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 Catriona Lovegood-Landbetter

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Catriona Lovegood
Catriona Lovegood
Employée du ministère
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Date d'inscription : 28/03/2015
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MessageSujet: Catriona Lovegood-Landbetter   Catriona Lovegood-Landbetter Icon_minitimeSam 28 Mar - 13:46

Catriona Lovegood-Landbetter

Dans les ténèbres, seule l’ambition te guidera.


Genre :
Féminin.
Âge :
25 ans, née le 14 mai 1918.
Métier :
Chef de bureau, conseillère près la Directrice du Département de la Justice Magique.
Lieu de résidence :
Une petite maison près de Trebetherick, Cornouailles britanniques.
Personnage ou auteur de l'avatar :
The steampunk artist , par Ghostfire (DeviantArt).

Familier :
Un chat blanc à tête grise du nom de Rififi.
Baguette :
Bois de pommier, crin de licorne, 21,3 cm, très souple.
Patronus :
Un kiwi, mais ne l’ébruitez pas, elle n’en est pas précisément fière...
Epouvantard :
Elle-même en haillons, sale, mal nourrie, l’air hagard, déchue.
Amortentia :
Parchemin vieilli, herbe mouillée, miel.

Taille :
1m62.
Corpulence :
Fine, ni grosse ni maigre. Son fessier ne la satisfait cependant pas, c’est pourquoi elle porte toujours des robes amples.
Cheveux :
Blonds.
Yeux :
Bruns.
Signes distinctifs :
Toujours très pomponnée, elle se distingue avant tout par ses tenues raffinées, les petites lunettes qu’elle ne quitte jamais et par les chapeaux très recherchés qu’elle arbore. Elle porte souvent un livre, classeur ou autre serviette sous le bras.
Style vestimentaire :
Systématiquement tirée à quatre épingles, Catriona s’habille avec le plus grand soin ; elle sait que l’apparence compte pour beaucoup si l’on  veut réussir dans la vie, et, consciente de ne pas être particulièrement jolie, mais de posséder un certain charme, elle fait tout pour se mettre en valeur par des robes de couleur vive et différents bijoux simples mais de bon ton. Petite touche d’originalité, elle nourrit une passion déraisonnable pour les chapeaux tous plus excentriques les uns que les autres.

Qualités :
Bien élevée, attentive, patiente, posée, cultivée, rusée, perfectionniste, travailleuse, ambitieuse (dans le bon sens du terme).
Défauts :
Hypocrite, opportuniste, secrète, calculatrice, mauvaise perdante, rancunière, sévère, volontiers lêche-bottes, ambitieuse (dans le mauvais sens du terme également…).
Préférences :
Le calme, les bureaux feutrés du ministère, le travail bien fait, la réussite sous toutes ses formes, bavarder, la pluie et l’obscurité.
Antipathies :
L’échec, les enfants, la légèreté, la paresse, les hommes aux mains baladeuses, la glace à la vanille, le soleil, Zachary Ziegler.

Que pensez-vous de la situation politique actuelle ?
Pour Catriona, toutes les situations sont bonnes à prendre ; ce qui importe, c’est d’être suffisamment futé pour s’adapter aux circonstances. De par sa position et ses ambitions, elle suit de très près l’évolution politique de la Grande-Bretagne, mais ne la considère ni bonne, ni mauvaise. Peu lui importe qui, de Lambertson ou de Murray, ressort vainqueur des luttes de pouvoir au sein du ministère, elle sait qu’il lui faut trouver des alliés dans les deux camps, afin d’être sûre de toujours voir sa carrière sur la pente ascendante. Même si le Plus Grand Bien venait à triompher au Royaume-Uni, et malgré la méfiance que lui inspirent les extrémistes de tous poils, elle saurait bien s’en accommoder.

Réputation :
Catriona est appréciée au sein du Département de la Justice Magique pour son sérieux, son professionnalisme et sa méticulosité. Ses supérieurs savent qu’ils peuvent compter sur elle pour obtenir un travail vite fait, bien fait, et tous se félicitent de son zèle et de sa compétence ; c’est d’ailleurs ce qui l’a fait remarquer d’Adrasteia Braithwaite, la directrice du Département, et poussé celle-ci à la prendre sous son aile. Certains de ses confrères plus jeunes, cependant, la voient comme une intrigante ambitieuse, égoïste et lèche-bottes. Elle ignore ces critiques avec superbe et se contente de poursuivre sa voie, satisfaite d’être bien vue de ses employeurs et de son petit cercle d’amis proches.

Projets :
Catriona est entrée au ministère avec un objectif précis en tête, et elle s’y tient avec une ferveur qui frise l’obsession : devenir directrice du Département de la Justice Magique. Cette ambition l’anime telle une flamme qui brûle en son sein, motive chacun des gestes de sa vie professionnelle, guide le moindre de ses pas, la plus petite de ses décisions. Tous ses efforts ne tendent que vers ce but ultime, cette ambition suprême : présider au destin du « Deuxième Etage », comme on appelle le Département dans le jargon du ministère. Elle est prête à tous les sacrifices, tous les efforts pour assouvir son désir. Devenir l’indispensable secrétaire de l’actuelle directrice n’est que la première pierre d’un édifice qui doit, à terme, lui permettre d’en prendre la succession. Et si jamais elle parvient à ce sommet, ou plutôt, quand elle y parviendra, alors qui sait ? Peut-être visera-t-elle le poste de ministre lui-même… Rien n’est trop haut pour Catriona.

Famille  :
Le père de Catriona, Pertinax Lovegood, est depuis quelques années le co-directeur, avec le fameux joueur de quidditch en retraite Randolph Keitch, de la célèbre firme de constructions de balais « la Compagnie de la Comète ». Il a succédé à ce poste à Basil Horton, l’un des fondateurs de la société. Il est le deuxième fils de Fortinbras Lovegood, l’actuel chef de cette vieille famille sorcière. C’est un homme simple et modeste, de bonne compagnie, intelligent à sa façon, mais clairement beaucoup moins brillant que son épouse.

Cette dernière, Moreen Lovegood, née Landbetter, est une sang-mêlé issue d’un milieu relativement modeste, et qui n’a eu de cesse, toute sa vie durant, de chercher à améliorer son prestige et sa condition. Sorcière très douée, elle a longtemps été briseuse de sorts à Gringotts, avant de passer à la direction du personnel humain de la banque. Son mariage avec le sang-pur Pertinax lui a ouvert les portes d’une société à laquelle elle n’aurait jamais pu rêver d’appartenir dans son enfance, et maintenant qu’elle est lancée, elle ne compte plus s’arrêter. Ce qu’elle ne pourra accomplir de son vivant, ce seront ses enfants qui le finiront, c’est pourquoi elle a pris soin de leur transmettre son insatiable ambition, un héritage qui se reflète particulièrement chez son aînée…

Catriona a également deux frères cadets, Roderick et Ruben ; ce dernier est encore scolarisé à Poudlard.

Histoire :
Si vous voulez bien vous donner la peine de regarder en-dessous...
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MessageSujet: Re: Catriona Lovegood-Landbetter   Catriona Lovegood-Landbetter Icon_minitimeMer 8 Avr - 13:51

Je ne sais pas si vous y avez déjà songé, mais l’ambition est une notion étrange. Elle renvoie autant à des concepts positifs que négatifs, à des qualités qu’à des défauts, L’ambition n’est ni bonne ni mauvaise, ou plutôt, elle peut être bonne et mauvaise. Elle dépend de ce qu’on en fait, elle dépend du libre-arbitre de chacun. Et partant, on peut dire que l’ambition est la seule véritable forme de liberté : elle seule peut vous permettre de vous élever, de devenir quelque-chose d’autre que ce pour quoi vous êtes né. L’ambition est synonyme d’espoir, la seule lueur qui ne vacille jamais dans les ténèbres.

C’est de ma mère, que je tiens toute mon ambition, je crois. Pas de mon père, en tout cas, c’est certain ; à vrai dire, je doute même qu’il sache comment ce mot s’écrit. Malgré tout l’amour que je lui porte, je dois bien reconnaître qu’en ce qui concerne le dépassement de soi-même, il a quelques progrès à faire… Maman, par contre, c’est une autre paire de manches : rien ne lui fait peur, aucun obstacle ne la rebute. Quand elle veut une chose, elle met en œuvre tout ce qui est magiquement possible pour l’obtenir. Sans jamais se mettre en danger, bien sûr. J’adore ma mère. C’est d’elle que j’ai tout appris, je ne repairai jamais la dette que j’ai envers ses enseignements. Ou peut-être que si, en fait : il suffit que je la rende fière, que je parvienne à un poste suffisamment prestigieux pour qu’elle puisse se déclarer satisfaite des accomplissements de sa fille. J’y travaille, j’y travaille.

Quand j’étais petite, je ne pensais à toutes ces choses-là, bien sûr, j’étais une enfant, et les enfants sont tous stupides, sans vision. Je n’ai pas à me plaindre, j’ai passé des années paisibles entre les incessantes blagues de mon père, les contes que me lisait ma mère et les week-ends chez mes grands-parents (Papy Perti, mon grand-père, nous gâtait toujours de caramels bondissants, mes frères et moi). Mais à onze ans, comme tout le monde, je me suis retrouvée à prendre la direction de Poudlard. Comme les autres, je tremblai d’excitation à bord du Poudlard Express, comme les autres, j’éprouvai des frissons d’angoisse en montant dans les barques, comme les autres, je découvris avec émerveillement le Grand Hall illuminé de mille chandelles… Mais ce fut réellement quand on posa le Choixpeau Magique et qu’il m’envoya sans l’ombre d’une hésitation à Serpentard, que je m’engageai sur le chemin qui m’amènerait à devenir qui je suis aujourd’hui. Car, oui, mes années à Serpentard ont façonné ma vision du monde. Si je n’y avais pas été admise, jamais je n’aurais appris les valeurs du travail, de la ténacité, du perfectionnisme et, surtout, jamais je n’aurais su qu’il ne faut jamais, jamais, se contenter de ce que l’on a. Seuls les idiots le font, les forts ont compris que l’unique fierté que l’on peut avoir dans la vie, ce sont ses propres accomplissements. Durant mes années à Poudlard, je me suis fait des amis, bien sûr, quelques ennemis aussi… Mais je n’ai jamais perdu de vue que je ne pouvais compter que sur moi-même, sur mes propres capacités. D’ailleurs, le travail de groupe n’apporte aucune satisfaction, il vous laisse un goût d’inachevé,  d’imperfection. C’est seule que je suis sortie de la 7ème année avec mes neufs ASPICs, seule que j’ai décroché un emploi d’archiviste au département de la Justice Magique en un temps record. Les amis servent à vous changer les idées, ils vous font passer d’agréables moments de détente, ils peuvent être bénéfiques à votre carrière, également… Mais au final, vous ne pouvez vous fier qu’à vous-même.

C’est pour cela, par sens de l’accomplissement, que je me suis toujours fixée différents buts dans ma vie : d’abord, obtenir douze BUSEs, ensuite décrocher un maximum d’Optimaux aux ASPICs, devenir préfète, préfète-en-chef… J’ai réussi tout cela, et plus, mais au sortir de Poudlard, il a fallu que je me trouve un nouvel objectif, une nouvelle lumière vers laquelle me diriger. Je ne tardai pas à la découvrir. Le droit m’avait toujours intéressé, la matière juridique est souvent négligée, dans le monde des sorciers, alors qu’elle est un élément fondamental du fonctionnement de notre société. Les gens ont simplement tendance à… l’oublier, dirais-je. Tant mieux, cela signifie que la compétition y est moins rude : les places à prendre sont légion, alors qu’il ne s’agit de rien de moins que de réglementer la vie de tous les magiciens. Cette négligence des sorciers vis-à-vis de leurs lois m’étonne un peu, mais là n’est pas la question. Je vais ainsi pouvoir poursuivre mon ascension en toute quiétude, loin des feux de la rampe, masquée, discrète, mais néanmoins présente, indispensable à mes supérieurs. Ascension vers quoi ? me demanderez-vous. Et bien, vers le seul poste réellement digne d’intérêt dans le département de la Justice Magique, voyons : celui de directeur. Je ne me sens pas l’âme combattante d’un auror ou d’un policier, et je sais la politique trop sinueuse et trop risquée pour me lancer dans une carrière au Parlement. Mais diriger le département, ça… C’est une position aussi sûre qu’influente, une fois qu’on l’occupe. Le tout, bien sûr, c’est d’y parvenir.

A cette fin, je me suis fait engager comme archiviste dès ma sortie de Poudlard ; je savais que de cette position discrète, amenée à collaborer avec toutes les sections du département, je serais en mesure de saisir les promotions aux postes les plus variés. Mon calcul n’a pas loupé : après deux petites années d’attente, seulement, j’ai été repérée par Adastreia Braithwaite, la présidente de la Chambre Haute du Magenmagot, dont le secrétaire venait d’être remercié après qu’on l’ait surpris en train de livrer des confidences sur la vie sentimentale (ou plutôt, l’absence de vie sentimentale) de sa patronne à une journaliste de Sorcière Hebdo. Il va de soi que je n’ai jamais rien eu à voir dans la révélation de ses cachotteries, non, non, non. Bref, toujours est-il que, le poste vacant, il fallait le remplir, et, ayant laissé une impression favorable à la présidente lors de nos précédents échanges, je n’eus aucun mal à me le voir attribuer. J’étais donc devenue la plus proche collaboratrice de l’une des principales figures du département. Beau début. Mais ça ne s’est pas arrêté là, et je dois reconnaître que l’étape suivante de mon ascension a plus dû à la chance qu’à mon seul talent. Mais, par la Barbe de Merlin, pourquoi laisserais-je passer une telle occasion ?!

Car, en effet, un développement pour le moins… inattendu… s’est produit : la mort, non, l’assassinat d’Alfred Meyers, le directeur du département, aux mains d’un partisan de Grindelwald. Autant vous dire que la nouvelle a fait à peu près autant de bruit au ministère que si un troupeau de Re’ems avait envahi Poudlard. Mais au milieu de la confusion, du désarroi, de la peur, j’ai vu ce que les autres étaient trop occupés à se lamenter pour voir : j’ai vu une occasion. Une occasion parfaite de gagner des années et des années d’efforts, de peines et d’intrigues. Car en effet, ce fut Mrs Braithwaite, qui prit la succession de Meyers. Ma Mrs Braithwaite. Et, bien évidemment, en déplaçant son mobilier d’un bureau à l’autre, elle a naturellement embarqué son indispensable secrétaire particulière en prime. Pourquoi se priver, après tout ? D’autant que, de ce fait… je me retrouve à une marche du poste que je convoite ! La fortune sourit aux audacieux, dit-on, mais je sais qu’en réalité, c’est ma patience et mon intelligence, qui vont me mener à la réussite. L’avenir est toujours en mouvement, et je me suis mise dans une position idéale pour le façonner à ma guise...
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