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 The greatest, or try to be |IRIS|

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MessageSujet: The greatest, or try to be |IRIS|   The greatest, or try to be |IRIS| Icon_minitimeLun 26 Sep - 3:12

Quinzel & Iris Fiona

«I’m out of breath but I
I’ve got stamina»


Genre :
Féminin
Âge :
14 ans, née le 28 mai
Lieu de résidence :
Birmingham
Maison :
Serpentard
Année :
4e année
Personnage ou auteur de l'avatar :
Yui Hirasawa de K-ON

Familier :
Amira, son chat. Une femelle au pelage court de trois couleurs (gris, crème-roux et blanc), qui la suit presque partout.
Baguette :
Ébène, plume de phénix, 28 centimètres, rigide .
Patronus :
Une hermine d’argent, au pelage changeant selon les saisons.
Epouvantard :
Un gouffre, s’étendant à ses pieds, la fissure, la chute inévitable. Car Iris n’a qu’une véritable peur, celle de tomber.
Balai :
Un modèle de base sans plus, Iris n’apprécie pas particulièrement le vol sur balai compte tenu de son vertige maladif et supporte même mal la seule vision d’un match de Quidditch  
Amortentia :
L'odeur fraîche de la menthe et celle du sable humide
Matières :
Astronomie ; Botanique ; Défense contre les forces du Mal ; Histoire de la magie ; Métamorphose ; Potions ; Sortilèges ; Étude des runes ; Soin aux créatures magiques

Taille :
1m53, aussi bien la qualifier de petite. Elle ne saura jamais se distinguer par sa taille, même si elle risque de prendre encore quelques centimètres en vieillissant.
Corpulence :
48 kilos, maigre, sans beaucoup de formes, Iris ne sait pas se faire remarquer pour ce qui est de la masse. À vrai dire, ce petit format lui correspond parfaitement, lui permettant de se fondre dans la foule et suivre son propre chemin.
Cheveux :
Châtains et droits, plutôt courts.
Yeux :
Marrons, tout ce qu'il y a de plus banal.
Signes distinctifs :
Iris ne se distingue que de sa parfaite banalité. Elle ressemble à n'importe quelle adolescente de son âge. Plutôt mignonne sans attirer nécessairement l'oeil, on a tendance à ne pas la remarquer.
Style vestimentaire :
En dehors de l'uniforme scolaire, Iris arbore un style vestimentaire plutôt sobre, chandails, vestons et jupes assez sévères et aux couleurs froides. Seul élément qui viennent égayer ses accoutrements : ses innombrables foulards colorés qu'elle aime bien agencer avec ses tenues. Du côté des accessoires, elle ne porte ni boucles d'oreilles, ni breloques, mais il lui arrive de dissimuler une chaîne sous son écharpe.

Qualités et Défauts:
Il devient difficile de décrire la personnalité d’une jeune adolescente alors même qu’elle fait tout pour se préserver du regard des autres. Iris ne brille véritablement que dans l’anonymat et la solitude, là où elle retrouve un sentiment de paix sereine qui lui semble impossible à partager avec d’autres humains. Elle paraît ainsi au premier contact, froide et inaccessible, et l’impression possède sa part de vérité. La jeune sorcière s’est enfermée, au fil des années et des expériences, entre quatre murs presque perceptibles tant elle fait un effort pour se préserver. Sans être véritablement insensible (bien qu’il est fortement aisé de le croire vu son sang-froid frôlant l’indifférence la plus brutale), Iris a su se créer une distance qui sans la rendre détachée lui offre une sorte de perspective raisonnée envers toute chose. La vérité est qu’elle se sent encore incapable de véritablement faire partie de ce monde et préfère adopter une attitude d’observatrice recluse plutôt que participante. Il devient difficile de partager quoi que ce soit avec elle, bien que ses intérêts soient divers. Elle en a offusqué plus d’un en abandonnant une conversation à mi-chemin lorsque jugée inutile ou trop ennuyante à ses goûts. S’il n’y a pas une once de méchanceté chez elle (sauf lorsque cherchée, là, il s’agit d’une autre histoire), elle ne sera pas celle pour se montrer généreuse ou à l’écoute. Les relations humaines la bafouent encore, et elle préfère les éviter à moins d’y trouver une véritable raison, par exemple l’admiration qu’elle porte à certains élus, particulièrement les professeurs envers qui elle réserve toujours la plus grande politesse et respect.

Il n'est pas aisé de la cerner. Polie en tout temps, stoïque, invisible, analytique de toute situation qu’elle rencontre sans toutefois s’y mêler. Pourtant sous ses silences se cache décidément la fibre effervescente de l’adolescente, et avec elle de nombreuses confusions et remises en question. Iris possède une ambition démesurée, courant toujours après une gloire avec laquelle elle ne saurait véritablement que faire. Elle s’obstine dans la réussite, cherche à combler la pauvreté de son sang par son brio académique. Elle s’intéresse à de nombreux sujets, certains provoquant chez elle une étincelle de vie, celle qu’elle dissimule encore avec ardeur. D’ailleurs, il arrive de la voir, plus maintenant que dans son enfance. Car si elle se plaît à agir en robot détaché, elle dissimule une âme hautement sensible, orgueilleuse et blessée, en quête d’identité et de guérison. Elle cherche encore à faire sa place, bien maladroitement, partagée entre son ambition grandissante de faire partie d’un cercle, de s’impliquer dans ce monde étranger, tout en fuyant, encore et toujours, devant sa propre destinée.

Il s’agit d’une jeune fille rusée, intelligente et souvent sarcastique, avide de connaissances mais aussi très ordonnée, à un point frôlant l'obsessif. Au-delà de ses remparts elle peut devenir particulièrement bavarde, surtout lorsque nerveuse ce qui dans son cas arrive très souvent. Elle est cette jeune fille, vivant seule dans son anxiété insurmontable mais détournant quiconque aurait l’œil assez aiguisé pour le réaliser. Il faut s’armer de patience pour espérer l’atteindre, mais une fois son estime gagnée, il en faut beaucoup pour l’en détourner. Elle éprouve pour certaines personnes une certaine fascination, et pour d’autres une affection tenue pour la majorité du secrète, maladroite… Un sentiment qui la rend mal à l’aise et inconfortable. Ce qu’elle estime par-dessus tout est le travail acharné, et acceptera de rendre ses services de tutrice à quiconque elle jugera assez travailleur pour les mériter.
Préférences :
Les cours (particulièrement Potions, Botanique et Métamorphose) – La nuit – La nature – Les animaux magiques ou non – Les runes – La magie obscure et mystérieuse (mais pas noire) – L’histoire – L’écriture – La musique (l’écouter du moins) – L’ordre – La justice – Les fantômes – Les contes et autres histoires – Son chat – La solitude – Le silence - La raison
Antipathies :
Les hauteurs – La stupidité – La paresse – Qu’on tente d’entraver sa solitude – Le bruit en trop grande quantité – Les foules - Le mensonge - L'abandon

Réputation :
Iris n'a de réputation réellement qu'au sein de sa maison, où elle est appréciée, sans plus, particulièrement pour ses réussites scolaires. On ne peut prétendre la connaître d'avantage néanmoins, même parmi les gens partageant son quotidien. Les jeunes gens de son année la considèrent comme une véritable nerd, mais là aussi, les connaissances à son sujet s'arrêtent ici. Au niveau de l'école, elle est parfaitement invisible si bien qu'on a tendance à l'oublier, d'autant plus qu'elle fait tous les efforts pour passer inaperçue.
Projets :
Encore à déterminer. Iris ne connaît comme projet que l'excellence et n'a pas le côté rêveur et utopiste de son frère. Il lui plairait peut-être d'enseigner un jour ou du moins de poursuivre ses études magiques, mais là encore toute son histoire reste encore à écrire.
Famille  :
Il est deux familles dans la vie d'Iris, celle l'ayant accueillie et celle qu'elle se tâche d'oublier. D'origine Moldue, elle eu la chance d'être adoptée par une famille de sorciers qu'elle considère comme sa véritable famille. Elle a donc deux parents, Ivy et Connor Quinzel, un frère aîné Owen en septième année à Poudlard ainsi qu'une petite soeur de quatre ans sa cadette.
Histoire :

Chapitre I

Les murmures. Elle les entend encore. Ces voix tendues et secrètes dans la nuit sans silence. Dans la nuit où ses petites mains cherchent la chaleur de ses sœurs dans le lit qu’elles partagent à trois. La famille empilée dans un appartement minuscule de Birningham, six enfants maigres et leurs parents épuisés. La nuit parcourue de spasmes, de respirations entrecoupées d’hésitations et de batailles endormies pour un espace restreint, seule quiétude possible dans la cacophonie quotidienne du petit groupe endormi. La nuit où sauf bien sûr Iris qui se tient éveillée, victime de ses insomnies teintées d’anxiété. La nuit où elle est seule pour entendre les murmures de ses parents, ceux qui sans lui être adressés, tournent autour d’elle. L’enfant se réfugie contre son aînée, sa poitrine secouée de sanglots alors qu’elle devine les mots dans l’obscurité, l’animosité de ces tons mesurés, toujours cet événement qui revient.  Pour éviter d’entendre, elle presse ses doigts contre ses oreilles et pense au lendemain, aux classes. Aux regards étrangers portés sur elle. Aux rumeurs qui courent à sa suite. Aux rictus sinistres qui animent les visages des ouvriers à son passage lorsqu’elle marche dans la ville. Avant de sombrer dans le sommeil, Iris se pose une énième fois cette question laissée sans réponse. Pourquoi est-elle si différente? Lentement, le sommeil referme ses sombres tentacules contre son petit corps brisé de fatigue et d’angoisse. Les murmures se taisent, enfin.

Toutes les nuits ainsi. Dans l’ambivalence de ses deux parents osant débattre de l’impossible. De l’abandon. Chaque jour plus étrange que le dernier avec cette fille réservée et sans sourire. À s’obstiner, dans l’obscurité, à savoir si les manifestations inexplicables entourant l’enfant n’auront été que le fruit de leur imagination commune. Néanmoins, ils ne peuvent effacer les traces contre le mur, là où les flammes ont léché le bois. Où le regard insolite, macabre, d’Iris à cet instant. Comme si elle... Non. Impossible. Ces questionnements les rendent peu à peu un peu plus méfiants, surtout que les événements se répètent. Puis un soir, alors qu’ils sont tous attablés autour d’un maigre repas, la jeune fille se tient poliment contre sa chaise. Lunatique, perdue dans des pensées qui n’appartient qu’à elle, elle ne remarque pas son plus vieux frère qui prépare sous la table une cuillerée impressionnante de purée de patates qu’il envoie voler dans sa direction. Lorsque la petite s’éveille de ses songes il est trop tard. Bien sûr, elle se trouve bientôt couverte de purée et d’humiliation alors que l’aîné laisse lui échapper un rire cruel qui lui attire les protestations de quelques membres de la famille.

«Bien bon pour toi, petite sorcière!»

Et les rires reprennent, attirant au garçon un regard désapprobateur de la part de parents malaisés par le surnom, celui qui courre à sa suite, celui qui l’imprègne depuis trop longtemps. Iris, victime facile aux railleries de son frère, de ses camarades de classe, des ouvriers lorsqu’elle passe dans les ruelles pour rejoindre la maison. Petite sorcière. Ce rempart vers la normalité, vers l’anonymat qu’elle recherche désespérément. Elle émerge de sur sa chaise, son petit cœur blessé, les joues rougies de colère et soudain, le monde se fige. Le silence retombe dans la pièce dont les murs se mettent à vibrer, à l’instar des plats placés contre la table qui subit le même sort. Des cris retentissent surpris, les regards se tournent contre la gamine qui a tendu une main vengeresse vers le coupable, ses joues ruisselant de larmes. Les assiettes, une à une, s’élèvent de la table et s’écrasent contre le sol dans un fracas qui ne parvient pas même à couvrir le cri d’horreur qui s’échappe de sa mère qui s’empare violemment d’elle. L’enfant se débat mord, crache et crie pour se soustraire de la poigne qui comprime sa poitrine. Les meubles se renversent dans la pièce désormais, la colère de la petite pourtant toujours mesurée éclate.

«Je ne suis pas une sorcière, je ne suis pas une sorcière!» tente-t-elle d’articuler entre ses propres larmes et les vociférations de ses parents.

Elle ne saisit de leurs paroles que les mots qu’elle conservera en elle bien longtemps après. Démon. Reniée. Maudite. Possédée. Les cris de la petite s’estompent alors qu’épuisée, elle abandonne son combat dans les bras de sa mère qui profite de l’accalmie pour la diriger vers la porte. Iris ne voit pas qu’elle aussi a pleuré, ni la terreur sur ses traits. Le monde lui semble flouté, en distorsion, toute énergie en elle consumée. Elle n’a plus la force de se débattre alors qu’on la transporte jusqu’à la porte de l’immeuble et qu’on la jette dans la neige en lui disant de ne plus revenir.

«Maman…?»

L’enfant, âgée de sept ans, ne comprend pas. Probablement ne comprendra-t-elle jamais. Ainsi débutent ses errances.

Chapitre II

Deux jours. Deux jours dans la solitude, sans manteau ou chaussure, dans le froid du mois de janvier. Iris progresse de façon hasardeuse, quêtant quelques sous pour assurer sa survie. Elle a l’habitude. Dans les moments les plus difficiles de la vie familiale, on lui a demandé de tendre ses petites mains d’enfant vers la générosité des passants. Mais ici, la réputation funeste entourant la gamine lui porte préjudice, la force à chercher parmi les poubelles quelque morceau de pain assez intact pour être consommé. Et lorsque la nuit le froid vient mordre ses pieds déchaussés, elle grimpe contre les toits pour se réchauffer auprès des cheminées fumantes. Cette nuit-là elle a trouvé refuge sur une maison reculée de la rue, à l’abri des regards derrière une boutique d’allure un peu louche. Ses doigts reposent dans la fumée qui assombrit son visage de suie. Bientôt, elle s’endort contre la cheminée, épuisée de ses errances et par la faim qui la tenaille. Elle n’a pas remarqué en s’installant à cet endroit la fragilité du toit, abîmé par un hiver coriace. Un craquement sinistre l’éveille dans un sursaut à l’instant où elle chute à-travers le plafond de la maison et s’écrase lourdement à l’intérieur de la maisonnée dans un fracas incroyable. Le choc l’assomme à moitié, et en tentant de se retenir en tombant, elle s’est fracturé le bras. La douleur l’envahit et elle se tasse contre elle-même parmi les débris en direction du feu qui brûle encore dans l’antre en quête de chaleur.

Dans la pièce on n’entend plus que ses gémissements apeurés, le cri du vent s’engouffrant dans l’orifice formée au plafond et le crépitement rassurant du feu. Une sorte de quiétude qui est bientôt chamboulée par l’arrivée de quatre curieux personnages. D’abord deux adultes aux traits inquiets, une jeune femme rousse du nom d’Ivy, portant dans ses bras une petite fille effrayée, ainsi que son mari Connor suivi de près par leur fils de quelques années plus âgé qu’Iris. Cette dernière pleure de plus belle en se sachant pris au piège, et protège son bras blessé de cris alors que le père de la famille se décide à l’approcher tout en tentant de lui poser des questions quant à ses origines. Malgré la douceur de l’homme, la petite se cambre de plus belle lorsqu’il insiste, et le feu se met à brûler avec une inquiétante intensité dans l’antre, cherchant presque à s’en échapper, alors que les cris stridents de l’enfant reprennent. Les deux adultes échangent un regard alors qu’Iris se calme en reprenant ses sanglots.

«Une sorcière.»

Ce mot, encore. Bien sûr, l’enfant l’a entendu, se crispe à sa mention, blessée du surnom à l’instant où elle a vraiment besoin d’aide. Elle lève les yeux vers le couple et surprend un sourire contre leurs traits illuminés par les flammes.

«Comme nous.»


Elle sombre rapidement dans l’inconscience. Mais ces mots l’accompagnent parmi les songes. À son réveil, elle ne se trouve plus près de la cheminée parmi les débris mais dans un lit confortable dans une pièce obscure. Son bras a été immobilisé et la douleur y est bien moins intense. On lui a retiré sa robe et enfilé une chemise de nuit un peu petite, mais confortable. La chaleur des couvertures l’enveloppe et elle soupire d’aise, malgré son inquiétude de se retrouver en territoire inconnu. Elle oscille entre le sommeil et la conscience plusieurs heures durant. Puis lorsqu’elle va mieux, Iris découvre un tout nouveau monde, celui de la magie et des sorciers. Il faut beaucoup de patience à la famille des Quinzel afin de lui faire comprendre qu’elle est une sorcière et que ses étranges capacités sont parfaitement normales dans leur monde. Les jours et les semaines passent et la gamine reçoit des soins inespérés et guérit rapidement de son bras cassé grâce aux potions de Connor. La famille Quinzel possède une certaine renommée dans la ville. Le couple tient une boutique de potions et d’herbes de toutes sortes, domaines d’expertises de Connor et d’Ivy respectivement. Une famille en moyens sans exagération, qui ne surent refuser sa place à la petite fille parmi les leurs, d’autant plus qu’ils ont eu vent de sa triste histoire.

Iris elle-même mis un moment à réaliser l’adoption informelle par le couple. Elle se tient encore à l’écart, dans une rigidité prudente. Après plusieurs mois sous leur toit, elle appelle toujours Ivy et Connor «madame et monsieur Quinzel» malgré l’affection qu’ils lui témoignent. Une journée où la jeune femme en eu marre, elle prit délicatement la gamine à l’écart et saisit son adorable visage entre ses mains douces :

«Iris, écoute-moi bien. Je suis ta maman. Je veux que tu m’appelles ainsi.»

Devant le silence obstiné de l’enfant, la rouquine pousse un léger soupir, avant de l’attirer à elle.

«Je ne vais pas t’abandonner comme la dernière, je te le promets.»

Une promesse qu’elle tient encore à ce jour.

Chapitre III

Malgré l’affection d’une famille aimante, Iris conserve encore certaines barrières et méfiances qui ne s’estomperont jamais vraiment. Elle se considère comme une partie intégrale de la famille, bien qu’elle conserve toujours certaines réserves. Le début de la Seconde guerre mondiale la rapproche un peu de ses parents, mais particulièrement de son frère aîné, Owen. Elle prend l’habitude de se réfugier dans son lit lors des bombardements qui l’effraient et chercher sa protection. Les deux se chamaillent assez souvent, mais se respectent et plus encore en vieillissant, même si Iris ne saurait jamais l’avouer. Avec un milieu familial plus équilibré que dans sa famille moldue, l’enfant peut enfin briller à l’école et accumule les louanges de ses professeurs qui prennent cette mignonne gamine polie et posée en affection. Mais celle-ci s’impatiente. Elle n’a qu’une envie : rejoindre la fameuse institution qu’est Poudlard et dont ses parents lui ont beaucoup parlé. Au moment où Iris tient pour la première fois sa baguette, un sentiment de puissance l’envahit et elle se fait un devoir de devenir une sorcière digne de ce nom. Lors de sa grande rentrée à l’école des sorciers, elle a rapidement l’occasion de le prouver, rejoignant son frère parmi les rangs des Serpentards.

Sa vie au sein de Poudlard s’écoule avec une rapidité qui l’entraîne. Elle ne voit plus les années passer et se retrouve en quatrième année, à étudier avec la même ardeur qu’à ses débuts. Elle ne compte que très peu d’amis et préfère largement se tenir seule, avec son chat Amira, qui l’accompagne partout où elle passe, la fille du chat de son frère Owen. Iris cherche encore à se définir et à guérir de ses nombreuses blessures l’ayant laissée aigrie vis-à-vis la communauté moldue et méfiante envers le monde entier.

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Gillean Farquharson
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MessageSujet: Re: The greatest, or try to be |IRIS|   The greatest, or try to be |IRIS| Icon_minitimeMer 28 Sep - 14:04



Prout ! Bon, je suis le père Farquharson, tu commences à me connaître, maintenant...
Super histoire, vraiment ! Rigoureusement rien à dire, c'est super bien écrit ! Et pas la moindre faute d'orthographe, par-dessus le marché, on peut te garder ?
Je n'ai même pas besoin de te dire d'aller nous faire coucou en CB, tu l'as déjà fait... Du coup, fonce RP etpisc'esttout ! Encore bienvenue =D



Félicitation, les portes du forum te sont désormais grandes ouvertes ! Si tu souhaites te présenter un peu plus personnellement à la communauté, n'hésite pas à te présenter en tant que joueur. Tu peux également poster ta fiche de relations et la compléter. Ne sois pas timide et demande des liens avec d'autres personnages ! Si tu cherches un partenaire pour RP pourquoi ne pas répondre à l'une des demandes ou poster la tienne dans les "recherches "? Et avant de fuir, n'oublie pas de remplir ton profil, ainsi que recenser ton avatar. ( Si tu es élève, il faut également faire un petit tour sur le sujet des Cours)

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MessageSujet: Re: The greatest, or try to be |IRIS|   The greatest, or try to be |IRIS| Icon_minitimeMer 28 Sep - 14:37

Merci beaucoup :D
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MessageSujet: Re: The greatest, or try to be |IRIS|   The greatest, or try to be |IRIS| Icon_minitime

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