| Le Métamorphe
Sorcier
Date d'inscription : 08/12/2013 Messages : 774
| |
| Sujet: [Adulte - Ministère] Irene Levy-Greengrass Sam 29 Aoû - 15:27 | |
| Levy-Greengrass Irene ⊰ Libre Feat Original de Sawasawa (cheveux courts et clairs)
Genre : Féminin Âge : 40 ans Baguette : (proposition: Cèdre, plume de phénix, 29,5 cm, rigide) Métier : traductrice pour le département de la coopération magique internationale. Familier : Au choix |
Réputation : Femme de poigne, Irene a la réputation d’être une femme du monde frôlant la perfection aux yeux des autres. Elle sait recevoir avec distinction et dirige sa maison d’une main de fer, le tout sans qu’un cheveux de son brushing parfait ne dépasse. Cependant Irene n’est pas que ça, femme intelligente et rusée, elle en a déjà étonné plus d’un. Pour ceux qui la connaissent réellement, c’est également une femme passionnée par les langues. Projets : Rien de plus que ce qu’elle a pour le moment, elle aime ce qu’elle fait, adore organiser des évènements mondains et être une maniaque de la poussière. Famille : Charles Levy, son mari ainsi qu’Elizabeth et Terrence Levy, ses enfants. |
Histoire : - Provient d’une famille de sang-pur, les Greengrass. - Se marie à l’âge de vingt-deux ans avec Charles Levy après l’avoir rencontré sur son lieu de travail. Il s’agit donc d’un mariage d’amour (celui-ci n’a pas trop posé problème, Charles Levy étant de sang-pur). - Voit naitre de son mariage une petite fille, Elizabeth, à l’âge de ses vingt-quatre ans. - Quatre ans plus tard vient au monde son second et dernier enfant, Terrence. - Son ainée, Elizabeth, a manifesté ses pouvoirs en changeant son frère en crapaud et il en garde toujours des séquelles gardées secrètes (il faut voir avec Terrence Levy pour plus d’informations). - Aime profondément ses enfants et doit être la seule personne sur terre capable de réellement les effrayer. Là où Charles utilise son pouvoir persuasif du « tu me déçois énormément » pour tenir en laisse les deux terreurs, Irene, elle, préfère plutôt leur susurrer de douces menaces à l’oreille pour les calmer. - Parle couramment le français, l’allemand et le roumain en plus de l’anglais. Carte blanche pour le reste, il faut juste savoir que c’est une femme du monde et qu’elle a donc des occupations en rapport. C’est elle qui gère le manoir familial ainsi que les affaires qui tournent autour (à savoir les investissements dans telle ou telle société), son mari étant assez absent à cause de son travail.
Elizabeth Levy : Sa fille | Une vraie saloperie à la naissance, 3,8kg rendez-vous compte ! Mais il n’empêche qu’elle reste la prunelle de ses yeux et qu’elle ne peut s’empêcher d’en être même assez fière. A vrai dire elle a tendance à y voir son reflet lorsqu’elle-même était encore à Poudlard quoi qu’un tantinet moins ambitieuse que Lizzie. Ça lui fait toujours un peu mal d’ailleurs, de voir que son bébé n’en est plus un et qu’elle quittera sans doute bientôt le nid.
|
Terrence Levy : Son fils | Son petit dernier, le troisième amour de sa vie. Il fallait le voir quand il était tout petit avec ses petites boucles noires et son sourire angélique. Maintenant il n’en reste qu’un petit garçon calculateur et distant, avec une impression d’un enfant qui a grandit trop vite. Elle en veut d’ailleurs un peu à son ainée pour ça, d’avoir rendu son petit bonhomme trop adulte à force de lui chercher des noises, mais au fond peut-être est-ce mieux comme ça.
|
Charles Levy : Son époux | Ça n’a pas été l’amour fou dès le premier regard, il n’y a pas eu de feu d’artifice ou encore d’explosion dans son cœur. Non, c’est venu progressivement, au fil des jours, puis des semaines, des mois et enfin des années. C’est un amour qui est arrivé comme l’écoulement tranquille de la lave d’un volcan. Un jour elle s’est retrouvée à l’aimer après des mois à le côtoyer et depuis elle n’imagine pas passer un seul jour sans l’avoir à ses côtés. Ils s’aiment à leur façon, même si ça ne se remarque pas pour un œil étranger. Il faut voir la lueur au fond de son regard lorsqu’elle parle de lui ou encore sa façon de poser sa main sur l’épaule de Charles. Ce n’est pas flagrant mais c’est bien là et gare à l’odieuse petite garce qui essayerait de tourner autour de son mari. Irene s’aiguise les griffes pour recevoir ce genre de petites écervelées. |
|
|