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 [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]

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MessageSujet: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeDim 28 Sep - 23:29

J'ai faim.... J'ai incroyablement et anormalement faim... Comment dire il est 23 heure le couvre feu est déjà passé et les mollusques de sexe féminin résidant dans ma chambre dorment déjà à poings fermés. Je crois apercevoir une petite lumière qui signifie un peu de lecture... Hmm je suis pourtant une jeune fille normalement constitué, un être humain se nourrit de trois repas par jour et d'un goûté pour les plus gourmand, alors pourquoi ? Pourquoi mon estomac me hurle de me goinfrer... je vous le demande ?! Même après m'être infligé quelques douleurs en me frappant le ventre, rien y fait, les désagréables et incessantes râles de mon estomac me disent clairement de me rendre à la source ! Là ou tout les délices sont réunit...

En y réfléchissant à deux fois ce n'est peut être pas la meilleure solution, la dernière fois, mon escapade nocturne s'est fini chez Ogg, notre cher garde chasse... je l’apprécie bien ce n'est pas le problème, mais se balader à cause d'insomnie dans l'espoir de trouver le sommeil puis finir sa nuit à travailler dans le froid pour l'imposant et crasseux homme à tout faire... j'ai vu mieux comme nuit. Je pourrais utiliser la magie... mais faire apparaître de la nourriture je n'ai jamais vraiment fait... enfin techniquement si, lapin, poulet et compagnie je sais faire apparaître.. mais je me vois mal égorger un pauvre animal au beau milieu de mes consœurs et aller le faire griller à la cheminée à l’étage en dessous... niveau discrétion, ce n'est pas terrible.

Hmm Comment dire, j'aime ce château. Voyez-vous cela fait 6 ans que je le côtoie jour et nuit... mais il y a une chose a laquelle je ne me ferais très certainement jamais. POURQUOI, mais dites moi pourquoi ces tableaux sont tous si oppressant à te regarder fixement alors que tu ne veux qu'une chose, marcher au calme. Non, non ça ils ne connaissent pas, les messes basses y vont de bon train, des messes basses tellement peu discrète que je comprend absolument tout ce qu'ils racontent entre parenthèse... « Mais que fait-elle ! », « Elle ne peut pas dormir comme tout le monde », «  Ah, ça ne m’étonne pas, encore la petite ModelBack, elle va mal finir celle-ci je vous le dis »... Vu l'heure qu'il est, et ma situation actuel je ne me sens pas trop de sortir un gros « FERMEZ-LA » à tous les empotés figés. Déjà que la scène en soi, avouons-le est franchement ridicule, je me ferais juste repérer bêtement.
D'ailleurs je me demande... A quoi sert la cuisine franchement. A chaque repas, notre cher directeur frappe deux fois dans les mains et lorsqu'il s’assoit d'une manière fort élégante, une multitude de plats brillants et juteux prennent place devant nous. Que dire de plus... y a-t-il vraiment des cuisiniers ? Des gobelins nous font le repas, ou alors c'est juste un tour de magie ? En y pensant, si ça se trouve on ne mange pas vraiment, juste un tour de magie illusoire qui nous rassasie... Bon il se fait tard je commence à sortir des inepties puérils.

En parlant de sortir.. en voilà un qui se décide à montrer le bout de son nez, enfin de son museau, Skinny mon fidèle dragon miniature fit son apparition quelques peu inattendu sur mon épaule.. C’est l'unique problème d'avoir un animal si petit... il est si léger et si discret que je pourrais m’asseoir dessus je ne m'en rendrais même pas compte... c'est un peu triste dis comme ça tout de même. M'enfin je lui grattouille le menton, réajuste ma tenue de nuit fort peu élégante et trop petite au niveau de mes chevilles, mais qu'importe c'est une tenue de nuit je ne sors pas au bal avec.
Un coup de main dans ma longue chevelure rousse et je me rend compte que je suis déjà devant la porte des cuisines, une grande porte qui ne parait pas si difficile à pénétrer, une simple pression suffit à l'ouvrir.
Avant de pénétrer dans la salle-aux-delices-soit-disant-inaccessible, un léger bruit de pas se fit entendre, un bruit franchement ridicule quand on y prêtait l'oreille. Skinny pencha la tête afin de tenter de voir quelque chose dans le couloir trop sombre à mon goût. Les pas était faible, presque inaudible et surtout très rapprochés, à se demander comment la chose qui s'approche se déplace tellement la vision de la chose était  risible. Petit à petit une chose ronde et apparemment poilu se dessina de mieux en mieux, à voir la chose... j'avais envie que d'une chose c'était de glousser comme une pintade, franchement un corps énormes se déplaçant sur de petites pâtounes limite collées les unes aux autres. Cet animal censé représenter un chat, je ne le connaissais que trop bien, de mes deux mains libres j’attrape la bestiole qui ne m'avait même pas capté, je la soulève pour finalement la déposer sur mon crane, cela n'avait pas l'air de le déranger, bien au contraire il y était habitué, ce gros chat poilu ne venait pas de très loin, peut être aguiché par mes intentions appétissantes il a décidé de se joindre à nous.

« Et bah Tundra si tu t’échappes je sens que quelqu'un va se mettre à pleurer en te cherchant partout, c'est pas possible de faire souffrir ton propre maître...Même si.. la chose est tentante par moment je te l'accorde »

Je m’apprêtais à rentrer avec une loque sur le crane et un petit machin maigrichon sur l’épaule quand de nouveaux bruits de pas plutôt irrégulier s'approchaient dangereusement du point ou je me trouvais, même si la personne qui allait arriver ici dans quelques secondes n'était pas un mystère, auquel cas je suis plutôt mal barré.

« Aller compte à rebours avant l'arrivée de notre grand pleurnichard préféré, 5...4...3...2...1... »
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MessageSujet: Re: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeLun 29 Sep - 20:23




Astrid



Fait pas chaud ici.



Bien. Je peux le faire. Je sais que je peux le faire. Même si l’heure à laquelle mon cerveau s’est déconnecté est déjà passée depuis longtemps, je sais que je peux quand même y arriver à finir de pondre les deux centimètres de parchemin restant pour ce devoir. Je le dois en fait. C’est une question de survie. A force de repousser tout le temps à demain ce que l’on peut faire aujourd’hui, on se retrouve la veille de la remise avec des centimètres manquant. Il faut pas croire, je l’avais déjà commencé, ce n’était pas comme si j’avais tout à écrire, mais…mais je n’en avais malheureusement pas fait assez. La motivation n’avait pas été là. En même temps, je ne sais pas qui est réellement attiré par les Potions, sincèrement. Je suis déjà une grosse bouse en tout ce qui est pratique dans ce cours, pas de ma faute si tous les ingrédients se ressemblent étrangement, mais la théorie est plus qu’endormante. Cependant je ne peux pas me permettre de négliger le cours. Je ne peux pas me permettre de négliger un seul de mes cours. Ca aussi il en va de ma survie. Je sais très bien que ma mère serait parfaitement capable de m’envoyer une beuglante pour me motiver si jamais elle apprenait que je glandais un peu trop. Et je n’ai pas spéééécialement envie de recevoir une beuglante. Je ne sais pas QUI exactement a envie d’en recevoir une en même temps.

Mais malgré toute ma motivation – qui devait se trouver à 7 sur une échelle de 1 à 500-  des éléments perturbateurs non négligeables étaient là. Premièrement, le fauteuil. Il était trop confortable, coupable ! Deuxièmement, le feu, lui aussi il était coupable, coupable de donner à la pièce une ambiance chaleureuse et…et chaleureuse, prout. Troisièmement, Tundra, qui était tranquillement sur mes genoux, sans doute en train de dormir à moitié, ronronnant comme une locomotive, et étirant parfois ses pattes, en se faisant au passage ses griffes sur le bord de mon pantalon. Ou le bras du fauteuil, au choix. Bref. Tout était mis en place pour que je ne travaille pas correctement. Mais j’étais décidé à y arriver. Et j’avais réussi à avancer de cinq mots, très grande avancée, lorsque la boule de poil s’étira une nouvelle fois, un peu plus fort, renversant par la même occasion le pot d’encre que j’avais posé sur le bras du fauteuil. Heureusement, ça ne tâcha aucunement mon devoir. Malheureusement, il prit peur, et…et bondit en plein dans la flaque, ce qui ça, tâcha mon parchemin. Merci. Soupirant, je sorti ma baguette, arrivant à effacer la tâche sur le sol, ainsi que celle sur mon précieux devoir, mais en me relevant, et en roulant mon parchemin, je remarquai une chose. Il n’y avait plus de traces de ma boule de poil préférée. Enfin si. Il y avait des traces de patounes par terre. De belles traces d’encre. Qui allaient droit vers la sortie de la Salle Commune. Et qui SORTAIENT de la Salle Commune. Tundra avait décidé de partir à l’aventure. Ou avait simplement voulu fuir le vil pot d’encre qui l’avait réveillé, au choix.

Je l’aurais bien laissé, et attendu qu’il revienne, par exemple le lendemain matin, mais le problème était qu’il n’était JAMAIS sorti de cette salle. Non pas que je l’enferme. Simplement qu’il reste les ¾ de son temps dans mon lit, le reste il me suivait dans la Salle Commune et rarement me suivait, mais sans jamais me quitter ne serait-ce que de quelques centimètres. …Il allait donc se perdre. Et tomber sur d’autres chats. Qui étaient eux, peut-être méchants. Même très méchant. Et il ne savait pas se battre. Il était sans défenses. Il pourrait mourir. Et ça, je ne le supporterais jamais. Même s’il me pique la moitié de mes réserves de bonbons, je l’aime bien moi. C’est un peu comme mon compagnon. Je n’avais donc pas d’autre choix que de sortir. Et briser le couvre-feu. Mais il ne pouvait pas être allé bien loin, ce n’était pas comme s’il était le chat le plus rapide de la planète, loin de là. Je ne devais donc pas tarder à aller le retrouver. Sinon tout serait foutu, il n’aurait plus d’encre sur les pattes et je ne pourrais pas retrouver sa trace. Et lui ne pourrait retrouver le chemin vers ici. Scénario apocalyptique. Il fallait que j’affronte mon destin. En espérant ne pas tomber sur un professeur, sinon je pourrais toujours expliquer la situation, peut-être qu’il comprendrait. N’essayant pas trop de penser aux terribles conséquences qui pourraient s’ensuivre, je m’aventurai dehors, ne pouvant m’empêcher de réprimer un frisson après quelques instants. Bien que chez les Jaune et Noir il fasse chaud et tout ce que vous voulez, les cachots c’est pas ce qu’il y a premièrement de plus accueillant ni de plus chaud tout court. La température avait sûrement baissée de 10 voire 15 degrés, et j’étais resté en chemise, pas  vraiment l’idée du siècle pour une balade nocturne par ici. Heureusement, il y avait quand même un peu de lumière bien que j’admette que l’ambiance restait assez glauque. Tundra, la prochaine fois je te laisse enfermé dans le dortoir, promis. J’aurai nettement moins de problèmes.

Les bras croisés, essayant de me réchauffer du mieux que je le pouvais, je suivais à la trace, littéralement, les petites empruntes de pas très reconnaissables, qui se faisant de moins en moins nettes. Mais de plus en plus fraîches, je ne devais plus être très loin. Alors que je m’approchais des cuisines, je voulu l’appeler, cependant, trop occupé à regarder le sol, je ne vis pas ce qui était droit devant moi. Premièrement je me pris un truc dur en plein sur moi, deuxièmement il y eut un bruit pas possible, qui avec un peu de chance cacha mon cri de peur, certainement pas le plus viril qu’on ait plus connaître. Non mais sincèrement qui met des armures INUTILES juste dans mon chemin ? Non non, on corrige. Elle est tombée TOUTE SEULE. Je n’ai RIEN fait tomber, je n’ai foncé strictement dans RIEN. La preuve, je suis loin d’elle. Ouais d’accord, j’admets j’ai juste fait un bon de trois mètres. Ce qui m’a permis de l’éviter. Et de paraître ridicule sans doute. Mais ça je m’en fiche il n’y a strictement person…What. Depuis quand. Depuis QUAND cette personne est là. Du moins, ce que j’apercevais du coin de l’œil était forcément quelqu’un. Même si la silhouette semblait un peu bizarre. Déglutissant, je me décidai enfin à me tourner vers la personne en question, et soupirai de soulagement en voyant de qui il s’agissait : Astrid. On peut dire qu’elle m’a fait peur pour le coup. Et pour une raison que j’ignorais, elle avait Tundra sur sa tête. Qui semblait bien s’y plaire. Et qui se mit à ronronner en me voyant. Tch. Il essaye certainement de m’amadouer, il sait très bien qu’il a pas le droit pourtant de se balader dans les couloirs seul.



« ▬A…Astrid ! Tu m’as fait une de ses peurs ! Je pensais que j’allais tomber sur un préfet ou quelqu’un dans le genre, je cherchais Tundra, il est sorti d’un coup et il allait sûrement se perdre, heureusement qu’il est tombé sur toi !  »


Je n’ose pas imaginer si il était tombé sur quelqu’un d’autre le pauvre chou. Oui bon, j’avais déjà décidé de lui pardonner pour l’incident, déjà oublié on va dire. Si ça se trouve, il avait eu peur le temps de traverser le couloir et de trouver Astrid. Inutile d’en rajouter une couche pour le pauvre félin.










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MessageSujet: Re: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeMer 1 Oct - 1:00

Grand... trop grand même je dirais … ce n'est même pas juste. Vous ne savez sûrement pas à quel point je rêvais d’être grande, et aujourd'hui encore... De belles jambes bien fines une poitrine généreuse, une belle taille, on ne dirait pas mais je me préoccupe de mon aspect physique tout de même. Non à la place de ça, un mètre cinquante-cinq, un regard de déterré pas frais, une chevelure longue et broussailleuse, des taches de rousseurs et une poitrine presqu'inexistante... j'ai envie de pleurer. Surtout quand je vois le grand dadet en face de moi, oui cette poule mouillé d'un mètre quatre vingt dix. Hmm quand on le regardait il est plutôt bien fait le bougre à part que rien dans son apparence ne décrit son caractère.. euh... comment dire ça, son attitude.. Arturienne si l'on puis dire, en soi ce n'est pas difficile de le décrire mais Artur reste Artur, une poule mouillé... hmm bref Artur quoi... Le pauvre il me faisait un peu de la peine quand je le regardais dans cet état, à la fois j'ai envie de rire un bon coup, à la fois il est la seule personne que je trouve tellement adorable que je voudrais le prendre dans mes bras pour le réconforter... Bon en fait non, je le sais vous vous êtes imaginé la scène, risible oui la sale gamine miniature et lilliputienne qui prend dans ses bras le grand dadet maigrichon et peureux... tout les plus gros clichés hommes/femmes viennent d’être contré en cette seule phrase.

Je le regardais avec un léger sourire en coin rentrer dans la pièce, essoufflé et tremblant, le pauvre... « le pauvre » ce mot, en parlant d'Artur je pourrais le répéter cinquante million de fois dans une conversation, il est quand même LA personne de cette école pour qui je ressent de la.. pitié. Je m'installe sur la table à cuisine derrière moi en prenant soin de décaler les bricoles qui y traînaient.

« ▬A…Astrid ! Tu m’as fait une de ses peurs ! Je pensais que j’allais tomber sur un préfet ou quelqu’un dans le genre, je cherchais Tundra, il est sorti d’un coup et il allait sûrement se perdre, heureusement qu’il est tombé sur toi !  »

Je lui fait peur ? Je ne me pensais pas si effrayante.. quoi que si l'on remonte un peu dans le temps à chaque fois que je le trouvais il arrivait à me sortir que je lui ai fait peur, limite c'est sa phrase de bonjour « tu m'as fait peur »... Vous voyez quand je vous dit qu'il est peureux c'est pas des blagues, même une adorable jeune fille comme moi, il arrive à en avoir peur. Peut être en me déguisant en Ogg il aurait moins peur... je sais pas cela vaut le coup d'essayer. Ou alors en lui faisant la peur de sa vie, soit il tomberai dans le comas, soit il serait libéré de sa frousse permanente de tout.

« Se perdre ? Hahahaha, C'est un chat Artur, cela a beau être TON chat, ce qui peut faire toute la différence... Tu sais il a un odorat qui lui permettra de te retrouver... ou alors il préfère se réfugier sur ma tête au choix... Mais je pense qu'un certain dragon serait un peu jaloux. »

Bon ce n'est pas tout ça, mais j'en ai oublié la principale raison pour laquelle je me suis rendu en ce lieu, FAIM, Manger, tout ce que vous voulez tant que ça s'avale et que cela à bon goût je le prend sans rechigner. Je descendis donc de mon petit piédestal, mon lézard toujours posté sur mon épaule, et le gros matou toujours affalé sur l'endroit le moins agréable au monde. J’ouvre donc le premier placard confiante.... vide...., comme s'il de rien n'était je me dirige vers le deuxième, rien.... à présent le troisième... un peu plus inquiète sans le montrer j'ouvre délicatement la porte faisant mine d'y jeter un œil comme si c'était la chose la plus importante au monde. Je referme doucement et reste accroupi devant la petite porte beige quelques secondes puis me tourne avec l'expression facial la plus désolé et désemparé au monde à la limite de verser quelques larmes.

« Je...Je … J'ai faiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiim, Artur aiiiiide moi ! »

Je continuais à faire ma bouille suppliante devant Artur sans me rendre compte que deux petits filets de sang ruisselaient le long de mon visage du aux griffes que le gros chats plantaient à plusieurs reprise, les mirettes fermés en ronronnant... je ne sais néanmoins ce qu'il peut trouver de « bien » à dormir sur mon crane les pattes étendues comme une carpe.
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MessageSujet: Re: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeMer 1 Oct - 14:15




Astrid



Fait pas chaud ici.



Bon, il faut juste espérer que personne n’ait entendu le vacarme que cette stupide armure a fait en tombant. Je n’ai pas spécialement envie de voir des professeurs ou des préfets débarquer d’un peu partout, tout ça à cause d’un tas de ferrailles mal rangé. En même temps, je me sentais un peu mal de la laisser là par terre. De un ce n’était pas discret, quelqu’un pourrait se prendre les pieds dedans, déjà que je le faisais lorsqu’elle était entière, et puis…Et puis ils chercheraient certainement le coupable. Devrais-je me dénoncer ? Non, je ne pouvais pas m’y renoncer. Mais en même temps ne rien dire me mettrais dans la peur constante d’être découvert. Que faire ? Faire comme si de rien était et si jamais on me posait des questions, faire celui qui ne savait rien, ou alors accuser un fantôme ? La première option était la meilleure, de un je n’ai pas envie d’avoir un esprit frappeur ou quoique ce soit qui vienne me poursuivre tout le temps et de deux, si je disais l’avoir vu le faire tomber, cela revenait à dire que je brisais le couvre-feu, que j’étais donc en tort, et que l’on pouvait quand même me mettre en retenue. Donc on se contentera de faire comme si de rien n’était, c’est très bien. On oublie l’affaire de l’armure, je n’aurai qu’à faire semblant demain matin de la découvrir comme bon nombre d’élèves et le tour sera joué. Mais il faudra que je pense à améliorer mon jeu d’acteur alors. On ne peut pas dire qu’il soit vraiment au point pour le moment.

Enfin, soulagé de n’être tombé « que » sur Astrid, et non sur une autre personne représentant l’autorité qui m’aurait renvoyé sans plus de concessions dans mon dortoir, sans mon chat préféré, je me rapprochai un peu, finissant par me demander ce qu’elle pouvait faire par ici. Après tout, ce n’était pas du tout l’endroit de la Salle Commune des Gryffondors, à moins qu’ils n’aient décidés subitement de déménager sans prévenir personne. Mais jusqu’aux dernières nouvelles, nos voisins les plus proches étaient les Serpentards. Et les cuisines. Oh. C’était peut-être donc ce dernier point qui l’avait amenée jusqu’ici. Cela m’étonnerait qu’elle cherche à converser le soir avec l’un des Vert et Argent. Du moins, je n’en vois pas l’intérêt pour elle.



« ▬Il aura surtout un odorat pour trouver la personne la plus proche trimballant de la nourriture…Et visiblement, ta tête est nettement plus confortable que mes genoux, mais je préfère te prévenir, il vient de marcher dans une grosse flaque d’encre, donc je ne suis pas certain de l’état de tes cheveux quand il daignera partir…  »


Bien que maintenant, ça a peut-être séché, cette encre. Quoiqu’il en soit, Tundra n’avait pas l’air de vouloir bouger d’un centimètre. Faut croire que se reposer sur la tête d’Astrid avait quelque chose de particulier et de confortable. Et cette dernière recherchait quelque chose. Du moins vu qu’elle ouvrait à peu près tout sur son passage en regardant le contenu des armoires, j’imaginais qu’elle cherchait quelque chose. Quoi maintenant ? Impossible de savoir. J’aurais pu lui demander, mais autant ne pas la déranger dans ses recherches, si ça se trouve elle doit se concentrer, et je n’ai pas spécialement envie de l’interrompre. Tant qu’à faire, autant que je refasse ma queue-de-cheval en attendant, vu qu’au fil de la journée, elle a eu tout le temps de faire n’importe quoi. Cependant, alors que j’étais tranquillement en train de la faire, l’élastique dans la bouche, la jeune fille se retourna subitement, criant à moitié famine. Eh ? L’aider, moi ? D’habitude, c’était l’inverse, mais pour une fois, j’allais pouvoir lui rendre la pareille ! …Ou pas. Ce n’est pas non plus comme si j’avais l’habitude de me trimballer avec une cuisine portable sur moi. Mais j’avais peut-être quelque chose qui ferait l’affaire. Peut-être.

J’avais l’intention de finir ma superbe coiffure avant, cependant, autre chose attira mon attention. Tundra était tranquillement en train de faire à moitié ses griffes sur Astrid, qui n’avait même pas l’air de s’en rendre compte. Mettant l’élastique dans ma poche, je me précipitai à moitié vers la grosse boule de poil grise, et la repris dans mes bras, le réveillant à moitié par la même occasion, mais tant pis. Si on pouvait éviter d’avoir un mort sur les bras, ça m’arrangerait plutôt bien. Et c’est décidé, la prochaine fois, je l’enferme dans le dortoir avant qu’il ne puisse aller où que ce soit cette sale bête. Qui reste trop mignonne. Le pire c’est qu’il le sait, et il sait parfaitement bien que je lui pardonnerai tout. Quel vil animal de profiter autant de ma faiblesse de la sorte. Quoiqu’il en soit, il fallait maintenant s’occuper du cas de la Gryffondor, premièrement pour calmer son estomac affamé et deuxièmement, peut-être faire quelque chose pour les blessures que Tundra venait de lui infliger, bien qu’elles ne soient que superficielles.



« ▬Eh…J’ai quelque Patacitrouilles si tu veux et il doit bien me rester une ou deux Chocogrenouilles…Après, j’ai certainement plus de choses dans mon dortoir, je peux y passer rapidement si tu veux mais…Euh…Il faudrait peut-être faire quelque chose parce que tu…tu saignes, juste là.  »


Tout en gardant dans un de mes bras la bête qui s’était mieux réinstallée, se remettant à dormir, j’essayai de lui montrer sur mon propre visage là où elle avait des marques. Peut-être qu’elle savait lancer un sort pour arranger ça, après tout, elle était un an en avance sur moi, si je ne me trompais pas, donc elle savait certainement plus de choses, et puis, elle était certainement plus douée que moi niveau sorts, ce qui en quelque sorte n’était pas très difficile non plus, mais on va éviter de trop se le dire, autant ne pas non plus se sous-estimer devant quelqu’un d’autre, qui ne doit déjà pas avoir une très bonne estime de moi. Ou en tout cas de mon courage et de mon niveau en magie. Autant dire qu’elle a déjà dû me sauver d’assez de situations pour en avoir un très mauvais aperçu. Si seulement je pouvais lui démontrer le contraire. Peut-être que ça arrivera un jour. Dans dix ans. Voir plus.










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MessageSujet: Re: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeSam 11 Oct - 14:12

AAAAAH Pourquoi tant de haine monde cruel, qu'ai-je fais pour que mon estomac me lamine les boyaux, quel souffrance ! Qui me délivrera de ce mauvais sort ? Qui me sauveras ayant pitié d'une rouquine mal coiffé ? …. Bon d'accord je me calme, mais j'ai faim ! C'est suffisamment compris comme ça ?
Même mon regard suppliant n'avait pas l'air de faire son effet, serais-je si mauvaise actrice ? Pourtant je me rappel que je faisais souvent la comédie avec ma mère pour que mon géniteur de sexe masculin daignent nous faire un bon petit plat. Parce que mon oui la magie fais beaucoup de chose, mais du coté de ma mère... Elle ne fais pas son effet dans un sens culinaire, tan disque mon père, il est peut être un simple moldu mais sa cuisine ravira vos papilles au plus haut point, CA c'est un papa digne de ce nom !

Une flaque d'encre, il ne manquait plus que ça.... m'enfin ce n'est pas comme si je me souciais énormément que ma chevelure lionesque ait quelques taches noir, cela donnera un effet de tigre, c'est chouette les tigres aussi. Aussi bien à l'annonce de la présence de l'encre je ne fit aucune tête particulièrement impressionnée, je prend cela comme ça vient. Sur le moment j'étais bien plus concentré sur les petites pointes qui faisaient des mouvements de va et vient dans mon crane... douloureux ? J'ai connu pire, une fois un camarade dans mon école élémentairement est arrivé vers moi, fourchette à la main et a... évidement, trébuché sur moi, heureusement que ma génitrice est une sorcière, sinon hôpital immédiatement... On est à l’abri de rien ici je vous jure. Enfin quoi qu'il en soit j'y prêtais vaguement attention, le ronron du félin était déjà plus que reposant alors quelques dommages collatéraux c'est peu payé.

PATACITROUILLES ? Quoi je viens bien d'entendre le nom de nourriture, qui plus est quelques chose de sucré ? Mon visage venait de s'illuminer comme si Bouddha venait de me gratifier du plus merveilleux présent, quel bonheur de connaître Artur MERCI mille fois, je vais donc de ce pas m'empresser de confirmer tes dires et de m'emparer de tes sucreries qui s'ajouteront à mes calories bien mérite de la journée.
Euh... Il vient de dire quoi aussi ? Je saigne comme euh... du sang ? Mince.. là ça le fait nettement moins. Vous vous imaginez, la rebelle de l’école, celle qui se prend pour une héroïne qui se fait blesser par un pauvre petit chaton.... je retire le petit, l’énorme boule de poils qui se fait passer pour un chaton serait plus approprié.
Bon comment j'allais me sortir de cette mauvaise passe, on pourrait dire bon c'est juste Artur qui est devant mois ce n'est pas grave... SI, je me dois de garder mon image robuste face au pauvre et faible Artur, c'est que je l'aime bien moi Artur... et si je n'ai pas cette image de fille forte sur qui l'on peut compter, je serais quoi pour lui ! Je vous le demande hein ! Même si vous en avais foutrement aucune idée ! …. sérieusement..
Voici a présent l'apparition de deux être que je déteste, j'ai l'honneur de vous présenter, intrus tout droit sorti de ma tête numéro 1, version paix et joie et la version 2, malheur et désespoir. En cœur les deux petits êtres à mon effigie débarquant sur mes épaule m'ont murmuré une chose en commun... « tu n'as jamais eu la moindre blessure ». Je vote pour aussi bien, quand on ne peut résoudre un problème, on passe à la suite. Adjugé vendu !

Je sortit de ma poche un mouchoir et aussi vite que je le pu mon bout de tissu traversa la zone qu'Artur m'avait indiqué en faisant des gestuelles pour le moins étrange en espérant avoir effacé toute trace et surtout toute preuve de ma faiblesse contre un.. chat !
Je relève la tête vers Artur faisant fi de ma propre attitude.

«  Les patacitrouilles et Chocogrenouille.. seront plus que parfaite !!! »

Regard droit dans les yeux très déconcertant, dans le genre extrêmement sérieux. Mon ventre ne tiendra pas le coup s'il n'a pas quelque chose à se mettre sous la dents, et après avoir cherché dans tout les placard mes forces diminues à chaque seconde. Je me relève donc afin de ne pas paraître trop petite à ses yeux..... même si dans tout les cas... ça sera ainsi.. laissez moi espérer.

« Bon sinon que fais tu au beau milieu de la nuit, d'ordinaire le fait d'enfreindre les règles tu serais tout flippé et tout tremblant »

Bien que mon imitation d'Artur tremblotant et apeuré était pour le moins médiocre, j'ai trouvé ma performance amusante. Mais ce n'est pas faux il est censé redouter l'arrivée d'un prof.. ou d'une quelconque chose qui pourrais lui faire peur. Serait-il malade ?
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MessageSujet: Re: [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]    [Mai 1943] Un petit creux plutôt tardif [PV : Arthur / Astrid]  Icon_minitimeMar 14 Oct - 10:50




Astrid



Fait pas chaud ici.



Il faudra quand même qu’un jour, on me dise exactement pourquoi j’ai pris ce chat et pas un autre. J’aurais pu prendre le vieux de la famille, qui était d’ailleurs toujours vivant, et qui m’avait plus servi de nounou qu’autre chose quand j’étais plus jeune, mais il suffisait que j’énonce simplement cette idée pour que ma mère ait des envies de meurtres. Sans doute qu’elle y tient beaucoup aussi. En plus, je m’en souviens toujours, à la base, Tundra était un chaton qu’on avait retrouvé pratiquement devant notre porte il y a quelques années de cela. Et comme chaque félin qui avait pu se perdre, je l’avais repris chez nous. Mais pour une raison inconnue, celui-là, ma chère mère a bien voulu le garder, contrairement aux autres et ceux qui suivirent. Sans doute qu’elle avait ses raisons. Peut-être que comme j’allais bientôt intégrer Poudlard, elle savait que j’en voudrais un et qu’elle voulait limiter les frais. Et qu’il était mignon et qu’il n’avait pas l’air non plus de transporter trop de maladies. Bon après j’admets l’avoir peut-être transformé en machine à bouffer tout ce qui trouve sur son passage. Mais quand il vous fait sa petite bouille toute mignonne, c’est impossible de lui résister. Et du coup, quand on sait pertinemment qu’il a faim, on lui donne à manger c’est logique.

Mais bon, là il était clairement en train d’enfoncer ses griffes sur quelqu’un. Et ce quelqu’un ne semblait pas vraiment avoir mal. C’est dans ces cas-là que je me sens à moitié mal, en sachant que dès qu’il ose enfoncer ne serait-ce que d’un millimètre ses griffes sur une de mes jambes, je m’empresse de le retirer de là en faisant plus ou moins mine de l’enguirlander, criant intérieurement de peur et presque de mal en imaginant la souffrance que j’aurais pu endurer si il avait été plus loin. Mais bon, inutile de le préciser à Astrid ça. Elle en sait déjà assez sur mon courage légendaire, autant lui cacher le peu de détails qui finiraient d’atomiser le peu de virilité qu’il me reste à ses yeux. On ne va pas s’auto-balancer, ce serait plus que stupide. Je ne tiens pas non plus à avoir l’air complètement ridicule. Bref. J’avais repris Tundra. Qui visiblement appréciait peu d’avoir été retiré de son point d’observation, vu la détermination avec laquelle il semblait enfoncer une de ses pattes dans mon bras en me fixant. Mais hors de question de le lâcher. Il irait encore je ne sais où et je n’ai plus spécialement envie de courir après une nouvelle fois. Ca m’a suffi d’aller jusqu’aux cuisines, je n’ai pas besoin de faire plus spécialement. Quoiqu’il en soit, Astrid avait sorti un mouchoir et avait essuyé comme si de rien n’était les quelques traces de sang, provoquées par le félin, qui avait abdiqué visiblement, enfonçant sa tête entre mes bras, essayant de…je sais pas. Peut-être apercevoir un univers que seuls les chats étaient capables de voir. Ou alors de communiquer avec ses semblables par un moyen inconnu des humains et inconnu des sorciers. Ou alors il voulait juste être dans le noir pour se remettre à dormir. Ce qui est finalement plus plausible que le reste.

Enfin, vu l’attitude de la Gryffondor, elle semblait plus qu’affamée, peut-être avait-elle raté le repas pour une quelconque raison ? Sans doute, sinon elle ne serait pas là à chercher désespérément de quoi se sustenter. Bon, vu que maintenant je lui avais dit que j’en avais, il fallait réussir à les prendre et à lui donner. Avec la grosse boule de poil entre les bras, ce ne fut pas chose extrêmement facile. Surtout qu’il ne m’aida pas le moins du monde. Les yeux parfaitement ouvert et levé vers moi, Tundra avait visiblement décidé de se prendre pour une loque, ne bougeant pas le moindre muscle, sachant pertinemment que je ne me permettrais jamais de le laisser tomber, et que je préférais plutôt paraître ridicule en mouvant mes bras n’importe comment pour arriver à mon but. La prochaine fois, c’est certain, je l’enferme dans mon dortoir. Mais bon. Après plusieurs longues secondes de tentatives –non vaines- je réussi à extorquer lesdites friandises de ma poche, les tendant du mieux que je le pu à mon interlocutrice.



« ▬Tiens ! Bon ce n’est pas grand-chose, mais c’est toujours ça…Tu n’étais pas là au dîner pour avoir aussi faim ? Ou vous avez eu cours tard ?»


Si c’est la dernière option, il ne me tarde absolument pas d’être en sixième année. Avoir cours à la place de manger, c’est tout bonnement l’horreur intersidérale. Je ne sais pas si cette expression existe et je m’en fous un peu à vrai dire. Là je suis trop concentré à essayer de ne pas faire tomber Tundra tout en donnant à Astrid ce qui lui permettra de calmer sa faim. Qui d’ailleurs était apparemment en train de m’imiter. C’est pas vrai d’abord je tremble pas. Ou très rarement. Ou seulement en situation de détresse. Ou…D’accord j’admets le faire peut-être un peu trop souvent. Mais ce n’est pas de ma faute, c’est purement nerveux. On va dire ça comme ça.



« ▬A la base, je faisais mon devoir de Potions, enfin je le terminais puis Tundra a décidé de sortir de la Salle Commune, fallait bien que je le rattrape, avant qu’il n’aille trop loin…»


D’ailleurs, je viens de comprendre la manipulation du félin. Non il ne cherchait pas à dormir, il cherchait visiblement à me mettre le plus d’encre possible sur ma chemise blanche, je savais que j’aurais dû remettre mon pull, ou alors il voulait tout simplement atteindre ma poche en espérant qu’il y ait encore quelque chose dedans, par le plus grand des hasards. Mais passons. Maintenant, il y avait plus urgent. Tournant la tête vers la porte, en fronçant un peu les sourcils, je me tût quelques instants, comme pour voir si quelqu’un allait arriver.



« ▬Eh… Tu as croisé quelqu’un sur ton chemin ? Parce que j’ai…hrm…une armure est tombée juste à côté et si jamais quelqu’un l’a entendu on est un peu mal. Et je n’ai pas spécialement envie de me retrouver en retenue maintenant, juste avant les examens, et puis tu imagines si le Professeur qui nous trouve me fiche et décide de m’enlever des points ? »


Ahaha. Ce serait la fin du monde sincèrement. Je me débrouille déjà comme une bouse dans la plupart des cours, et à moins que ce ne soit en Histoire de la Magie, les points, ce serait bien que je les garde, je n’en ai pas à gaspiller. Mais même. Je n’ai pas envie d’être trouvé tout court ici en dehors de mon dortoir après l’heure du couvre-feu, je n’ai pas envie de descendre dans l’estime d’un quelconque professeur en ce moment critique. Surtout à cause de Tundra.










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