chats ne le gênait pas outre mesure. Consciente que la discussion allait être plus détendue, j'allais m'asseoir derrière mon bureau pour la continuer.
Blitz semblait donner des miracles, car l'élève me donna quelques informations sur ses agresseurs.

-Cela me suffit, je retrouverai les coupables, je vous remercie.

J'avais remarque qu'il ne m'avais pas regarder dans les yeux, ce qui m'importait peu, tout élève baisse les yeux devant un adulte, du moins tous baissent les yeux devant moi. Le laissant à sa méditation, je vaquais à la mienne, réfléchissant à diverses choses et à des choses diverses.
J'en sortis cependant quand l'élève me demanda le nom de mon chat.

-Il s'appelle Blitz, comme les bombardements de 1940. Je l'ai renommer ainsi pour ne pas oublier mon passé et ce qui s'est passer ce 7 septembre. Je ne me souviens plus de son ancien nom, cela fais déjà plus de 2 ans que je l'appelle ainsi.

Je retint mes larmes à grande peine mais réussit à en laisser couler aucune. J'aurais tout le temps de pleurer plus tard. Je bifurquais donc notre conversation sur un autre sujet.

-Vous semblez aimer les chats Monsieur Strugatsky. Est ce ainsi depuis toujours ?
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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeLun 6 Oct - 9:54




Isobel



J'le jure, je travaillais!



Bon le point positif était qu’elle semblait ne pas vouloir aller plus loin pour le moment dans sa recherche d’identité des élèves. Heureusement dans un sens parce que j’aurais été bien incapable de l’aider plus que ça je pense. Ce n’était pas non plus comme si la couleur de cheveux pourrait aider, d’accord, cela réduirait sans doute le nombre de coupables, mais ce n’était pas non plus comme si j’avais une palette de couleur dans l’œil, exacte qui plus est. Si ça se trouvait ce que moi je qualifierais de brun, elle le qualifierait de blond, etc. Donc ce n’était absolument pas quelque chose de fiable. On dira donc que j’avais fait tout ce qui était en mon pouvoir pour l’aider à les retrouver. Ce qui n’était peut-être pas tout à fait juste, mais tant pis. Je refuse d’aller plus loin dans la dénonciation des gens, j’en ai déjà fait assez et puis de toute manière, ce que je dirais serait peut-être n’importe quoi. Quoiqu’il en soi, je me redressai légèrement sur ma chaise, sans être trop brusque afin de ne pas faire peur à l’animal, ni de trop le gêner, continuant de le caresser, jusqu’à ce qu’elle me donne des informations sur son nom.

Au moins, ça avait le mérite d’être original comme nom. Et même si cela n’avait pas grand-chose de joyeux, il avait une réelle signification, personnelle qui plus est. Durant un instant, j’ouvris la bouche, dans l’intention de poser une question, avant de me réviser et de préférer me taire. Dès qu’il s’agissait de quelque chose de plus ou moins historique, je savais que j’vais tendance à poser des questions, afin d’en savoir un peu plus, mais ce n’était visiblement pas vraiment le moment, ou plutôt cela ne semblait pas être le sujet à aborder dans les minutes qui suivaient. Bien qu’en sécurité à Poudlard, il était plus que certain que tout ne se passait pas du tout exactement comme ici. Quoiqu’il en soi, je cherchai durant quelques instants quelque chose à dire, qui ne puisse pas être trop vexant ou quoique ce soit d’autre.



« ▬En tout cas, il est adorable ! »


Bon. On aurait pu certainement trouver mieux. Mais ce n’est pas non plus comme si j’étais un spécialiste des questions dans le genre, au moins on aura évité la catastrophe pour le moment. Me connaissant, j’aurais été prêt à lui poser des tonnes de questions, mais ne serait-ce que par respect, autant éviter le plus possible. Je trouverais certainement bien autre chose pour m’informer. Ne serait-ce qu’un livre, ce qui serait déjà un bon début, et pourrait sans doute m’apporter pas mal de réponse. De plus, elle venait de changer de sujet, ce qui montrait réellement qu’elle n’avait pas spécialement envie de s’attarder sur le précédent. Souriant un peu à sa question, je regardai quelques instants son propre chat, avant de relever la tête vers elle.


«▬ On peut dire ça comme ça, de ce que je me souvienne, à chaque fois que j’en croise un, ou presque, il faut que j’aille les voir ! »


Bon après tout, il y avait certainement une autre explication, mais je ne m’étais pas plus attardé que cela dessus. Bien qu’elle m’ait traversé l’esprit à plusieurs reprises déjà. Il était évident que ma mère, seule avec un enfant à sa charge, n’avait pas vraiment d’autre choix que de travailler. Ce qui faisait que, lorsqu’elle n’était pas là, je passais le plus clair de mon temps avec le chat de la famille, que je remercie encore de sa patience incroyable, pour avoir dû supporter tout ce que j’ai pu lui faire subir. Sans doute qu’après ça, j’ai dû considérer à peu près tous les chats du quartier comme mes potos et que j’ai étendu cette règle à tous les félins qui croiseraient ma route. Bien qu’ils ne semblent pas tous partager le même avis j’en conviens. Mais ce n’est certainement pas un coup de griffe ou autre de la part de l’un d’entre eux qui m’empêchera d’aller plus loin dans mes idées.


«▬ Ma mère trouve même ça désespérant, quand je suis à la maison, j’ai une fâcheuse tendance à la transformer en ménagerie…Mais en même temps, comment pourrait-on les laisser seuls dehors alors qu’on a toute la place ? »


C’est bien de se trouver des excuses, même si elles ne sont pas vraiment valables. Après tout, avant de pouvoir convaincre les autres, faut bien se convaincre soi-même et croire en ce que l’on dit. Ce qui était mon cas pour le moment. Et qui s’appliquait aux autres animaux bien évidemment, mais pour ma part je croisais nettement plus des chats errants qu’autre chose, et je me voyais assez mal recueillir les quelques chiens, qui ont généralement des colliers. Sans doute que j’aurais quelques petits problèmes avec le propriétaire. Sauf s’ils cherchent à se débarrasser de leur animal. Ce qui m’étonnerait quand même.


«▬ Vous avez d’autres animaux ? »


Durant quelques instants, je regardai autour de moi, histoire de ne pas non plus avoir l’air trop stupide si un autre chat se trouvait juste à côté de moi et de ne le découvrir que lorsqu’elle me le dirait.









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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitimeSam 25 Oct - 11:22

Je le remerciais du compliment avant de l'écouter et sourire doucement.

-Vous avez raison monsieur Strugatsky, les animaux ne méritent pas de vivre dans la rue, ils devraient tous avoir une famille qui les aime comme ils sont.

Il regarda autour de lui tout en me demandant si j'avais d'autre animaux.

-Non, je n'en ai pas d'autre, à part quelques rongeurs par ci par là mais ils ne m'appartiennent pas vraiment.

Un petit rire m'échappa avant de le regarder, plus sérieuse.

-Vous pouvez partir si vous le souhaitez. Je sais que je ne suis pas de bonne compagnie en général. Et vous sembliez réviser vos cours quand je suis intervenue, je m'en voudrais que vous ratiez votre examen par ma faute.

Je lui donnais le choix de rester ou de partir. A présent les clefs étaient entre ses mains.

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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington   [Janvier 1943] Vous avez dit travailler? ▬ Isobel Arrington Icon_minitime

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