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 [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]

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MessageSujet: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeSam 31 Mai - 10:51


PV. WILLIAM MARSHALL


Oswin dormait paisiblement quand il apprit la nouvelle. Le nouveau père (d'adoption) de famille avait passé la soirée tranquillement en tête à tête avec sa bien-aimée, Lily, et son petit garçon, Dorian, qu'il avait décidé d'élever. Le repas avait été somptueux, et comme chaque année, ils s'étaient souhaités tout le bonheur pour l'année qui allait suivre. Puis, ils s'étaient couchés. Tous deux furent réveiller en trombe par des hiboux, un pour chacun.
Celui du Mage Noir était arrivé tout droit du ministère de la magie. Il y était écrit que des Mercenaires au compte de Grindelwald venaient de faire irruption en plein milieu du banquet de Pré-Au-Lard. Cependant, il était aussi précisé qu'il ne devait pas bouger, que les Aurors avaient été envoyés en renfort, et qu'il ne serait appeler qu'en cas de complications supplémentaires.
Lily quant à elle avait été rappelée en urgence à Poudlard, pour des raisons similaires. Alors, elle avait décidé de laisser son fils à son compagnon et était partie rejoindre ses élèves.
Oswin ne laissa exploser sa colère que lorsqu'elle fut assez loin et Dorian assez endormit.
Grindelwald lançait des attaques sans le prévenir ?! Qu'est-ce que c'était encore que cette histoire. Pris de rage, son seul contrôle résidait dans le petit garçon de trois ans qui dormait paisiblement dans la pièce voisine. Il était la seule raison qui le gardait dans leur petite maison. Il tenta alors de se calmer et fit les cent pas dans la maison, tentant de comprendre.
Puis, on se matérialisa dans son salon. Un jeune mage noir dont le nom lui échappait venait d'arriver. Oswin lui passa un savon. Comment pouvait-il venir à l'improviste ? Ainsi, il risquait de mettre en danger son image de père de famille et de Langue-de-Plomb. Puis, il l'écouta. Grindelwald n'était au courant de rien, c'était le coup d'un autre Mage Noir, qui commençait à se liguer contre le grand chef pour des raisons peu claires. Il demandait à Oswin de rester chez lui, mais que dans quelques heures une mission lui serait confiée, qu'il ne devait pas quitter la maison et se tenir prêt. Puis le jeune homme avait disparu.
Oswin était cependant toujours partagé entre un soulagement certain et une haine profonde. Quiconque tenait tête à Grindelwald et surtout, le trahissait, méritait le châtiment le plus dur. Le tueur se ferait donc une joie de le torturer.
Le reste de la soirée, Oswin n'avait pas fermé l'oeil, il réfléchissait. Il cherchait qui pouvait être cet homme.
Ce n'est qu'au petit matin du premier jour de 1943 qu'il eut sa réponse. Comme convenu, son supérieur lui avait envoyé un hibou dans lequel il lui confiait une mission.
Tu partiras demain à l'aube, tu seras accompagné d'un autre Mage, William Marshall, tu as déjà fait de petites missions avec lui. Vous allez devoir retrouver Tirésias, c'est lui qui a organisé cette mascarade, vous allez devoir fouiller la zone indiquée sur le plan. J'ai envoyé un grand nombre d'équipes pour lui. Il ne nous échappera pas. Je compte sur vous.
Au dos de la lettre, une carte. L'endroit indiqué était un peu loin, il devrait donc amener Dorian à Poudlard. Ou du moins à sa mère. Il devait prétexter une mission. Il fallait dire que son métier de Langue-de-Plomb lui permettait de justifier beaucoup de ses déplacements de Mage.
Le soir il avait donc amené le petit à sa génitrice, ils s'étaient retrouvés à l'entrée de Poudlard. L'homme ne voulait pas entrer dans l'école de Magie où il avait lui-même effectué sa scolarité.
Il était ensuite rentré dans sa maison et c'était préparé pour son départ au petit matin.
Avant son départ, il s'était regardé dans le miroir. Ses yeux avaient changé, ils étaient signes de mort. Oswin caressait sa baguette, puis son canif, avec une envie débordante.
« Je vais te tuer Tirésias, ne t'en fais pas, tu vas regretter d'avoir trahi notre chef. Je peux te l'assurer. »

Il était ensuite parti au point de rendez-vous qu'il avait posé avec William. Le jeune Mage était l’apothicaire de Pré-Au-Lard, ils avaient donc décidé de se retrouver autre part, c'était bien trop dangereux là bas. Ils étaient plus loin, au début de leur zone de recherche.
Oswin s'était assis sur une roche, attendant l'arrivée de son comparse.


OSWIN FOSTER - LANGUE-DE-PLOMB & MAGE-NOIR
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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeSam 31 Mai - 17:55





Éliminons ce sujet qui nous dérange

Avec Oswin Foster


Je pensais en avoir fini avec toute cette histoire. Une attaque sorti d'on ne sait ou, un nouvel an un peu trop étrange et mouvementé. Je sais pas vraiment pourquoi mais je sentais que cette année serait tout aussi étonnante et anarchique. Prés au lard en feu, Poudlard assaillit par les mages. Un pauvre fou qui s'est imaginé qu'il pouvait avoir Dumbledore si facilement. Un peu trop téméraire sur ce coup là, ce qui m'étonna c'est de n’avoir eu absolument aucune nouvelle ni même d’avertissements quand à une éventuelle attaque directe. Attaquer Poudlard... Je m'étais toujours dis qu'être partisans nécessitait forcément quelques grain de folie ou d'aberration.. mais là.. c'était simplement ridicule. Je n'avais aucune idée de qui ça pouvait être, mais une chose est sûr, il allait certainement regretté cet initiative.

Enfin, ce n'était pas mon problème à vrais dire. J'avais assez de soucis comme ça à vrais dire. Cette nouvelle année avait débuté avec une dispute. Une de plus, ça devenait presque une habitude, mais tans qu'il y aurait des femmes au sale caractère sur cette terre.. il y aurait des disputes. Celle ci était particulièrement stupide, pour pas changé, on ce disputait toujours pour quelques détails sans importances.. et ça ce finissait toujours de la même manière aussi. Au final on ce réconciliait de la plus agréable manière qu'il puisse être, à croire qu'on cherche le conflit juste pour ça. Ou alors c'est simplement nos caractère plein de poussière qui créent quelques tensions et divergences d'opinions. Au moins on peut dire qu'on a pas le temps de s'ennuyer, je sais pas vraiment si c'est un avantage, mais c'est un fait.
Je pensais que cette incident était derrière moi, une sorte d'erreur grotesque qu'on s'empresse de faire oublier. Mais c'était loin d'être le cas, l’après midi venait juste de ce finir, le soleil disparaissait derrière les montagnes quand quelqu'un fit interruption chez moi sans que je ne l'invite. Un homme tout de noir vêtu s'était introduit dans mon jardin, il semblait sinistre et quelque peut angoissé. Je le reconnaissait vaguement comme faisant parti des mages noir au service de Grindelwald, s'il était là ce n'était pas par hasard.. Tout ça annonçait quelque chose d’intéressant. Sans même prendre le temps de me vêtir d'une tenus correcte, j'étais parti à sa rencontre, le rejoignant dans le jardin à l’abri de tout regards un peu trop curieux. Il me baragouina quelques explication, l'air presque désolé sans trop que je sache pourquoi. Puis il ce mis à expliquer la situation d'au air grave. Comme soupçonné, cette attaque était un acte indépendant d'un général un peu trop zélé. J'allais partir en mission? Parfait. Je crois que je me réjouissait un peu trop de cette nouvelle.. après tout c'était tout de même une situation gênante pour nous autre, peut être même qu'on aurait dus ce sentir révolté.. qu'un d'entre nous ai osé mener une telle bataille qui c'est finalement soldé par un échec lamentable... On passe pour des amateur. J'en connait plus d'un qui ce serait fait un joie d’extirpé la cervelle de cet imbécile par les oreilles et tout autre orifice d'ailleurs.
Moi, ça me donnait juste une bonne occasion de me promener et de me dégourdir les jambes, ainsi que la baguette. La vie en Grande Bretagne est d'un monotone... j'avoue qu'il m'arrive parfois de regretter l'agitation des pays de l'est. Tout ça allait peut être changer!

Un bref signe de tête à l'homme et ce dernier tourna les talons pour disparaître aussi vite qu'il été apparus. Il ne me restait plus qu'a attendre quelques information supplémentaire et me tenir prêt. Je vis cette mission comme une magnifique opportunité de tester et d’exploiter, enfin, mon nouveau passe temps. La chimie Moldu. On peut pensé ce qu'on veux de ces personnes, mais ils ont vraiment un don pour détourner mère nature et d'en faire une arme vicieuse, cruelle et dévastatrice. Je trouve ça fascinant, leurs créativité sadique et morbide n'a presque pas de limite! Pas étonnant qu'ils passent leurs vie à vouloir s’entre-tuer.. Je ne sais pas vraiment comment utiliser ma nouvelle création, mais je suis certain que l'occasion ce présentera.

Après que le hiboux tant attendu ne me délivre les quelques information supplémentaire, je m'était empressé de rassembler quelques affaires dans une simple bandoulière en tissu. Ne voulant ni réveiller ma dulcinée, ni même me lancer dans une tirade d'explication et de réconfort avant de partir, j'optais pour la solution du petit mot doux laisser sur la table. Rapide, efficace et presque sans danger! Je n'avais rendez vous qu'au petit matin mais il me fallait réunir quelques affaires ci et là avant tout. L'aube pointait le bout de son nez quand je finit enfin par me décider à rejoindre notre point de rendez vous. Il fallait d'abord trouver l'homme en question ce qui ne serait peut être pas si simple que ça au final, s'il était un minimum futé, il devait déjà être bien loin du pays, ou terré dans un coin sombre comme un rat. Mais sa tentative idiote me suggérait qu'il n'"tait peut être pas si malin que ça..

Il était déjà là, il, c'était Oswin Foster. Niveau grain de folie lui il en tenait carrément une couche. De ce que j'avais vue et entendu j'en avait retenus qu'une chose. On risque pas de s'ennuyer! Petite sourire de circonstance, je m'approchais du grand mage noir percé sur son rocher avant de le saluer très chaleureusement.

- Mr. Foster. Bonjour, c'est un plaisir de vous revoir, comment allez vous en cette belle et froide journée? Vous ne m'attendiez pas depuis trop longtemps j'espère.

Un bavardage digne d'un lady s’appétant à rejoindre son amie autour d'une tasse de thé pour bavarder des dernier chandails à la mode. Mais non nous n'étions pas ici pour parler couture, et encore moins pour prendre un thé, quoi que.. peut être une fois la mission fini, et qu'Oswin aura empalé notre cible sur un vieux tronc s'arbre après lui l'avoir vidé de son sang comme un cochonnet la veille d'un réveillon. Sourire toujours au lèvre, mon regard ce perdis dans le décors qui s'offrait à nous. Par ou commencer? Peut être avait il une idée lui. Plus expérimenté que moi, je savais que la chasse à l'homme était son passe temps préféré lors de ses dimanches pluvieux.

- Alors.. une idée de comment procéder? Ton flaire t'a t-il mit sur une piste?


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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeLun 2 Juin - 12:12


 
PV. WILLIAM MARSHALL

 

 
Oswin n'avait dû attendre qu'une petite demi-heure sur son rocher. Il fallait dire qu'il était arrivé un peu en avance. Vous savez ce que c'est quand on est impatients hein ? On prépare tout à l'avance, on n'arrive pas à dormir, on se lève une heure avant l'heure prévue et finalement, on a une grosse demi-heure d'avance ! Il n'était donc pas dérangé. Enfin si, mais c'était dans son esprit ça.
Surtout que ce gamin, ce William Marshall, était un bon Mage Noir, bien meilleur que ce Arthur ... Les dents de l'homme se serrèrent en revoyant son visage d'enfant effrayé. Il aurait dû le tuer le jour de leur mission, réellement. Oswin espéra donc ne plus jamais revoir cet énergumène, à moins pour lui enfoncer l'un de ses canifs dans ses entrailles.
Un sourire malsain écarta les lèvres de l'homme, laissant à découvert ses dents longues, légèrement pointues, et blanches. Sourire qu'il ne retira pas alors que William s'avançait jusqu'à lui. Le garçon était poli, tentait l'ironie. Etrangement, il fit mouche. Avec force, Oswin se leva et attrapa sa main, la serrant en guise de salue. Il tapa aussi lourdement sur son omoplate pour l'encourager.
 
« Jeune homme, cette journée s'annonce fabuleuse ! Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas senti en aussi grande joie ! Je suis arrivé il y a un petit moment, je voulais repérer les environs. Imaginer le sang sur cette lande verte et fraîche ... Ahh ... »

Il avait lâché la main du jeune Mage et s'était tourné, bras grands ouverts, vers le reste de la plaine, respirant un grand bol d'air frais. A peine fut-il immobile qu'un rire sombre s'échappait de ses lèvres. Derrière lui, William parlait. Il demandait comment il pourrait faire leur mission, mais aussi s'il avait flairer quelque chose.
Impatient, le regard désireux et brillant, le vieux Mage Noir se retourna et fit face à son cadet. Il l'attrapa par les épaules et lui indiqua la direction du Nord Ouest. Il leva ensuite son nez vers le ciel et renifla, digne d'un chien de chasse. Sa voix était aiguë, comme à chaque fois qu'il était pressé de quelque chose, excité.
 
« Effectivement, avant de venir, j'ai fait mon enquête. Quelques de mes hommes sont allés chercher des infos à la ... source ... »

La voix d'Oswin était monté dans les stridents à la fin de sa phrase. L'excitation était une maladie réelle pour lui. Ce qu'il entendait par aller "chercher les infos à la source", ce n'était rien d'autre que de la torture. Il n'avait pu le faire lui-même, il avait un petit garçon à charge tout de même, et la sécurité de Dorian valait plus que n'importe quoi d'autre, si ce n'est la sécurité de son propre fils, Lewin. Quelques de ses adulateurs, ou bien des Mages qui le craignaient, tout simplement, étaient allés à la recherche de leurs comparses qui avaient attaqué Pré-Au-Lard et Poudlard, et avaient tenté de soutirer un maximum d'informations sur l'ancien Général de Grindelwald. De ce qu'on lui avait rapporté, il se trouvait, apparemment, dans leur terrain de mission, cependant, le cercle que les sous-fifres de Tirésias avaient donné était encore très large, trop large. Il fallait donc le ratisser.
Oswin effectua donc un grand cercle de sa main droite, toujours dans la même direction, pour délimiter une zone large de recherche.
 
« Ils se trouveraient vers là bas, maintenant, il faut trouver réellement où. C'est un homme de pouvoir, je pense qu'il a choisi une bâtisse imposante. Avec peut-être un tas de petits sorciers sous ses ordres ... Des rejetons ... Des moins que rien .. Dont nous ne ferons qu'une bouchée ... Leur sang qui coule sur cette herbe verte ... Leurs cris qui feront s'envoler les oiseaux ... Oula la, ça me donne des frissons rien que d'y penser ! »

Oswin relâcha la pression sur les épaules de son acolyte et se mit à sautiller dans la direction qu'il indiquait précédemment. Il avait sorti l'une de ses lames et la faisait maintenant jouer sur ses doigts. Il ne se coupait pas, preuve de ses occupations lorsque l'ennui pointait le bout de son nez.
Et comme si William n'existait plus, il s'avançait gaiement dans la petit forêt. Ses pas s'enchaînaient sur la terre molle, laissant quelques traces qu'il effaçait d'un coup de baguette avisé. On pouvait même entendre de petits sifflements mélodieux s'échapper de ses lèvres. Heureusement, il faisait encore trop froid dans le coeur de l'Angleterre pour que les oiseaux lui répondent en coeur, sinon, on se serait cru dans un mauvais conte de fée.
Mais les faits étaient là, Oswin se délectait de savoir qu'il trancherait bientôt la carotide de cet homme un peu trop impétueux pour provoquer le si grand Sorcier qu'il était, et surtout, Grindelwald. Ce vaurien paierait le prix de sa trahison de sa vie. Et ses compatriotes aussi.

 

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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeMar 3 Juin - 15:51





Éliminons ce sujet qui nous dérange

Avec Oswin Foster


Le sorcier au regard dément me sera vigoureusement la main, son sourire glauque s'élargie un peu plus sur son visage, laissant entrevoir des dents carnassières et le rendait un poil effrayant. Mr Oswin Foster faisait part de ces homme qu'on redoute voir sourire, leurs sourire a quelque chose de mauvais et annonce bien souvent un projet cruel et sombre. Tout comme aujourd’hui d'ailleurs. Il répliqua avec autant d'ironie que j'en avait fait preuve, visiblement comblé de pouvoir ce dégourdir les jambes en chassant de pauvre et misérables âmes en peines. Il lui en fallait peu pour être satisfait, il ne s'attardait pas sur des détails comme la moral ou les lois. Je ne sais même pas s'il avait une once d'humanité en lui, peut être quelque part bien caché sous une tonne de vilain secrets et d'actes horribles..
Dans un sourire amusé, je l'avais laissé ce tourné vers l'horizon pour partir en quête de notre cible, il était aussi fringant et joyeux qu'une jeune fille ce rendant à son premier rendez vous. En bon professionnel, il avait réussit à soutiré quelques informations bien utile. Cet homme inspire tellement la crainte chez certain d'entre nous qu'ils seraient prêt à lui sacrifier femme et enfants si ça leurs garantissait de ne plus jamais le croisé. Un moyen de persuasion ma fois, efficace. D'un geste de la main, il désigna vaguement l'horizon en face de nous. Les recherches seraient certainement plus longue que prévus, mais si cet homme avait été assez idiot pour attaquer Poudlard de front, il ne ce montrerait pas plus malin pour sa fuite.

- Quelqu’un d'aussi audacieux et téméraire que lui... A sa place je serais déjà parti loin d'ici, je me serrais terré très profondément au fond d'une grotte en faisant le mort... Mais quelqu'un qui ose s'en prendre directement à Poudlard... et à Dumbledor en personne. C'est de la folie tout simplement.. quelque chose me dit qu'il s'attend tout de même à notre venu, peut être même qu'il a l’orgueil de pensé que nous seront une armée entière. Tout les partisans lancés à ses trousses, lui, l'homme assez courageux pour enfin faire bouger les choses. Je suis certain qu'il ce voit comme une sorte de héro. Un de ces grands sorcier qui aura eu le courage d'élever les ténèbres contre la lumière. Ça aurait pus être du génie, si ça ne s'était pas soldé par l'échec le plus cuisant et le plus gênant de toute l'histoire de la magie.. On en rougi tous de honte.

C'est certainement pour ça que mon partenaire de mission ce montrait tellement impatient. Il avait hâte de pouvoir réparer cette faute, cette petite erreur de parcours, une tache sur un tableau de maître, grandiose et impressionnant. Une fois "l'erreur" rayé de la surface de la terre, les ténèbres pourront enfin ce refaire un nom et une place au seins de cette société.
Il était déjà parti, chantant presque une belle balade pour accompagner sa marche joyeuse. Cet homme est peut être le plus déragé que je connaisse, mais également le plus professionnel. Il ne laissait ni trace ni témoin, un travail propre et soigné, enfin propre.. c'est une façon de parler. Les effusions de sang semble être une véritable passion chez lui. Il l'a presque élevé ça au rang d'art. Je préfère les morts plus discrètes, et moins salissantes. La douleur, l'agonie et ensuite la mort. C'était tout aussi louable qu'un coup de lame sur une carotide.

-Je te laisse volontier te charger de lui, essai juste de ne pas les tuer trop vite, j'aimerais faire quelques expériences avant que tu ne les vide de leurs sang. Au moins ils auront servie à quelque chose d'utile avant de mourir.

Il marchait devant moi, je le suivais en gardant un oeil au alentour, pour le moment rien n'indiquait la présence de sorcier, ou de quoi que ce soit d'autre. Chasser un sorcier est plus compliqué que de chasser un Moldu. Les sorcier peuvent transplanté et donc, mettre les voiles à la seconde même ou ils ce sentent piégé. Même si certains sortilèges entrave le transplanage, il serait tout à fait idiot qu'il y ai eu recourt sur sa propre cachette.. Dommage, dans le cas contraire il aurait suffit de mettre le feu à la foret, au village et à tout ce qui l'entour, ainsi, lui et sa petite troupe de mage auraient fuit le brasier comme la vermine abandonnant un navire.

- Il va falloir être subtile si on ne veux pas le voir fuir une fois de plus. Je ne pense pas qu'il ce risquera à nous affronter. Téméraire, certes, mais c'est aussi le plus gros lâche de notre décennie. Il ce planque derrière ses acolyte, tremblant certainement comme une feuille en imaginant ce que le Maître lui réserve.Tu es certain de pouvoir rester discret?

Nous étions maintenant aux abord de ce qui semblait être un regroupement de maisonnettes. Un village peut être? Il semblait plutôt vide, voir peut être même abandonné. S'il devait être quelque part, c'était certainement ici. tapis parmis les ombres de la foret, le travail d'observation commençait maintenant.

- Honneur aux aînés, tu paris sur laquelle?





[Hrp : Je savais pas du tout si tu avais prévus une plaque bien spécifique du coup j'ai un peu improvisé histoire de pas les faire trainer trois plombe dans la foret XD si tu avais une idée en tête dis le moi je changerais sans soucis]
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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeJeu 19 Juin - 15:40


PV. WILLIAM MARSHALL


Après qu'ils se soient serrés la main, William décrivit un peu ce qu'il pensait sur cet homme fou qui avait osé les provoquer en attaquant Poudlard. Oswin hochait la tête car il était totalement d'accord avec ce qu'il avançait.
Le sourire d'Oswin s'écarta plus encore quand il parla de honte. C'était le cas, enfin, lui n'avait pas honte, il n'était que fureur. Il ne désirait qu'une chose, faire payer sa trahison à cet homme qui s'était fait ridiculiser devant Dumbeldore et qui avait misérablement perdu. Même Oswin savait qu'il ne pourrait JAMAIS battre Dumbeldore, du moins, pas tout de suite. Car il avait une parfaite connaissance de ses capacités, il savait ce qu'il pouvait et ne pouvait pas faire. Oswin était intelligent et calculateur. Un peu impétueux et fier de lui, ce qui lui portait souvent préjudice, mais il faisait attention à tout ce qu'il faisait et voulait faire.
Oswin n'avait rien répondu à ce qu'avait dit William, acquiescer était une perte de temps sur leur mission, se taire était donc la meilleure façon de montrer son accord avec ce jeune sorcier qui serait sûrement très prometteur dans le milieu.
Après quelques minutes, il entendit son camarade parlait d'expérience. Le père de famille appréciait qu'on innove. Alors, il se tourna, très rapidement vers lui, un sourire exalté au visage :
« Fais ce que bon te semble mon grand ! Ils seront nos souris de laboratoire pour la journée, nos petits juifs sur qui nous pourrons faire nos expériences, comme le font les nazis. Ouh, j'en frissonne d'avance. »

Comme pour confirmer ses dires, l'échine de l'homme frémit de façon compulsive, il se plia presque en deux de plaisir. Mais il continuait sa toute, comme si de rien était.
William recommença à parler alors qu'Oswin commençait à sentir l'odeur d'un feu de cheminée. S'il saurait rester discret ? Un long moment oui, mais l'excitation le ferait sûrement flancher à peine aurait-il vu sa première proie. Mais il ne répondit pas, il cessa d'écouter son camarade, lui indiqua la première la maison la plus au centre du village, une grande bâtisse. Il ne parla pas, mais son regard signifiait que c'était leur destination.
Oswin commença à avancer à pas de loup, ils pénétrèrent dans le village. Une ombre s'affola sur leur gauche, au coin d'une maisonnette. Le vieux mage l'indiqua à son cadet avec un sourire tandis qu'il s'avançait vers une autre maison, d'où s'échapper quelques chuchotements, sans attendre, il sortit son canif dans sa main gauche et fracassa la porte d'un grand coup de pieds.
« Vous allez regretter d'avoir défier notre chef ! »

La voix d'Oswin tremblait de plaisir alors qu'il lançait son couteau entre les cotes d'un sorcier qui venait de sortir de derrière un canapé. Le second ne tarda pas à se faire voir, à l'autre bout de la pièce, à l'opposé d'Oswin, cependant, le vieux avait senti sa présence et d'un coup franc de baguette lança un doloris sans précédent. Il maintint le sort tandis qu'il s'avançait vers le premier. Il décrocha un poignard de sa bottine et regarda le sorcier dans les yeux. Sans la moindre difficulté, il s'empara de la baguette du traitre et la regarda :
« Tiens, je vais la garder, elle est jolie, elle devrait plaire au petit. »

Cette parenthèse ne concernait que lui. Il se fichait du sorcier. Tant bien qu'à peine eut-il glissé la baguette dans son sac, il retira le canif de la chair de l'homme, sans attendre qu'il réagisse et l'enfonça de nouveau dans son ventre. Il la remua un peu. Des cris commencèrent à s'échapper de la gorge de l'homme. Oswin avança son poignard vers sa joue :
« Ferme la un peu avant que je te coupe la langue. Maintenant, écoute moi bien, dis moi où est ton Maître. »

Au départ, l'homme ne voulut pas répondre. Oswin se mit donc à lui taillader les bras, puis les cuisses, le ventre et déposa la lame sur son cou. Là le jeune sorcier craqua et confirma ce qu'il pensait : Il campait dans la maison au centre, la plus grande. Un sourire écarta les lèvres d'Oswin alors qu'il tranchait la carotide du jeune homme. Un merci guilleret s'échappa de ses lèvres tandis qu'il lançait son poignard dans le coeur du second sorcier.
Rapidement, il effaça les traces de son passage qu'il restait dans la maison et en sortit, attendant William afin de lui assurer de l'emplacement du traitre. D'un coup de langue, il éleva une des multiples goutes de sang qu'il avait sur le visage ... Fier de lui. La jubilation était extase.


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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeLun 23 Juin - 12:06





Éliminons ce sujet qui nous dérange

Avec Oswin Foster


C'est surement l'homme le plus inquiétant que je connaisse cet Oswin, à croire que je me sens forcé de fréquenter des gens cinglé, peut être que dans le fond cette folie me rassure en me prouvant que je suis loin d'être le pire.. j'en était même à des années lumières de là.
Le grand mage noir s'était avancé en premier, guettant le moindre mouvement avec un grand sérieux ponctué par une pointe d'avidité. Je suis certain qu'il aurait été profondément déçus de ne pas tomber sur ou ou deux forcené lui barrant la route. Ce serait réellement trop facile et ennuyeux pour lui. Mais comme les choses sont bien faites ces temps ci, une ombre ne tarda pas a ce faire voir dans l'encadrement d'une fenêtre. Sans un mot, un simple de regard de la part de mon aîné et je compris que je devais me charger de ça. Chacun sa maison, comme ça.. pas de jaloux. Il ce dirigea vers la sienne pour faire son travail, j'entrais à mon tour dans une bâtisse miteuse et plutôt petite. Baguette à la main au cas ou quelqu'un tenterait quelque chose de stupide. Je ne m'inquiétais pas pour l'autre grand Malade, à l'heur qu'il est ses pauvres victimes devaient ramper au sol en ce tenant les tripe pour les empêcher de ce rependre par terre. Finalement j'aira content de ne pas être en sa compagnie pour ça..  De toute manière j'avais déjà beaucoup à faire de mon coté.

Je n'étais pas entré dans la maison, je m'étais contenté de rester dehors, observant l'interrieur de la maison par une des fenêtres au carreau crasseux et partiellement brisé. Ils étaient deux. C'était largement suffisant... Ma main s'était engouffré dans le sac de toile qui pendant sur mon épaule, cherchant les quelques fioles qu'elle contenait. Elles avaient plus l'aspect de gros bocaux vides à vrais dire, mais elles contenait quelque chose de bien plus dangereux.. C'était le bon moment de tester tout ça. Les deux hommes semblaient un peu tendu, mais n'étaient pas vraiment sur leurs garde, j'en avais profiter pour lancé les fioles à l'intérieure de la pièces, j'entendu le verre ce brisé, laissant échapper le gaze toxique à travers la maison. Je crois qu'ils ne s'étaient pas attendu à ça. C'était tellement moldu que certain en aurait honte, enfin, j'avais un peu arrangé ça à ma sauce pour en faire un poison efficace et mortel. De la part de sorcier on s'attend à des sort ou toutes autres choses dans ce gout là, mais certainement pas à des bocaux brisé, le temps qu'ils ce rendent compte de ce qui ce passait, c'était trop tard.
Avec un sortilège de têtenbulle, je m'étais introduit dans la maison, observant les résultats de mon expérience. Un franc succès! Ils gisaient au sol en agonisant, suffocant à petit feu jusqu’à finalement mourir. Une mort rapide, propre et qui ne laisserait surement pas de trace... contrairement à mon collègue de l'autre maison... J'avais fouillé leurs corps, cherchant ce qui pouvait m'être utile, volant le reste. Pas de trace d'un plan éventuel, d'une lettre qui indiquait ou était leurs chef.. Le problème avec les gens mots c'est qu'ils parlent beaucoup moins bien après ça... heureusement un quinte de toux carabiné ce fit entendre à l'étage, quelqu'un était encore là, agonisant lentement. Il était encore en vit celui là.. et pourrait me donner les informations que je désirais. Montant les marches quatre à quatre, j'avais découvert le corps d'un homme ranpant au sol pour s'approcher d'une fenêtre, il s'adossa au mur, cherchant à reprendre sa respiration quand ses yeux ce posèrent sur moi. Faible, mais décidé à ce défendre, il le va sa baguette d'une main tremblante, inutile de préciser que je n'eux aucun mal à le désarmé. Il allait mourir et s'en rendait compte, pourtant, je m'étais approché de lui en lui promettant de l'aider à s'en sortir en vie s'il m'indiquait l'endroit ou ce planquait leurs chef. Une lueur d’espoir s'illumina dans son regard, tout les hommes sont traitre quand leurs vie est en jeu, c'est presque pitoyable. Il marmonna quelques mot, citant la grande maison au centre. Je l'avais remercier d'un simple sourire avant de tourner les talons, je crois qu'il avait tenté de crier, de me retenir ou quelque chose comme ça, mais la seule chose qu'il réussit à faire c'est mourir lentement, étouffé et empoisonné par la gaze.

J'avais abandonné la maison et les morts sans remord, rejoignant Oswin qui avait fini son travail, lui aussi. Le sang qui maculait ses chaussures et son sourire un peu trop satisfait me laissait croire qu'il avait dus bien s'amuser lui aussi. Mon sortilège s'estompa une fois dehors, me laissant de nouveau respirer normalement tandis que j'avançais prêt de lui pour comparer nos informations.

- La grande bâtisse au centre. C'est ce qu'ils t'ont dit à toi aussi? T'as l'aire de t'être bien amuser en tout cas.

Mon regard s'était tourné vers le bâtiment en question, cherchant des yeux le signe d'une présence humaine, ou quoi que ce soit d'autre. Même si ces hommes étaient mort, je crois qu'on s’était montré plutôt disert ce serait étonnant qu'ils aient pus être informé de notre présence.. mais il fallait tout de même rester sur nos gardes.

- Tu crois qu'il est encore là? ... On le saura qu'en rentrant mais bon.. Je suis sûr qu'il est capable de fuir comme un rat dés qu'on aura passé la porte.

J'avais légèrement soupiré en me tournant vers le mage noir à mes coter. Je crois que si cet homme nous échappait, il allait littéralement exploser de rage et de fureur.. Je lui proposerais de brûler la bâtisse si ça devait arrivé... ça le détendrait surement un peu.


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MessageSujet: Re: [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall]   [2 Janvier 1943] Eliminons ce sujet qui nous dérange [Pv. William Marshall] Icon_minitimeLun 10 Nov - 16:33


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Quand William sortit enfin de la maison, Oswin était tout sourire. Encore plus quand il confirma les informations qu'il avait reçu lui aussi. Pour confirmer ceci, il hocha la tête, espérant au plus profond de lui que ce sale sorcier soit encore là afin qu'il puisse plonger ses doigts dans ses tripes de lâche ... Puis le jeune sorcier nota que son aîné avait dû bien s'amuser.
« Assez oui, mais ils ne sont que l'entrée, je me mettais en forme. Ton petit tour a fonctionné ? Tu es satisfait de ta trouvaille ? »

Oswin attendit à peine sa réponse et ne répondit pas même à ses commentaires quant à la présence du traître dans la bâtisse. Cela attisa d'ailleurs ses phases de rage, ses longues canines se serrèrent alors que l'éventualité que jamais il ne plante son couteau dans la tête de ce vaux-rien se présenter à son esprit. Il serra la lame qu'il avait dans la main jusqu'à ce qu'elle se mette à saigner. La douleur ne le fit pas frémir, elle était excitante plus qu'insupportable.
« Je vois déjà le carnage de cette demeure mon grand, je vois le sang sur le sol, les cris. Je vois son visage tremblant de peur, me suppliant, nous suppliant ... Ne trouves-tu pas ça jubilatoire ? Non tu as raison, c'est délicieusement euphorisant. Allez, ne les laissons pas attendre leur mort plus longtemps, je suis quelqu'un de ponctuel tu sais. »

Un monologue dans toute sa splendeur, du grand Oswin en fait.  Il n'avait même pas laisser William répondre, il avait préféré le faire à sa place. Détendu et insouciant, il s'avança vers la bâtisse. Son intelligence prenait le pas sur son impatience tandis que sa démarche était aussi discrète qu'un chat. Aussi, fit-il un signe à son cadet pour lui indiquer de passer par derrière, afin d'augmenter l'effet de surprise. Il chuchota cependant une dernière fois, il était calme, contrairement à précédemment, sa voix était presque sage :
« Agissons vite, ne laissons pas le temps à cette ordure de fuir, ne prends pas de pincette si tu veux mon avis, tue tout ce qui passe sur ton passage ... Je te laisse trente secondes pour arriver à la porte arrière, quand ce temps ce sera écoulé, je rentrerai, et notre petite danse macabre commencera ...! »

La folie avait repris sa place chez l'homme, il retint cependant un rire d'extase.
Comme prévu, Oswin s'avança discrètement jusqu'à la porte principale, accroupi sous les fenêtres, au plus proche des murs, il était presque impossible de l'apercevoir, encore moins dans cette nuit noire. Une fois William perdu de vue, il se mit à compter. Les trente secondes s'écoulèrent bien trop lentement à son goût, mais une fois qu'elles furent passées, un goût de sang monta à ses lèvres.
« Commençons à danser les enfants ... »

Ce chuchotement à lui-même engagea le combat. A pas de velour il se glissa sous la porte, d'un coup Allohomora la déverrouilla et l'ouvrit doucement, il jeta un oeil rapide, compta le nombre de ses cibles en bas, malheureusement, seule deux étaient visibles. Combien étaient-ils en tout ? Question qui allait bientôt trouver réponse car le Mage s'introduisait entièrement dans la maison, assenant deux Petrificus totalus à ceux qu'il avait vu, il s'était ensuite retourné pour constater que cinq autres personnes étaient confortablement assises autour d'une table. Il pointa sa baguette sur eux, espérant que William arriverait bientôt, sinon, il n'aurait plus rien à se mettre sous la dent, du moins, à cet étage ci !


OSWIN FOSTER - LANGUE-DE-PLOMB & MAGE-NOIR
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∞ Eliminous ce sujet qui nous dérange
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Le 2 janvier.

Une affaire bien mené. J'étais ravie de faire cette sorti avec mon confrère même si ça prenait des tournures plutôt inquiétante. De mon coté, j'avais pus faire mon expérimentation à ma guise, bien content d'avoir des sujet bien vivant pour cette expérience et pas de vulgaire rongeurs. Une satisfaction de plus. Oswin quand à lui.. Il lui suffisait de faire couler le sang de n'importe qui d'assez intelligent pour répondre au nom d'homme pour le satisfaire.. Alors.. l'idée que notre cible pouvait s’échapper ne semblait pas vraiment le réjouir. Je crois même que ça le révoltait. Cet homme était extrême dans toutes ses réactions, ainsi que ses émotions d'ailleurs. Une fois de plus il restait fidèle à lui même, fixant l'édifice avec une lueur de folie au fond du regard, s'égarant dans un monologue à chemin entre poème et confession. S'il avait déjà l'air assez fou quand on ce contente de le regarder.. Il l'était mille fois plus quand on l'entend parler.
Un simple sourire en guise de réponses à sa tirade ma fois charmante. Sang, mort et carnage, l'éternel triade de cet homme, c'était maintenant le moment de la mettre en pratique. Non partenaire éphémère s'était précipité vers la dernière maison, il ce déplaçait avec agilité malgré sa carrure, à croire qu'il avait passé toute sa vie dans ce rôle. Le traqueur, un chasseur sanguinaire qui quette sa cible dans les ombres jusqu’à fondre sur cette dernière pour l'égorger d'un geste silencieux, presque gracieux. Il était plus proche de l'animal que de l'homme dans ces moments là, assouvissant ses pulsion primaires.. mais il ne perdait pas la raison, du moins, pas entièrement. Une fois bien caché prêt de la porte, il me fit signe d'approcher avant de chuchoter quelques ordres, un plan ou quelque chose qui s'en rapproche.

Porte arrière. Ça m'allait bien. Oswin par la grande entré, et moi par les coulisse, ça m'allait parfaitement et ça illustrait à merveille notre équipe. Je lui laissait volontiers la parade et les projecteurs, je préférais le second rôle ça me convenait à merveille. Un simple signe de tête, un bref sourire, ça suffisait comme réponse. Discrètement, je m'étais glisser vers la porte, je n'avais pas beaucoup de temps devant moi, j’étais certain qu'Oswin bondirait à la seconde même ou le compte à rebours ce serait terminé. Même si j'avais confiance en ses capacités, Oswin restait un homme, il était mortel et le nombre ça comptait aussi.. S'il était seul face à trop d'ennemis, il allait simplement mourir, aussi hargneux et dangereux soit il.

Il me restait 20 secondes. D'un coup d'oeil rapide à la porte, j'avais remarqué qu'il n'y avait personne pour la surveillé, je pense qu'ils ne s'attendaient pas vraiment à ce que quelqu'un entre ici, ou du moins, que quelqu'un puisse arrivé jusque la sans faire de raffuts. C'était bien pour nous ça., cependant quelqu'un revenait d'un peu plus loin, un homme, petit, l'air fatigué, presque malade, il avait du s'exiler pour assouvir un autre genre de besoin naturel avant de rejoindre ses confrères, pas une seul seconde il ne s'était arrêté pour observer les autres baptises.. Il ne ce doutait de rien.  Un simple sortilège de pétrification, l'homme s'était raidit avant de tomber au sol, à l'aide d'une grosse branche, je m'était chargé de l’assommer un peu plus quitte à ce qu'il ne ce réveille jamais. La voix était libre. Ouvrant la porte d'un coup de baguette, je m'y était faufilé avec rapidité, à peine entré que j'entendais déjà du mouvement dans la pièce. Oswin ne perdait vraiment pas de temps.
J'avais eu le temps de le rejoindre, l'effet de surprise était totale, d'abord l'arrivé de cet énergumène enragé d'Oswin, et ensuite, son petit acolyte qui les prend par derrière. Les quelques secondes d'adaptation qu'ils avaient prient étaient suffisant pour agir.

Expelliarmus !

Le plus proche de moi vit sa baguette voler à travers la pièce. D'un protégé, je m'était mis à l’abri du sort de son confrère. Deux pour moi, trois pour Oswin, je savais que ça lui ferait plaisir. L'un était désarmé, j'en avait profité pour m'en prendre au deuxième, le gratifiant d'un « incendio » suivie presque aussitôt d'un « silencio », contrairement à Oswin je ne suis pas friand de cris d'agonie, et puis si on ne veux pas voir les autres quitter les lieux comme les rats abandonnant un navire autant éviter de faire trop de bruit. Pendant que son amis prenait littéralement feu, agitant les bras inutilement avant de ce rouler au sol, son confrère s'était lui aussi jeté au sol pour attraper sa baguette. Mais c'était trop tard. Je m'étais servie d'une chaise pas si loin de lui pour la propulser en plein dans son visage, répétant l'action avec le peu de mobilier présent dans la pièce jusqu'a ce qu'il arrête de bouger, sonné.
Deux de moins. Ne restait qu'Oswin et ses trois nouveaux joujoux.



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