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 Julian Reed

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MessageSujet: Julian Reed   Julian Reed Icon_minitimeVen 4 Avr - 19:44

Julian Reed


Genre :
Masculin.
Âge :
17 ans.
Lieu de résidence :
Un petit appartement pittoresque au-dessus de la boutique de sa mère dans le chemin de traverse..
Maison :
Serdaigle, préfet.
Année :
7ème année.
Personnage ou auteur de l'avatar :
Ludgar Will Kresnik de Tales of Xillia

Familier :
Un fléreur blanc nommé Lord Æthelstan ( Æthelstan-le-poilu pour les intimes... )
Baguette :
Chêne blanc, crin de licorne, 32cm, souple.
Patronus :
Une Tortue géante des Galápagos.
Epouvantard :
Des policiers Français.
Balai :
Brossdur 1.
Amortentia :
Le parchemin brûlé, le fromage fondu, le vieux bois humide.
Matières :
Astronomie (O) ; Botanique (O) ; Défense contre les forces du Mal (A) ; Histoire de la magie (A) ; Métamorphose (O) ; Potions (O) ; Sortilèges (E) ; Soins aux créatures magiques (O) ; Etude des runes (O). Il a décide de garder la totalité de ses cours et de ses options pour ses dernières années.

Taille :
1m80
Corpulence :
Il n'est pas forcément maigre, plutôt musclé, surtout large d'épaule.
Cheveux :
Châtain/Blond pâle, qui tirent vers le brun foncé sur les pointes.
Yeux :
Verts.
Signes distinctifs :
Partiellement aveugle de l'oeil droit, de légères traces de brûlures sur la joue droite, il profite d'une mèche pour cacher celle-ci.
Style vestimentaire :
Très sobre, il s'habille avec des frusques de fabrication médiocre et ne fait jamais dans l'originalité.

Qualités :
Âme de leader, Appliqué, Attentionné, Avenant, Calme, Digne de confiance, Dévoué, Diplomate, Empathique, Honnête, Humble, Ingénieux, Observateur, Stratège.
Défauts :
Cérémonieux, trop Conventionnel, manque de Confiance en lui, se laisse facilement Déborder, Docile, Lent quand on lui parle de sentiments humains, N'arrive pas à dire « non », Mal-à-l'aise en public,Réservé.
Préférences :
Les pancakes monté d'une glace à la vanille sauce caramel, le chemin de traverse, la fierté dans le travail, les animaux, les grands espaces.
Antipathies :
Les troubles fêtes, qu'on s'amuse à le mettre mal-à-l'aise, ne pas encore bien contrôler son handicap, qu'on repère ses brûlures, qu'on l'empêche de travailler. Il a une peur bleue du noir, du feu et des bruits qui pourraient lui rappeler des tirs.

Réputation :
Il n'a pas mauvaise réputation en général. C'est un bon gars, il semble un peu renfermé et aux dernières nouvelles, on a pas de lui une image quelconque. C'est un mec qui passe.

Projets :
Magizoologue, dresseur d'animaux dangereux, soigneur animalier... Il n'est pas certains de ce qu'il veut faire plus tard, mais se tourner vers les animaux lui dit bien. Pour l'instant, tout ce qui l'importe, c'est de s'occuper de sa mère et de l'aider dans sa boutique.

Famille  :
Julian descend d'une famille de sang-mêlé. Ses parents étaient tous les deux des sorciers mais il n'a pas connu son père avant qu'il n'ait 11 ans. Sa mère tient une petite boutique sur le chemin de traverse. D'abord spécialisée dans la vente de familiers et d'animaux magiques, elle a du se diversifier et est devenu un bric-à-brac de tout ce qui peut être utile à un jeune sorcier. Il est fils unique.

Histoire :
[To Be Continued]
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MessageSujet: Re: Julian Reed   Julian Reed Icon_minitimeVen 4 Avr - 20:07

Julian n'a pas connu son père. C'est comme ça, on y peut rien. Sa mère, lors d'un voyage en France est revenue en Grande-Bretagne un bébé dans le ventre. Il n'a jamais vraiment eu de problèmes par rapport à ça, sa mère a toujours su tenir les deux rôles.
Il est né dans la pauvreté, certains jours même, il avait à peine de quoi manger. Très jeune, il descendait de leur petit appartement pour aller aider sa mère dans sa boutique. Une brocante magique où se croisaient hiboux et grimoire de pauvre facture.

Il apprit très vite à travailler pour survivre, une certaine ambition naquit en lui, celle d'aider cette femme qui a tout donné pour lui, qui s'est sacrifié pour un enfant qu'elle n'avait certainement pas prévu. Quand il était jeune, il était devenu pressant au sujet de son père. Il voulait savoir comment il était, qui il était, et s'il ne pouvait pas venir les aider lui et sa mère.
A force, maman Reed se décida de lui donnait l'adresse de con père. En France. Elle s'imaginait que cet amour d'un jour ne daignerait pas répondre à un enfant naïf. Et pourtant ! A sa grande surprise, le hibou lui revint, avec entre ses serres, une lettre du géniteur de son fils. Julian jubilait, il recevait des lettres depuis la France ! Au départ, c'était compliqué à déchiffrer, ni l'un ni l'autre ne parlait très bien la langue qui lui était étrangère. Il fallait ruser. Et maman parlait Français, alors même si elle était d'abord retissante à cette idée, elle finit par apprendre la langue à son fils.

Elle n'était pas certaine d'apprécier, au début, que son fils ait un contact avec son père. Elle avait peur qu'il souffre, qu'il se fasse des illusions. Cet homme, après tout, même si elle lui avait porté beaucoup d'affection à un moment de sa vie, elle ne le connaissait pas bien. Mais les années passant, les courriers s'échangeant, ses idées changèrent. Peut-être était-ce mieux, pour son fils, d'avoir un père.

11 ans. Le petit avait onze ans. Il savait ce que ça signifiait, sa mère lui avait parlé. De Poudlard, de l'apprentissage, et quand il reçut la lettre, ce fut comme un rêve qui se réalisait. Il entrait dans la maison Serdaigle. Soit, l'une ou l'autre, il était fier d'être là. Il se démena dès la première année qui passa bien vite à son avis. Il se fit quelques connaissances, mais sa réserve le gardait loin des grands groupes d'amis.
Quand l'été vint enfin, sa mère avait une surprise pour lui. Pour fêter sa nouvelle vie de sorcier et le féliciter pour ses efforts, elle avait prévu, avec le père, une rencontre dans la capitale Française.

Le garçon était intenable, le voyage était long, mais il sautait partout. Il allait rencontrer son père, enfin ! Il fit sa connaissance. Il était professeur à l'académie magique de Beaubâtons dans le sud de la France. Trop classe ! Les yeux de Julian pétillaient et le voyage de presque un mois lui parut trop court.
Ainsi, tous les ans, à chaque vacances d'été, il partait en France, à la rencontre de son père. Il visita la capitale, Beaubâtons, même ! Il lièrent une relation d'amitié au-delà de l'amour filial naissant. Sa mère, elle, qui avait prit les seules vacances de sa vie en accompagnant son fils la première fois décida de faire confiance à son fils et son père et le laissant partir seul.

Tout se passait pour le mieux. Le garçon n'avait pas un moment de répit, les cours, les révisions, les examen, la boutique de sa mère pendant les vacances et la France, une partie de chaque été. Mais il se plaisait dans ce surmenage.
En 1939, les chose devinrent plus difficile. Comme pour tout le monde.
Sa mère n'acceptait plus vraiment qu'il se rende chez son père, mais lui lui assurait qu'il n'y avait pas de quoi s’inquiéter, les sorciers sont bien loin du conflit moldu. C'était faux.
Le père de Julian faisait partie de ce faible nombre de sorciers qui avait décidé de se mêler des affaires des sans-pouvoirs. Il avait commencé à s'impliquer dans la résistances quand les choses ont vraiment empirées et les relations avec son fils s'envenimaient quand il s'entêtait à se rendre en France malgré la dangerosité de la situation. Mais Julian s’inquiétait. Il voulait le voir, s'impliquer, lui aussi, aider. Comme papa.
Bien sûr il n'entrait pas dans le conflit mais restait cloîtré dans les cachettes, à lire, s'occuper es quelques familles qu'ils pouvaient aider. C'était tout ce qu'il pouvait faire.

Nous sommes en 1942. Une énième fois, Julian menace son père de venir quand même en France malgré ses remontrances. Il exécute ses menaces. Son père, en rage, l'accueil comme chaque année depuis deux ans et le jette presque comme un malpropre chez lui. La pression, la tension entre les pays. La rage, elle n'est pas dirigé sur son fils et Julian le sait, il ne lui en veut pas. C'est qu'il était têtu, à l'époque.
Son entêtement le mènera à l'expérience la plus traumatisante de sa vie. Il n'a jamais été un homme de terrain, et ça, il l'apprendrait malgré lui.

Il arriva au début du mois de Juillet, alors que de sombres rumeurs se faisaient entendre ça et là. Mais rien de ce qu'il aurait pu imaginer ne l'aurait préparé à ce qu'il allait vivre. 16 Juillet 1942. Aujourd'hui déjà, on connaît cette date comme « La Rafle du Vel' d'Hiv' ». Une rafle nationale pour laquelle ont été mobilisés des centaines de policiers Français. Une rafle, c'est triste à dire, mais c'est terriblement... Classique. Oui mais cette fois-ci, et c'est ce qui la rendit plus terrible encore, c'est qu'elle fut totale. Femmes, enfants, une barbarie à laquelle Julian n'avait jamais été confronté.
Sans que son père ne soit présent, Julian prit les choses en main, il décida d'évacuer les familles qu'il cachait des milices qui s'approchaient dangereusement de leur habitations.
La suite il ne s'en rappelle plus bien. La fuite, le bruit, les hurlement. Ils se sont fait rattrapés, Julian n'a pas pu tous les sauver. Ils s'engouffrent dans les ruelles mais les partenaires de son père ne sont pas là pour prendre la relève. Il n'a pu sauver personne.
Des hurlements, des tirs, du feu. L'incendie d'une maison. Il se retrouve bloqué dans une ruelle en essayant de s'enfuir avec les quelques personnes qui le suivent encore. Il est blessé, une explosion de gaz se projette sur lui, mais il n'est pas blessé. Ah ? Si ? Son, œil, il est noir.
La suite, il ne s'en souvient pas. Il semblerait qu’alertés par l'incendie, des résistants soient intervenus, saisissant le garçon pour le ramener chez lui.

Quand il se réveilla, une partie de son visage le faisait souffrir, et il ne voyait pas complètement. Il apprendrait plus tard que dans sa fuite, il a subit des blessures superficielles au visage, des brûlures dont seules quelques cicatrices subsisteraient, mais que son œil droit, lui, avait été plus gravement touché. Il perdrait une partie de la vue de cet œil. Il voit flou, ne distingue que très peu les couleurs. Il devrait s'y faire. Mais surtout, ces familles, il n'a pas pu les sauver. Ce n'est pas une défaite, pour son père puisque dès le départ, d'après lui, il n'était pas impliqué dans cette guerre. Et pourtant, la culpabilité était là.
Il le ramena chez lui une fois qu'il allait mieux, par portoloin. Sa mère refusa de laisser à nouveau le père s'approcher de son fils. Julian lu dit au revoir, peut-être, pour la dernière fois avant longtemps. L'été passa, il resta cloitré chez lui, bien au chaud dans son mode magique. Puis il fallait y retourner, à Poudlard. C'était sa dernière année, il devrait assurer.
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MessageSujet: Re: Julian Reed   Julian Reed Icon_minitimeVen 4 Avr - 20:16





Bonjour, je suis Tom Marvolo Riddle et fondateur. Je suis également responsable de ta validation.

J'espère que c'est ton dernier. =D J'ai tout lu et j'ai rien trouvé pour t'embêter. En plus tu as exploité le contexte de l'époque c'cool. :3



Salem va encore se retrouver seul... BOUHOUOUOUH ;w; Bon tu connais la musique hein ? File faire ton travail elfe de maison. panda 
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