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 Marius Ó Ceallaigh

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MessageSujet: Marius Ó Ceallaigh   Marius Ó Ceallaigh Icon_minitimeLun 13 Jan - 21:06

Marius Hugues Erwan Ó Ceallaigh

I told ya boyo ! I warned ya !


Genre :
Masculin.
Âge :
28 ans.
Métier :
Professeur de vol et entraîneur de Quidditch à Poudlard.
Lieu de résidence :
Loutry Ste Chaspoule, dans une petite maison assez semblable au terrier des Weasley.
Personnage ou auteur de l'avatar :
Bardroy/Baldroy de Kuroshitsuji/Black Buttler.

Familier :
Un croup. Vous savez, le genre de fox terrier à poils lisses avec une queue fourchue. Il s’appelle Owen. Il glapit plus qu’il n’aboie et ne sait pas faire fuir les moutons…
Baguette :
Sapin, plume de phénix, 33,5cm, souple.
Patronus :
Un bouvier bernois.
Epouvantard :
Trois cognards lui fonçant simultanément dessus au son de la foudre qui tonne.
Amortentia :
L’odeur des fleurs qui poussent à côté de la rivière, du feu de tourbe, de la brique mouillée après la pluie.

Taille :
Grand gaillard ; 1m82.
Corpulence :
Marius n’a jamais été maigrelet, il est plutôt du genre robuste, à la musculature assez généreuse, entretenue par le sport.
Cheveux :
Courts, en brosse, ils retombent en petits épits sur son front. Ils sont blond vénitien, aux couleurs automnales.
Yeux :
Bleus outremer.
Signes distinctifs :
Il a une vilaine cicatrice sur la jambe droite ; sa démarche est un peu lourde et déhanchée (très probablement à cause de sa blessure.) ; il a de la barbe au menton ; il a un très fort accent irlandais ; il a des lunettes climax pour jouer au Quidditch.
Style vestimentaire :
Il aime ce qui est pratique et simple ; il porte des chemises légères en lin, avec des cols pas trop encombrants, du genre col mao. Pantalons en général en velours, pour qu’ils résistent au mieux, marrons/noirs, tenus par une bonne paire de bretelles. Il préfère porter des bottes en cuir la plus part du temps, et de gros pulls en laine irlandaise en cas de froid ; il a une cape noire résistante et assez épaisse pour le sport par mauvais temps ; une autre rouge bordeaux qui semble faire honneur aux Griffondor, plus légère, quand il fait meilleur. Il oublie parfois de retirer ses gants et genouillères de quidditch, et garde quasiment toujours ses lunettes d'aviateur autour du cou. Il est assez négligé, en fait.

Qualités :
Enjoué, intelligent, courageux, franc, enthousiaste, dynamique, rapide, extraverti, direct, démonstratif, chaleureux, impulsif, aventureux, intrépide, vif, habile, pratique, déterminé, loyal, audacieux, drôle, amusant, décomplexé, infatigable, entier, soigneux avec ses élèves.
Défauts :
Fatigant, provocateur, têtu, colérique, impatient, rancunier, chauvin (trop), blessant, nonchalant, indomptable, gaffeur (avec les gens), pas très cultivé, gourmand.
Préférences :
Le Quidditch, le sport en général (d'équipe et de combat surtout), l'Irlande et la culture irlandaise, jouer du tin whistle quand il est tranquille, la cuisine Indienne, son croup Owen, se gratter la barbiche, ses lunettes d'aviateur, la campagne, vivre sa petite vie pépère, la musique celtique, imiter l'accent en général british de ses élèves qui se plaignent pour se ficher d'eux, ses origines, faire des voyages, la bièraubeurre et le whisky, les chocogrenouilles et dragées surprise, les patates (C'est son secret.), fumer (Cigarettes seulement), avoir de la complicité avec ses élèves et les voir gagner des matchs. Et surtout, se jeter dans la mêlée pour crier sa joie avec eux. C'est à cause de ça qu'il n'est pas arbitre.
Antipathies :
Les élèves qui se prennent pour des caïds, ceux qui imitent son accent, ceux qui ne s'échauffent pas ou refusent de faire certains exercices, les imprudents (Seulement en matière de sport), la maison Serpentard (Mais il évite de le faire savoir), la viande de mouton, tomber sur une dragée surprise qui a un sale goût, devoir emmener un élève à l'infirmerie parce qu'il a toujours peur que ce soit grave, il a peur des accidents de balais.

Que pensez-vous de la situation politique actuelle ?

Lamberston? Hoï, whot a eejit. Nah, oï don't like him.
▬ Avis aimable et mesuré de Marius, démontrant néanmoins qu'il émet quelques doutes sur l'honnêteté du premier ministre en l'appelant "débile".

Tout est dit. Quand il faut parler de politique, Marius se braque et fait la grimace. CORRUPTION! DISCRIMINATION! Et de ce fait : Ré-vo-lu-tion. Et une fois de plus, il se trahit et tout le monde comprend qu'il a le sang chaud. C'est son petit côté mi-irlandais mi-français qui l'encourage à avoir ce genre de discours, il est révolté de naissance. Et puis de toute façon, ces britishs sont des incapables, surtout en politique, tout est gouverné par l'argent! Pire que tout : l'avis qui court que les sangs-purs valent mieux que les autres. Ne parlez pas de ça devant lui sous peine de le voir sortir les poings : qu'ils soient dirigés au ciel, pour vous, ou pour la table.
Réputation :
De manière générale, vu par l'administration, les profs, fantômes, la masse des élèves et autres habitants de Poudlard, Marius c'est le prof de vol irlandais impulsif mais, au fond, très sympa. Il est réellement amical avec les gens, sauf, très certainement, avec ceux à qui il a eu affaire. C'est connu ; plusieurs sujets sont sensibles avec lui. Il est arrivé qu'il y ait eu des grosses disputes avec des élèves qui lui auraient montré du mépris... c'est un sang-mêlé, certes, mais c'est aussi un irlandais. Marius a dû faire affaire à beaucoup de discrimination pour cette raison lors de sa scolarité et, l'ayant à présent surmonté, il fait de ses origines une fierté, ce qui ne plaît pas à tous. Une "rumeur", en vérité vérifiable et fondée, dit qu'il avait été un incroyable joueur de quidditch dans sa jeunesse, jusqu'au jour dramatique où il aurait eu un accident, l'empêchant définitivement de faire carrière. Certains l'accusent d'être un raté et de s'être simplement reconvertit dans le vol parce qu'il ne saurait pas faire grand chose.

L'administration le considère comme un élément très pratique et agréable : il est toujours prêt à aider ses collègues et il est, visiblement, un bon travailleur manuel. Il est donc très capable de dépanner et sait se faire apprécier pour ça.

Pour ceux qui font du quidditch, il est, en général, un entraîneur apprécié. Il est très attentif envers ses joueurs, faisant toujours attention à ce qu'ils ne se blessent pas et soient toujours parfaitement prêts à jouer. La santé de chacun est un sujet d’inquiétude pour lui. Il sait leur faire atteindre un bon niveau, mais il faut savoir se plier à de nombreux exercices, ce qui agace parfois certains. Il a tendance à titiller quelques uns parce qu'il fait souvent des blagues sur les Serpentards ("Pas de triche, hein?") ou les Serdaigle ("Servez vous de votre cerveau si vous savez pas faire avec les muscles!"). Il aime bien embêter les filles en faisant sembler d'entrer dans les vestiaires, aussi. Néanmoins, il vient toujours fêter les victoires après les matchs : c'est le moment où il est surexcité et se jette sur ceux qui se sont illustrés pendant le match en les serrant dans ses bras, en leur mettant de grandes tapes sur les épaules et en leur apportant quelques gourmandises.
Projets :
Former de grands joueurs de Quidditch, permettre à tous de se dépasser, donner des valeurs à ses élèves par le biais du sport (Respect, convivialité, honnêteté, ...), vivre sa vie "pépère" dans sa petite maison de Loutry Ste Chaspoule... Il aimerait peut être bien retourner vivre en Irlande lorsqu'il songera à fonder une famille.
Famille  :
Ses parents sont tout deux sorciers ; ils comptent néanmoins plusieurs moldus dans leur famille, faisant d'eux des sangs-mêlés qui l'assument fort bien. Son père, irlandais, est brasseur dans un bar sorcier de Dublin, sa mère, française, employée dans l'administration sorcière, avant de passer du côté des moldus. Marius a deux frères et une sœur : un frère aîné, âgé de 31 ans, fait dans la réparation et l'entretient de balais de course et du quotidien ; une petite soeur de 27 ans, est médicomage accomplie ; un petit frère de 24 ans, cracmol de naissance, fait dans l'élevage de moutons. C'est par respect pour lui que sa mère a décidé d'entrer dans l'administration moldue, enfin de rester en lien avec lui et son monde. Marius est le seul à vivre hors d'Irlande mais il entretient tout de même une bonne relation avec sa famille.
Histoire :

Débuts - Enfance.
Daddy, can ya tell me about da Claddagh ring one more time, pleaaase?

Deuxième grand garçon quasiment-rouquin de l’union d’un sorcier irlandais et d’une autre française, Marius a été imprégné par le monde magique dans lequel il est plongé depuis sa tendre enfance, mais également par l’Histoire de son pays, marquée par la violence et la colère du peuple irlandais. Elle fut marquée, aussi, par la première guerre mondiale, déclarée peu de temps après sa naissance. Dublin traversant une grande période de violences, la famille vécu un long moment à la campagne, du côté de Wexford, dans un village semi-sorcier. C’est aux côtés de leur père que les deux garçons se passionnèrent pour le vol sur balais et le quidditch : hors de la vue des moldus, concours et courses faisaient leur bonheur. Il leur apprit également à jouer du tin whistle. Malgré les violences, la guerre, puis la guerre civile, Marius vécu une enfance heureuse, relativement isolé dans son petit village et entouré d’une fidèle et gentille famille.

Poudlard – Adolescence.
If anyone calls me a paddy again, oï swear oï’m gonna kick some asses.
A 11 ans, il reçu, comme son frère avant lui, sa lettre de convocation à Poudlard. Ce qu’il y découvrit le transporta comme le refroidit. Son frère, élève de Poufsouffle depuis 3 ans, avait dit vrai : s’appeler Ó Ceallaigh et un incroyable accent irlandais ne l’aida pas à se faire des amis. Plusieurs surnoms, pas tous les plus sympathiques, lui furent attribués, et de jours en jours Marius commença à acquérir une certaine célébrité dans l’école pour être le frère du Poufsouffle irlandais. Marius, lui, entra à Griffondor. Il y fut plus accepté qu’au sein de l’école de manière générale, et parvint à se faire un petit groupe d’amis. Des reclus, principalement. Ses révoltes contre ses camarades qui le harcelaient n’avaient menées à rien : il était toujours en tort face à ses professeurs et ne parvint pas à se faire respecter. Ou du moins, pas avant un moment… Il se fit particulièrement remarquer dès les premiers cours de vol. Marius savait parfaitement contrôler son ballais et démontrait de beaucoup d’habilité et d’aisance dans les airs. Son frère était rentré dans l’équipe de Quidditch de Poufsouffle en tant que batteur… Entre eux, les professeurs se mirent à réfléchir à son entrée possible dans l’équipe de Griffondor. Marius ne fit pas partit de la confidence tout de suite et ne se doutait de rien.

Il ne s’illustrait pas beaucoup dans les autres cours. Il semblait attiré par la nature et les matières qui lui permettaient la liberté avant tout ; ses notes étaient bonnes en soins aux créatures magiques, en botanique et en sortilèges. Les autres lui faisaient plutôt défaut. Quelques mois d’observation suffirent néanmoins à se décider : on le recommanda au poste de poursuiveur, Marius avait fait ses preuves. Il fut accepté sans plus de débats, avec peut être un peu de réserve de la part des membres de l’équipe, en raison de sa réputation et de son jeune âge. Mais les premiers entraînements, puis les premiers matchs firent rapidement changer d’avis. Une place se creusa peu à peu au sein de l’école pour Marius : il était devenu le protégé des amateurs de Quidditch. Beaucoup émettaient encore des réserves : après tout, il restait irlandais. Mais les années finirent par convaincre… Marius était un excellent joueur de Quidditch. Son équipe s’en sortait gagnante et il ne se passait pas un match sans qu’il n’ait marqué un but.

L’avenir – Âge adulte.
So, what’s da craic ?
Alors que son frère laissait tomber le Quidditch pour finalement s’occuper des balais des autres, que sa sœur prévoyait très sérieusement de futures études de médicomage, et que leur cadet cracmol songeait à élever ses amis moutons… Marius était seul à rester indécis, ne voulant quitter son école ni son équipe de Quidditch. Son rêve fut en partie réalisé : il fut en vérité repéré par un entraîneur anglais qui lui proposa une place dans l’équipe anglaise Montrose Magpies. C’est de là que commença sa grande épopée. Excellent joueur, il entraîna le succès quasi systématique de son équipe, qui pourtant avait connu une mauvaise période avec des scores bas et de mauvais classements. Deux ans de jeu avec son équipe passèrent avant que son entraîneur ne l’appelle après une séance de jeu : un monsieur en costume voulait lui parler… Il le voulait dans son équipe. L’équipe nationale anglaise.

C’est à partir de ce moment que Marius commença à prendre conscience de son réel talent. Il ne put répondre tout de suite à la proposition, notamment parce qu’il était stupéfait. L’homme avait rit, lui avait donné quelques tapes amicales sur l’épaule, et lui avait dit de lui envoyer un hibou quand il aurait prit sa décision. Il était prêt à attendre un peu pour l’avoir. Mais le premier hibou qu’envoya Marius fut pour sa famille : il leur raconta toute l’histoire. Il s’interrogeait : s’il était si fort, fallait-il accepter un poste anglais ? Ne ferait-il pas mieux d’aller dans l’équipe Irlandaise pour leur faire honneur ? Pendant toute sa scolarité, on s’était fichu de lui et de sa famille. Peut être était-il finalement temps de leur montrer ? Ses parents, comme ses frères et sa sœur, lui répondirent néanmoins de profiter de l’occasion qui se présentait à lui sans se soucier de ces histoires idiotes de discrimination dont ils avaient été victimes. S’il voulait faire ses preuves, qu’il les fasse aux anglais. Marius accepta alors de rejoindre l’équipe nationale. Son heure de gloire était venue.

La coupe du monde de Quidditch se jouait l’année suivante : celle de 1937, pour la 116ème édition. Ils la remportèrent, notamment grâce aux buts qui permettaient d’augmenter le score lorsque l’attrapeur n’était pas assez vif. Marius, à 23 ans, eu alors droit a sa part de célébrité ; il apparaissait aux côtés de son équipe dans le journal, levant la coupe au dessus d’eux en sautant, ou serré dans les bras de ses coéquipiers. Il fut soudainement reconnu du grand public comme un grand joueur de Quidditch. On prévoyait une nouvelle grande victoire anglaise pour 1941. En attendant, il continuait de jouer parmi les Magpies en préparant la coupe d’Europe. Lors de celle-ci, à nouveau, l’équipe anglaise s’illustra par les exploits du poursuiveur irlandais… Ce jusqu’à son 6ème match du tournois. Ce fut son dernier.

Ils étaient opposés aux Busards de Heidelberg, et le match se joua sous la tempête. Une pluie terrible déferlait sur le terrain lorsque les joueurs entrèrent. Ils étaient trempés avant même que les capitaines ne se serrent la main. Le coup de sifflet retentit et les joueurs décolèrent. Les quarante premières minutes du match se déroulèrent sans accidents ni problèmes, mais chacun faisait face aux difficultés des conditions avec plus ou moins de mal. Les dents serrés, essuyant la buée de ses lunettes d’aviateur, Marius essayait d’éviter tant bien que mal les cognards et de marquer le plus de but, tenant le plus fermement possible le souaffle entre ses mains sans que ses gants ne le fasse glisser. Mais peu à peu, on perçu un changement de comportement des cognards. L’un d’eux semblait revenir ostensiblement vers la même cible : Marius. L’éviter ne lui posait pas trop de difficulté mais l’empêchait de bien jouer… Lorsqu’un deuxième commença à le rejoindre dans sa tâche, Marius ne put alors plus prêter main forte aux deux autres poursuiveurs. Le temps se gâtait : les épais nuages gris se transformaient en lourds nuages noirs et le tonnerre se mit à gronder. Le match tournait mal, lui aussi. Bientôt le troisième cognard rejoint la course. Marius, affolé, voletait partout, montait en piquée avant de descendre brutalement en rasant le terrain : rien n’y faisait, il était poursuivit. En passant, il criait à son capitaine : « ILS LES ONT ENSORCELES LES SALAUDS ! ». On demanda interruption du match : l’arbitre ne leur accorda pas. Marius, dans une énième tentative de se débarrasser de ses poursuivants, monta en flèche, verticalement au terrain. Ses mouvements nerveux et rapides étaient salués par les huées des supporters scandalisés ; on hurlait au trucage. La foudre tonna, illuminant brusquement tout le terrain. Marius était rendu sourd par le bruit, aveugle par la pluie. Il ne cessait de monter, mais les cognards s’étaient faits à la montée et semblaient gagner en vitesse. Le moindre virage l’aurait trahi : ils se seraient abattus sur lui. Un coup d’œil vers le bas l’informa qu’il était à une cinquantaine de mètres au dessus du sol… Une vive lumière passa sous ses yeux : un éclair venait de le frôler. Décontenancé, Marius avait alors à peine freiné… Le grondement monstrueux de la tempête se déchaîna dans ses tympans. Ce fut assez pour les trois cognards qui se fracassèrent simultanément sur sa jambe droite. Le tibia fut rompu sur le coup. Le brouhaha de la foule grondait encore dans les tribunes : personne n’avait comprit. Mais lorsque Marius, sous la douleur, lâcha son ballais, un cri de terreur échappa à tous les sorciers réunis. Pendant un instant, sa cape s’accrocha au manche de son ballais et le retint quelques secondes en l’air. Mais il pencha sous son poids, et le poursuiveur fit une chute si rapide que l’on ne put intervenir que sur les derniers mètres ; il fut à peine freiné, si bien qu’il s’écrasa lourdement sur le sol, la jambe brisée.

Lorsqu’il rouvrit les yeux, Marius avait la tête, le bras gauche et la jambe droite tous trois couverts de bandages. Il était allongé dans un lit d’hôpital. Déjà, sa chute faisait la une des journaux. S’il n’était pas mort, cela tenait du miracle. Une gentille infirmière vint lui dire bonjour en souriant, lui parlant d’une voix douce. Il ne comprenait rien : il ne se rappelait plus. Mais lorsque son équipe entra dans sa chambre, quelques heures après son réveil, la mémoire lui revint. Les trois cognards, la tempête, l’orage, la douleur fulgurante qui avait traversa sa jambe droite… Le match avait été annulé. Tous avaient cru que Marius s’était tué. Les cognards avaient été vérifiés mais rien ne semblait indiquer un disfonctionnement… Ils parlèrent tous très longtemps, mais bientôt, Marius posa la grande question :

« Quand est-ce que je pourrais à nouveau jouer ? »

Son équipe parût alors très embarrassée. L’entraîneur prit la parole.

« Marius, ton tibia a été brisé d’un coup lorsque les cognards se sont rencontrés... Tu aurais pu t’en sortir convenablement et reprendre le Quidditch trois mois après, avec quelques potions. Mais avec ta chute… comment dire… »

Marius regardait sa jambe. Il avait encore vaguement mal, des médicaments lui avaient été administrés pour calmer toute douleur. L’entraîneur reprit soudainement la parole.

« L’os a transpercé ta jambe, Marius. Les muscles sont endommagés. C’est finit. »

Un lourd silence envahit la pièce. Tous s’éloignèrent alors de lui et sortirent doucement de la chambre, laissant Marius seul, effaré. Il ne pouvait y croire… Le calme fut rompu lorsque de lourds sanglots échappèrent soudainement à  l’ex-poursuiveur de l’équipe anglaise.

Poudlard – Y retourner.
Don’t ya dare get on that broom if ya can’t even take that ball !
Il fallut plus d’une année entière à Marius pour se remettre de ses blessures, physiques comme morales. Il partit vivre chez ses parents de longs mois, cherchant le réconfort de sa famille. Lui et son père marchaient tous les jours pour parvenir à rééduquer le jeune homme, qui avait eu besoin de béquilles et de nombreuses potions. Ce fut l’occasion pour lui de se remettre au tin whistle. Son assurance retrouvée, Marius commença à monter à nouveau sur un ballais, en cachette de sa mère qui aurait été folle d’inquiétude. A force d’un peu de pratique, le coup de main lui revint, ainsi que ton équilibre. Doucement, sa jambe se remit. A tous, il disait alors « Bah, elle est comme neuve ! ». En vérité, sa démarche avait changé et s’était alourdie d’un léger boitement. Elle le faisait parfois souffrir, mais une cigarette l’empêchait de grimacer de douleur. Marius décida finalement de retourner s’installer en Angleterre, à Loutry Ste Chaspoule.

Il acheta une petite maison là bas, proche de la rivière. Il fut surpris d’y trouver plusieurs familles de sorciers, et notamment quelques petits élèves de Poudlard. Il fut charmé de les voir s’entraîner à jouer au Quidditch lorsque les moldus avaient le dos tourné et se proposa de les entraîner. Les gamins, ravis, se virent faire beaucoup de progrès. Il leur fallut du temps cependant pour reconnaître Marius. C’est eux qui, finalement, lui donnèrent l’idée de se proposer comme professeur de vol à Poudlard. L’année qui suivit, on lui donna le poste : ce fut une bouffée d’air frais pour Marius qui pouvait enfin retrouver le sport de ses passions, celui auquel il avait cru devoir dire adieu.

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MessageSujet: Re: Marius Ó Ceallaigh   Marius Ó Ceallaigh Icon_minitimeLun 13 Jan - 21:48






Bonjour, je suis Phileas-Faust Carthew, responsable de votre validation et représentant des professeurs.

Une fiche complète ! Pas facile de lire dans un encadré aussi étroit. xD Par contre je crois qu'on dit Gryffondor et non Griffondor. :P Mais c'est bien ! On avait pas encore de professeur provenant de cette maison.




Moi qui voulais faire monter un match amical de Quidditch entre professeurs, ça risque d'être chaud.  =D  En tout cas bienvenue dans l'équipe. o/ Ne reluquez pas trop les filles, sinon ça va baver niveau administration. Huhu.
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MessageSujet: Re: Marius Ó Ceallaigh   Marius Ó Ceallaigh Icon_minitimeLun 13 Jan - 21:57

    Woups, désolé de la longueur et de la faute alors!

    JE SUIS VIOLEEEEEEEET!  panda 
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MessageSujet: Re: Marius Ó Ceallaigh   Marius Ó Ceallaigh Icon_minitime

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