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| Sujet: Addison Callahan Barclay Dim 6 Avr - 0:23 | |
| Addison Callahan Barclay When I'm walking a dark road – I am a man who walks alone |
Genre : masculin Âge : trente-six ans Métier : auror Lieu de résidence : en bordure de l’hypercentre londonien Personnage ou auteur de l'avatar : Ibn al Xu'ffasch (ou Damian Wayne) – DCU (dessiné par Alex Ross pour l'univers alternatif de Kingdom Come) |
Familier : aucun Baguette : ébène, ventricule de dragon, vingt-quatre centimètres et rigide Patronus : identique à sa forme animagus Epouvantard : Camden, son aîné, dans un état laissant à penser qu’il aurait été sauvagement torturé, assassiné, et rendant responsable son père pour cela. Amortentia : l’odeur d’un sous-bois après une forte averse – en contradiction totale avec le fait qu’il a toujours vécu dans la pollution des grandes villes.
Taille : 176 cm Corpulence : ni trop ni pas assez, dans la norme, silhouette bien taillée Cheveux : brun charbonneux Yeux : bleu pâle, terne, regard scrutateur Signes distinctifs : malentendant, il est obligé de recourir constamment à un sortilège pour obtenir une ouïe correcte ; un système faillible susceptible de le plonger dans quelques situations embarrassantes. Faut-il préciser qu’il entretient minutieusement le secret de cette faiblesse qu’il juge dégradante ? Egalement animagus déclaré, il se transforme en chien-loup gris noir. Style vestimentaire : sobre mais soigné, passe-partout, peu de couleurs, beaucoup de vêtements sombres
Qualités : intelligent, patient, peu susceptible, opiniâtre, fidèle à ses convictions, sorcier talentueux, se tient à ses promesses, décidé, ferme, cordial. Défauts : taciturne, individualiste, rancunier, manipulateur, sarcastique, autoritaire, forte tendance à vouloir décider de tout, forte estime de lui-même, fierté encombrante, calculateur, très froid au premier abord. Préférences : la solitude, les gens discret, le jazz, la franchise, une tartine de pain grillée avec du beurre dessus pour accompagner son thé, le whisky – l’ irish coffee particulièrement, les choses bien faites et menées à terme, l’humour cynique, pouvoir avoir une personne de confiance et de connivence facilement à portée de main, un bon livre pour les soirées sans projet, la pluie, les errances nocturnes. Antipathies : les fouilles-merde et les flagorneurs, le bazar et les endroits mal rangés, les imprévus, les tomates cuites, qu’on lui mette des bâtons dans les roues, la bièraubeurre, les lundis matins, les moldus, la chaleur, les amas de monde, la vulgarité, qu’on touche à un seul cheveu de ses gosses (de fait, une menace ou un chantage les exposant potentiellement suffirait à le mettre dans une colère noire). |
Que pensez-vous de la situation politique actuelle ? De son point de vue, le premier ministre devrait prendre des mesures au lieu de se contenter d’un statu quo visant à ne surtout froisser personne. Addison juge sa manière de faire laxiste mais bon, vous savez ce que l’on dit : à défaut de grives on mange des merles. Il y aurait pu avoir bien pire à la tête du Ministère. Et puis, si vous lui demandez son avis, il dira probablement que le système actuel le satisfait pleinement, avec un sourire poli et figé, et fin de la conversation. Réputation : On l’aime ou on ne l’aime pas, mais Addison prend grand soin de ne pas se créer d’ennemi au sein du Ministère de la Magie. Il ne cherche pas non plus à se faire remarquer par sa soif de reconnaissance, de célébrité, ou un goût prononcé pour les missions dangereuses, on le considérera comme doué et efficace mais peu téméraire et cruellement dénué d'ambition. Si l’on demande à une personne lambda de son entourage ce qu’elle pense de lui, cela se résumera ainsi : pas grand-chose. Projets : Addison soutient la cause de Grindelwald, ses projets fusionnent avec ceux du mage puissant, et à travers eux, il y a ce besoin, ce gain de renommée que la pauvreté de sa lignée ne lui a jamais accordé. Famille : Issu d’une petite et très modeste – presque éteinte (et les évènements récents n’ont pas aidé) – famille de sorciers. Officiellement sang pur, officieusement bâtard et sang mêlé, fruit regretté d’une aventure d’un soir. Une grande sœur qui a coupé les ponts avec le monde des sorciers et fraîchement veuve de guerre. Deux enfants – le premier, quatorze ans, élève à Poudlard, la petite dernière, neuf ans – et un mariage qui bat de l’aile. Il ne porte guère d’intérêt à sa famille, hormis en ce qui concerne sa progéniture, mais considère les liens du sang comme sacrés. Ce qui ne l’empêche pas pour autant de mépriser sa génitrice. Histoire : Le jeune Barclay naît à Scarborough au sein d’une famille aux racines farouchement anglaises. Ses parents étant tous deux sorciers, on ne lui cache rien de la vie qui l’attend, ni des projets qu’on entretient pour lui dès son plus jeune âge. En 1917, il commence sa première année à Poudlard. Bon élève, ses capacités et ses facilités dans certains domaines le poussent rapidement vers un avenir concret et un métier tout à fait honorable. Elevé dans la fierté d’être un sang pur, il fait preuve d’un mépris consommé envers les nés-moldus, tolère tout juste les sang-mêlé, mais ne s’abaisse pas pour autant à l’exprimer via des plaisanteries stupide ou une dose de méchanceté gratuite : Addison est un garçon qui ne cherche pas à faire des vagues et aspire à terminer son parcours estudiantin sans incident notable. Inutile, toutefois, de louer sa droiture et son zèle : l’adolescent nourrit ses propres projets, ses envies, et ses centres d’intérêts ne sont pas forcément des plus respectables. Il ne cherche pas à s’instaurer premier de classe ou se faire bien voir de ses professeurs, mais simplement à ne délaisser aucun aspect de la sorcellerie. On peut s’en douter, Addison ne reste pas insensible face au charme de la magie noire, qui aura tôt fait de le séduire complètement. Mais il faut bien admettre que sa famille ne l’a pas éduqué dans l’optique d’en faire un fervent chevalier défenseur de la Veuve et de l’Orphelin… Ce n’est que quelques années après avoir quitté la prestigieuse école que l’anglais apprend la vérité sur son ascendance. A cette époque, Barclay fait déjà partie des partisans de Gellert Grindelwald, soutient fermement sa cause, et se retrouve brûlant de honte à l’idée de n’avoir été qu’un mensonge. Cependant bien décidé à ce que la vérité ne sorte pas au grand jour, il soumet sa propre mère à un sortilège d’amnésie partielle et efface ce fait humiliant de sa mémoire, après s’être assuré que personne d’autre n’était dans la confidence. Toutes les choses ne sont pas bonnes à dire… Dans le même temps, Addison se marie avec Griselda Elwes. Union plus ou moins heureuse, plus ou moins arrangée aussi. De cette union nait d’abord Camden et, cinq ans plus tard, Lea. Laquelle, s’avérant être Cracmol, ne fera qu’accentuer les griefs qu’il entretient à l’égard de sa mère, très fermement accroché à la pensée qu’un tel incident ne serait pas arrivé si elle n’avait pas ‘souillé’ leur lignée par son biais. Et en dehors de tout cela il y a la Guerre, le changement de ministre, et la double vie qu’Addison mène au mieux qu’il le peut. Travailler au ministère, c’est bien des avantages, et il y a aussi ce plaisir de jouer deux parties en même temps, connaître les risques et parvenir à les éviter. Ne paraître qu’un simple personnage, un peu aigri, un peu banal. Et nourrir le désir d’être bien plus que cela un jour. |
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| Sujet: Re: Addison Callahan Barclay Dim 6 Avr - 0:50 | |
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