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 [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]

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MessageSujet: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeMar 18 Nov - 18:18



Il y a toujours une ombre au tableau



Quelle bonne et étonnante après-midi ! Tout s’était tellement bien passé que Kay s’était laissé emporter par ses envies et était désormais en retard à son rendez-vous. Quinze minutes. Il espérait qu’il n’allait pas être en colère avec lui, ça gâcherait la journée et Kay ramenait des bonnes nouvelles ! Néanmoins, le blondinet s’empressa de rentrer à Poudlard pour ne pas augmenter son retard. Il courra jusqu’au parc et se mit à chercher leur petit coin de gros buissons qui les maintenaient cachés. C’était pratique pour être à la fois dehors, eux-mêmes et à l’abri des regards indiscrets. Après quelques pas rapides, il arriva au dit lieu de rendez-vous et reconnut la silhouette qui l’attendait.

« Mathias ! »

C’est rayonnant de bonheur que Kay couru jusqu’à lui –il faillit même prendre ses pieds dans sa robe de sorcier- et lui déballa la bonne nouvelle comme un petit enfant. Il était si content d’avoir réussi ! Il lui raconta tout son rendez-vous avec son futur tuteur de stage qui travaillait dans le département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Kay avait juste besoin de réussir ses aspics et après il serait intégré en tant que stagiaire pour devenir soigneur des créatures magiques. Il s’approchait de plus en plus de son rêve et il en était hystérique de bonheur ! Il voulait partager tout ça avec Mathias.

« C’est génial ! Je ne pensais pas que ça marcherait si bien. Il n’en a presque rien eu à faire de mon patronyme ! Il fallait absolument que je te le raconte, tu es le premier à qui je l’annonce. »

Kay riait et rougissait de bonheur. Vraiment un enfant. Un enfant qui ne devait pas oublier d’envoyer une lettre à son père pour le lui annoncer également. Cependant, il ferrait ça quand ils rentreront dans leur chambre, là ils étaient en rendez-vous et il comptait bien montrer ses petits achats à Mathias.

« Ah et j’ai fait un détour à l’animalerie, c’est pour ça que je suis en retard. »

Sans même s’excuser, car Kay se laissait vraiment emporter par sa joie et espérait que Mat finisse par l’être aussi, être content qu’il ait réussit. Il finit par lui montrer ses achats : les deux petites balles sautantes pour leurs chats respectifs et des livres sur les créatures magiques. Kay lui tendit son sac d’achats tout en le regardant avec encore son regard émerveillé et son visage tout joyeux.

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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeVen 21 Nov - 19:07




Il y'a toujour une ombre au tableau.

Can we choose te play a different role




Nous avions rendez vous.. et il est en retard. Pourquoi était il en retard? ça ne lui ressemblait pas.. J'avais quitté la salle commune en avance dans l'espoire de tomber sur lui dans un couloir avant de me souvenir qu'il avait prévus de passer l'aprés midi à Prés au Lard pour rencontrés quelqu'un pour son stage, si j'avais tout compris.. Peut être que ça s'était mal passé.. pourquoi serait il en retard sinon? Ou peut être que c'était tout le contraire, que tout s'était parfaitement bien déroulé pour lui, il allait enfin accomplir son rêve. Cette idée éveilla en moi des sentiments contraire, d'une part j'étais sincèrement heureux pour lui, pour son avenir et le reste, c'était réellement formidable... et d'un autre coté je ne pouvais pas m’empêcher de me sentir mal, comme une pointe en plein coeur, celle de la jalousie. Je savais que c'était mal ce genre de ressenti, mais plus on s'approchait des ASPIC plus j'avais du mal à faire comme si tout allait bien.

La vérité c'était que même si j'aimais Kay de tout mon être, je ne pouvais pas m’empêcher de le jalouser. Il avait tout ce qu'il voulait, tout ce qu'on est en droit d'attendre de la vie. Un père qu'il aime, des bonnes notes, une famille prestigieuse, un avenir qu'il a choisie, sa passion. La seule ombre à son tableau est la mort de sa mère.. souvent il me disait que c'était difficile de ce souvenir de tout.. Mon amour m’empêchait de lui dire qu'au moins il l'a connus, et qu'il a des souvenirs à ce remémorer. Ma mère était morte à ma naissance. Je ne sais pas à quoi ressemble son sourire, ou sa voix, le seul souvenir d'elle, c'est une photo un peu trop terne.
Je ne peu pas vraiment blâmer Kay, je suis heureux pour lui, mais son bonheur ne fait qu'assombrir un peu plus le tableau de ma propre vie. Il me rappelle que je n'aurais surement jamais le droit à tout ça. J'avais moi même rencontré quelques personnes qui m'aiderons pour mon "avenir", des Aurors, des gens fort et avisé... tout le monde rêverais de devenir Auror, pourtant, j'avais beau essayé de m'en convaincre, j'avais du mal me dire que c'est ce que je voulais. On ne m'a pas laissé le choix.

On ne me l'a jamais laissé d'ailleurs, c'est pour ça que j'ai battis un mur d'illusion tout autour de moi, agir comme si ça me convenait.. mais ce mur s'effritait un peu plus chaque jour qui me rapprochait de la fin de ma scolarité.. Qu'est ce qui ce passerait une fois que j'aurais quitté l'école? Je n'avais pas envie d'y penser.. et dans ce genre de moment j'avais surtout besoin de marcher, ou de rentrer au dortoir, Kay aussi avait le don de m'apaiser, mais là.. il était en retard.

Je m'étais mis à tourner en rond, rongeant l'ongle de mon pouce machinalement, à tel point qu'il allait finir par saigner.. mais je n'y prêtais pas grande attention, trop occupé à songer à ce qui le retenais. Aprés un bon quart d'heure, quelque chose remua derrière les buissons, par instant je m'étais retourné, restant un peu méfiant avant de distinguer clairement Kay qui arrivait enfin.

Mon sourire semblait bien fade à coté du sien, visiblement, ça s'était très bien passé. Il s'était empressé de me raconter cette bonne nouvelle, visiblement le plus heureux du monde, je l'écoutais sans un mot, le laissant m'expliquer l'entretient et la joie qu'il ressentais. J'étais heureux pour lui, mais aussi triste à la fois. C'est quelque chose qui ne m'arrivera jamais.. accourir à ses coter, le regard brillant de fierté et de joie pour lui annoncer une bonne nouvelle, je me détestais un peu pour ça.. mais il fallait bien faire avec. Je lui adressais un demis sourire en tendant la main vers sa joue. J'avais juste besoin d'un contacte, ça me rassurait un peu et ça me calmait beaucoup.

- Ton père va être content.

C'était une évidence que je n'avais pas besoin d'évoquer. Après que mes doigts eurent effleuré a peau, je m'étais raviser à continuer. Après tout nous étions toujours dans le Parc. Caché certes.. mais dans le parc. Ce serait idiot de s'attirer plus d'ennuies..

- C'est pas grave Kay .. j'ai juste pensé que tu ne viendrais plus... enfin.. tu es la maintenant.

Mon regard ce posa un instant sur les cadeaux qu'il avait acheté pour nos chats. Je crois que je ne me montrais pas assez content pour lui.. j'avais l'air plus mélancolique que ravie sans même m'en rendre compte, mais je faisais l'effort de sourire, c'est pas si mal déjà..
Me rendant compte de mon comportement, je m'étais redressé dans un autre sourire, un peu plus franc cette fois ci avant de le regarder droit dans les yeux.

- J'étais certain que tu y arriverais. Tu es vraiment le meilleur.









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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeSam 29 Nov - 11:08



Il y a toujours une ombre au tableau



Kay rougit au contact de la peau de Mathias sur sa joue, mais garda le sourire. Un sourire qu’il allongea et voulu rassurant et joyeux. Comme s’il n’allait pas venir à un de leur rendez-vous. Jamais il n’en manquerait un seul ! Mathias devrait le savoir pourtant et puis ils étaient plus ou moins cachés ici, donc ils ne devaient pas s’en faire. Enfin, ils devaient rester prudents un minimum, mais Kay n’y pensait pas vraiment. Il était encore trop content pour cela et le compliment de son ami-amant ne fit que le rendre encore plus fier et heureux.

« N’exagère pas trop, mais merci ! »

Il lui renvoya un immense sourire en remerciement, mais il finit par ne plus tenir sur place. Les joues toujours rouges, Kay lâcha le sac de cadeaux sur l’herbe avant de s’emmitoufler dans les bras de Mathias en un câlin. Son geste le fit encore plus rougir, mais il cacha son visage sur le torse de Mat et enlaça sa taille sans rien dire. Ça le rassurait et le calmait en même temps. Il oubliait plus ou moins tout dans de tels moments ce qui lui faisait le plus grand bien. Kay était si bien qu’il resta ainsi un petit moment silencieux, oubliant complètement que si Mathias touchait malencontreusement son épaule et son bras droit, il allait avoir mal. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison, que c’était à cet endroit-là que Liz l’avait blessé la dernière fois. Certes, la coupure était soignée, mais l’énorme bleu qui s’était créé autour de la blessure était encore présent. M’enfin, Kay n’y songeait même pas et il finit par murmurer quelques mots sans bouger d’un iota.

« C’est idiot mais… Tu m’as manqué… un peu. »

Kay avait rajouté le « un peu » pour que ça ne semble pas trop exagéré, car ils ne s’étaient pas vu juste quelques heures. Ce n’était pas sorcier. Juste qu’il était de plus en plus attaché à lui, peut-être trop, mais ça ne le dérangeait pas, enfin peut-être que Mathias oui, donc il tenait à faire attention. Peut-être qu’un léger changement de sujet aiderait.

« …Et toi alors ? Tu as finit par trouver ce que tu cherchais ? Tu ne m’as toujours pas dit pour ton stage… » Kay hésita, mais il préférait rester sincère. « Tu n’es pas obligé de faire auror tu sais… »

Kay ne pouvait le nier, si Mathias partait sur cette voie-là, il serait inquiet.

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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeMer 3 Déc - 17:03




Il y'a toujour une ombre au tableau.

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Maintenant qu'il était là, les doutes et la colère que j'éprouvaient s’estompaient lentement. J'avais même honte de ce genre de sentiment en fin de compte. Kay n'y était pour rien, au contraire, il me soutenait tout le temps, c'est même une des seul raison qui me pousse à garder les idées claires. Il avait l'air tellement content de me voir que j'en oubliait vite le reste. On avait pas vraiment l'occasion de ce retrouver tout les deux.. Je ne voulais pas gacher ces moments par ma mauvaise humeur ou mes sentiments égotistes.
Il m'avait pris dans ses bras, enfouissant son visage contre mon torse comme s'il avait peut que je le vois rougir. Pourtant je le voyais bien, même d'ici... Ça ne me gênait pas. Enfin, tans que personne n'arrive, j'avais d'ailleur moi même rosi, observant les alentour comme si je m'attendais à ce que quelqu'un sorte brusquement pour nous prendre par surprise. Je crois que je m'inquiétais un peu trop. Fermant les yeux, j'essayais de profiter de la chaleur de Jay et de sa présence, rien que sa présence.. c'était suffisant.  S'échapper quelques secondes loin du reste. Mes bras étaient venus l'entourer lentement pour le retenir prêt de moi encore quelques secondes pour caresser ses cheveux juste un instant. Voilà. Finalement il ne me fallait pas grand chose de plus.

- Toi aussi tu m'as manqué... un peu.

Je trouvais sa façon de faire adorable. Il me retenais, mais il voulait me faire croire qu'au fond il ne me retiens pas. Comme s'il avait peur de m'étouffer par sa présence. Au contraire, j'avais besoin de ça, j'avais même besoin qu'il soit un peu envahissant par moment! Mais pour le moment je crois qu'il n'avait pas envie de poursuivre sur cette voie là. Il me demanda comment s'étaient passé mes recherches.. Je préférais autant parler de lui en faite. Evidemment le sujet qu'il avait choisit.. je l'aurai bien évité. Mon visage s'était légèrement assombri. J'avais lâché mon étreinte sur son corps avant de soupirer dans un sourire ironique.

- Si justement. Je suis obligé.

Ça s’arrêtait là. Je ne voulais pas me lancer dans une explication ou une justification.. Je n'avais rien d'autre à dire si ce n'est. J'y suis obligé. Et puis qu'est ce que je pouvais faire d'autre? En y réfléchissant je n'avais jamais envisagé autre chose, un peu comme si c'était devenus une évidence à la seconde même ou j'avais posé le pied ici. Qu'est ce que j'aurais aimé faire... Je n'en sais rien... Dans un autre soupir, j'avais simplement haussé les épaules pour continuer.

- Je sais pas.. je suppose que mon père a tout prévus...

Est ce que c'était rassurant?... Pas vraiment. Mais au moins je n'avais pas à me soucier de ce problème. Comme à chaque fois qu'on abordait ce sujet là. Mon père. Je détournais le regard, me sentant un peu mal à l'aise de nouveau, surtout depuis la réunion. Mais ça allait mieux... je crois..








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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeMer 3 Déc - 20:56



Il y a toujours une ombre au tableau



Kay fronça les sourcils. Il n’était pas d’accord, mais sentait bien que pour Mathias c’était vraiment comme une obligation. Pourtant… Il retint un soupir et resta près de lui, il n’avait pas bougé de place malgré la rupture physique.

« Tu n'y es pas obligé... C'est ta vie Mat... »

Néanmoins il n'insista pas plus ou du moins pas en se concentrant sur le père du brun serdaigle. Tout d’abord, Kay tenta d'abord de le rassurer et pris sa main droite du bout des doigts.

« Mais si c'est vraiment ce que tu veux faire... Papa s'occupera de toi, je suis sûr que ça lui fera plaisir comme pour le week-end à la maison, il t’aime bien tu sais. Et puis c'est un ancien auror, donc il sera parfaitement capable de te former. »

Kay s'avançait, énormément, car son père était le directeur et donc très occupé, mais bon... Il savait qu'il pourrait toujours lui en toucher quelques mots si Mat voulait vraiment aller sur cette voie-là. Mais comme Kay en doutait de plus en plus à chaque fois qu'ils en parlaient, il décida de suivre la deuxième partie de son idée. Après l'avoir rassuré -ou en tout cas essayé-, il opta pour une légère dérivation du sujet qui pourrait peut-être le faire sourire. Pour cela, il demanda à Mat de s’asseoir, quitte à l’obligé en tirant sur sa main. Quant à Kay, il s’agenouilla juste en face de lui et le regarda de façon adorable et souriante, presque comme un chaton.

« Si tu avais le choix, que voudrais-tu faire? Mm? »

Il lui accorda un peu de temps pour voir s'il répondait franchement avant de se lancer.

« Je vais deviner! Mmm, voyons voir… Professeur de Défense, de Métamorphose ou de Sortilèges à Poudlard ? Non, quelque chose de plus dynamique… Oh, explorateur ?! Gestionnaire des lieux hantés ? »

Kay continua à donner plusieurs exemples qui étaient de plus en plus drôle, car le but était de le faire sourire, d'amadouer sa défense qu'il avait toujours pour ces sujets. Peut-être qu'ainsi il se confierait un peu plus... Un petit secret en moins? Qui sait, mais ils avaient encore des secrets l'un pour l'autre et Kay se retint de ne pas penser à quel point c'était ironique. Car le secret qu'il lui cachait été bien capable de le mettre dans tous ses états et de le blesser au plus haut point... Chose que Kay essayait d'éviter depuis qu'ils étaient enfin ensemble et avait cessé de se torturer mutuellement.

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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeDim 28 Déc - 0:47




Il y'a toujour une ombre au tableau.

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J'étais content qu'il n'insiste pas. Je n'avais pas la force de parler calmement de ce que mon père avait prévus pour moi et du fait que je ne pouvais pas lui dire. Un jour pourtant, il faudra bien.. je crois que j'essayais de repousser ce moment le plus loin possible, un peu comme si je voulais me convaincre que ça n'allait jamais arrivé.. et pourtant.. ça allait arriver.. Mais pas tout de suite.. et sûrement pas maintenant. Maintenant je voulais profiter de sa présence... ses mots me réconfortaient tout de même un peu... Il avait envie de prendre soin de moi, me faire savoir que même là bas, je ne serais jamais loin de lui. J'étais un peu gêné à l'idée que son père soit là pour moi en quelque sorte, mais quelque part je crois que c'était rassurant.

- T'es vraiment pas obligé tu sais... Mais.. Merci.

Je ne savais pas vraiment quoi dire d'autre... C'est pas la peine ? T'en fais pas pour moi ? Non je ne pouvais pas lui dire ça. Parce que quelque part j'étais moi aussi content de savoir que j'aurais un lien avec lui même une fois sorti de Poudlard. Peut être même qu'il viendrait me rendre visite en venant voir son père. Ça m'aidait à garder le sourire, même si mon propre père travaillait là, il ne serait pas constamment sur mon dos.. j'avais un maigre espoir dans ce cas.
Je voulais détourner la conversation, mais Kay le fit à ma place.. j'en revenais qu'on soit à ce point sur la même longueur d'onde, son attitude m'avait touché, et attendrit, le voir souriant comme ça, s'efforçant de me donner le sourire avec son discours un peu candide. C'était tellement apaisant... Je ne pouvais que sourire à ses idées. Explorateur, gestionnaire de lieux hanté.. ou est ce qu'il va chercher tout ça ?

- Ah ? Je savais pas que tu me voyais aventurier ! Mais les maisons hantées ça me ferait bien trop peur je crois !

Je disais ça pour rire. Je n'avais pas peur des fantôme, mais j'aimais bien ce qu'il était en train de faire. Ça me donnait envie de le serrer contre moi pour le remercier. J'eus un bref moment d'hésitation avant de me laisser aller à cette pulsion. Aprés tout si on était ici c'était aussi pour ça, pour ce montrer quelques geste affectif sans craindre que quelqu'un ne nous tombe dessus.  Lentement, je l'avais pris contre, une brève étreinte pour l’enlacer de mes bras, caressant quelques secondes son épaules avant de sourire dans un soupir de satisfaction.

- Ça va me manquer ça...

Je m'étais promis de pas aborder de sujets comme celui là, mais c'était plus fort que moi. J'arrivais pas à me faire à l'idée que dans quelques mois.. tout ça serait finit. Fini sans même que je ne puisse connaître la fin. On en avait jamais parler, qu'est ce qui allait ce passer maintenant ? J'avais peur des réponses et pourtant, j'avais envie de le savoir. Une véritable torture psychologique. Le garder contre moi c'était un peu une façon de me guérir. Je le serrais encore un peu, juste pour bien me rendre compte qu'il était là.. encore un petit peu avant qu'on soit obligé de ce séparer de nouveau.








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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeLun 5 Jan - 12:41



Il y a toujours une ombre au tableau



Kay fut ravie de rendre son sourire à Mathias. Il était bien capable de continuer à lui citer pleins d’autres métiers tout aussi passionnant et inconnu les uns que les autres ! Peut-être que Kay aurait dû pour effacer cette petite tristesse qu’il avait l’impression d’identifier dans sa voix. Heureusement que ce tendre câlin était là, Kay en profita alors pour le serrer lui aussi contre lui. Se blottir dans ses bras. Même s’il aurait bien aimé que Mathias ne touche pas son épaule. Cette dernière le faisait encore souffrir à cause des petites tortures que lui avait fait subir Levy il y a quelques jours. Mais sa grimace passa inaperçue dans les bras de son amoureux.

« Manquer ? On se verra Mat… »

Du moins, Kay l’espérait de tout son cœur, il ne voulait absolument pas que la fin de Poudlard soit la fin pour eux deux ! Ils venaient à peine de s’ouvrir enfin l’un à l’autre après tant de temps. Non. Que tout se termine brutalement d’ici quelques mois, anéantirait Kay. Il ne pourrait pas continuer à vivre et sainement, sans voir Mathias. Il aimerait tellement qu’ils soient que tout les deux dans un appartement ou une maison… Qu’ils vivent ensemble, comme ils avaient fait plus ou moins pendant toutes ces années à Poudlard… Mais Kay n’osait pas le demander à Mathias, même l’évoquer.

« On se verra plusieurs fois par semaine. Du moins, si tu le veux… Sans toi je ne pourrais pa.. aaie ! »

Ça devait arriver… Alors que Kay tentait de conforter Mathias au sujet de la fin d’année et de leur avenir ensemble, l’action de Mat lui fit mal. Il ne pouvait pas le savoir, il n’était pas au courant. Mais le simple fait de le serrer plus contre lui, avec un de ses bras au niveau de son épaule endoloris, fut suffisant pour éveiller un peu trop la douleur pour Kay. C’est donc à contre cœur que Kay du briser l’étreinte de Mathias, recula d’un pas tout en se massant l’épaule gauche. Il se mordait discrètement le coin de sa lèvre inferieure, craignant déjà l’inquiétude et la colère de Mathias. Il allait deviner. Il le devinait toujours quand c’était elle qui le blessait, même s’il ignorait totalement qui était celui que Kay surnommé son Cauchemar. Kay redoutait tellement sa réaction, qu’il avait déjà le regard baissé –inquiet-. Il gardait toujours sa main droite sur son épaule gauche, refusant ainsi d’enlever sa cape et d’ouvrir sa chemise pour qu’il puisse vérifier son épaule. Il allait être étonné et si en colère d’y découvrir un fin bandage de l’infirmerie. Bandage désormais tentée de sang. C’est que Liz ne l’avait pas manqué avec son Diffindo.

« Ne t’énerve pas et ne t'inquiète pas… Ce n’est rien, c'est... C'est juste une égratignure… ça va, je t’assure. »

Kay se voulait rassurant, mais il savait pertinemment que ça ne suffirait pas. Encore moins, lorsque sa blessure serait révélée et surtout la manière de comment il l’avait obtenu.

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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeJeu 8 Jan - 16:22




Il y'a toujour une ombre au tableau.

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Il essayé de me rassurer, mais je savais qu'une fois que nous aurions quitté Poudlard, tout serait beaucoup plus compliqué. Au fond de lui il devait le savoir, il devait le redouter autant que moi même s'il ne le montrait pas. Il voulait garder le sourire et rester fort pour ne pas que je puisse déprimer un peu plus. Il était si fort, il me remontait toujours le morale, alors je le laissais me convaincre que rien n'allait changer après notre départ. Qu'on allait resté unis, qu'on ce verrait tous les jours comme si de rien était. Je voulais y croire, j'y croirais chaque jour jusqu’à ce que la dure réalité vienne m'arracher ce désire.
Je le gardais dans mes bras comme si j'avais peur qu'il s'en aille, j'avais pourtant prit garde à ne pas le serré trop fort, mais il avait eu mal. Je ne comprenait pas, je m'étais aussitôt reculé pour m'excuser et le libéré de mes bras.

- Je suis désolé, je t'ai fais mal ?! Je me suis pas rendu compte que je te serrais trop fort....

Je l'avais à peine tenus contre moi... Et en me reculant j'avais bien vus qu'il avait porté la main à son épaule. Je ne lui avait pas serré l’épaule, du moins je m’étais simplement appuyé dessus. Kay avait reculé d'un pas, ce tenant toujours l'épaule. Je voyais bien à son regard qu'il y'avait quelque chose d'anormale dans tout ça. Il avait l'air inquiet. Inquiet que je découvre quelque chose et que je me mette en colère. Pourtant y'avait de quoi. Mon regard s'était assombri, je le fixais en m'approchant un peu de lui pas convaincu le moins du monde parce que qu'il me disait.

- Une égratignure hein ...

Sans vraiment lui demander la permission, j'avais saisi sa cape pour dévêtir son épaule, retenant son poignet d'une main des fois qu'il essai de m'en dissuader.. car c'est presque certain qu'il allait essayé de me faire reculer. En dévoilant son épaule, je vis le bandage qu'il avait, ainsi que la blessure qui ce cachait dessous. Une colère noir s'était emparé de moi, je fixais maintenant Kay avec une sévérité que je n'aimais pas.. mais il fallait bien que ça s’arrête un jour.

- Tu trouve que c'est rien ? Tu allais me le cacher encore longtemps ?!

Je l'avais lâché, le regard cette fois avec un peu plus de tristesse, mais une colère toujours bien présente. Il avait toujours refusé de parler, il le cachait même, mais j'étais sûrement le mieux placé pour différencier les blessures accidentelle de celles des maltraitances !  J'avais légèrement soupiré avant de relever les yeux vers lui, cette fois, il fallait vraiment régler cette histoire. Ça m'avait toujours affecté, et là, c'était pire que tout, je n'avais qu'une envie c'était retrouver ce type et lui faire payer.

- Qui t'a fait ça..

Ma voix était trop calme et froide. J'aurais pus exploser de rage mais je ne voulais pas l'effrayer, je voulais qu'il me le dise enfin et ce n'était pas en lui criant dessus que j'allais y arriver.








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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeVen 16 Jan - 19:41



Il y a toujours une ombre au tableau



A chaque pas que Mathias avait  fait, Kay avait reculé pour éloigner son bras de lui. En vain. Il le savait pertinemment. Mathias finissait toujours par découvrir ses blessures. Cette fois encore ce fut le cas. Lorsqu’il agrippa sa cape, Kay tenta de le retenir physiquement, mais Mathias avait prévu le coup et le retint de toute tentative. Il réussit sans mal à dévoiler son épaule, laissant alors apparaître le bandage rougissant. Kay rebaissa immédiatement son regard, sentant la honte et l’inquiétude lui monter au visage.

« J… Je savais la réaction que t’allais avoir… Je ne voulais pas t’inquiéter… C’est rien… Je vais mettre la crème cicatrisante que l’infirmière m’a donné et ça ira… C'est vraiment rien par rapport au crache-li... »

Kay se mordit le lèvres pour se taire. Il en avait déjà trop dit. Il se sentit de plus en plus mal. Il n’aimait pas voir se mélange dans les yeux de Mathias et encore moins ce qui allait venir… Il allait devoir parler, mais il ne le pouvait. Ils allaient encore se disputer, alors qu’ils s’étaient retrouvés ici pour passer du temps ensemble. Kay aurait bien soupiré si la question fatidique ne venait pas de tomber. Il était froid et en colère… Kay le sentait à sa voix et ne parlons même pas de son regard qui blessait Kay. Mais ils souffraient tous les deux. Néanmoins, il ne pouvait pas. Vraiment pas.

C’est dans un silence de plus en plus tendu que Kay reboutonna bien sa chemise et remis convenablement sa cape sur son épaule. Il se mordit un peu plus sa lèvre inférieure pour retenir son malaise et ses émotions au fond de lui. Il ne devait pas pleurer, même si ses yeux s’humidifiaient déjà. Ce n’est qu’après avoir raclé sa gorge sèche à plusieurs reprises, qu’il répondit à Mathias d’une voix toute hésitante.


« C’est toujours la même personne… Mais c’est bon. Ça va finir, à la fin de l’année. Y’aura plus de soucis. C’est sûrement même la dernière fois. J’ai… j’ai juste été trop loin avec mes mots… Ce n’est rien… »

Il espérait vainement que le fait d’évoquer la fin d’année inciterait Mathias à passer à autre chose. A oublier ce sujet. Et donc à ne pas obliger à lui dire qui était le Cauchemar et comment tout ceci avait commencé… Tout ça à cause de lui… A cause des propos indélicats envers Liz lorsqu’ils étaient enfants, quelques temps avant d’intégrer Poudlard. Kay s’en voulait toujours et espérait encore qu’il pouvait faire revenir cette petite fille. C’était bien pour cette qu’il se refusait de donner son identité. Et c’est toujours à cette pensée, qu’il releva enfin son visage et son regard humide vers Mathias.

« C’est ma faute, j’aurais pu l’éviter…. Mais comme je te dis ça sera finit d’ici quelques mois… Y’a… y’a pas à s’en faire… Ne va rien faire à cause de moi. Tout ceci se terminera et cette personne ne pourra plus rien me faire. »

Kay n’en avait aucune certitude en faite. Liz et lui se connaissaient depuis petits, donc ils connaissaient leurs résidences respectives. Mais rien n’arriverait en ces lieux et en-dehors de Poudlard, il ne voyait pas comment Liz pourrait l’atteindre, même s’il craignait qu’elle puisse le faire d’une façon ou d’une autre. Si elle le voulait, elle pourrait. Kay trembla de façon incontrôlée pendant quelques secondes en y pensant.

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MessageSujet: Re: [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson]   [Début mai 1943] Il y a toujours une ombre au tableau[Mathias Jefferson] Icon_minitimeMer 21 Jan - 21:05




Il y'a toujour une ombre au tableau.

Can we choose te play a different role




J'essayais de garder le peu de calme qu'il me restait pour ne pas exploser de colère. Le regard de Kay fuyait le mien, je savais qu'il allait encore une fois trouver des excuses. Je savais pertinemment comment tout ça fonctionnait. On ce dit que c'est pas grave, que c'est même peut être notre faute. C'était des conneries, mais bien sûr c'était plus simple de ce dire ça quand on la victime. Kay détournais la conversation, « ce n'était rien, j'ai vus pire », à ses paroles mon regard ce noircissait légèrement. Pire que ça ? Encore ? Je savais que quelqu'un s'en prenait à lui depuis toutes ces années, mais jusque là ça ce contentais de bousculades ou de blagues de mauvais goût. Les gens avaient toujours été plus ou moins envieux, jaloux ou je ne sais quoi, même si beaucoup l'aimait il y'en avait aussi certain qui devaient en profiter pour le tourmenter. Mais il savait ce défendre, il n'avait clairement pas peur des intimidation, alors je ne comprenais pas pourquoi il ce laisser faire par cette « autre personne ». Il ne m'avait jamais dit son nom, à chaque fois qu'on en parlait ça ce finissait par un silence ou une dispute, mais pas cette fois.

Il prit le temps de remettre sa chemise, je ne disais rien, je restais là à l'observer, serrant la mâchoire pour contenir cette colère naissante. Je ne comprenais pas pourquoi il ce bornait à taire ce nom.. c'est que cette personne devait être quelqu'un de proche. C'est idiot mais c'est toujours les gens qui nous son proche qu'on protège, les gens qui sont important et qu'on aime à contre coeur. C'était peut être ça le problème au fond. Il aimait trop cette personne pour me dire son nom, il avait peur de quelque chose. De ce qu'elle aurait put me faire... comme si j'étais si facilement impressionnable ...

- Qu'est ce que tu ne me dis pas ...

J'avais cette sensation qu'il me cachait quelque chose... Je ne vois pas pourquoi il m'aurait caché toutes ces années un élèves ordinaire.. Au contraire, j'aurais même été là quand ça ce passe, j'en aurait entendu parlé.. mais là, c'était le silence totale, je savais qu'il avait été malmené seulement en voyant les marques ou en le voyant pleurer. Je ne voulais plus tolérer ça... Kay disait que ça irait, mais je voyais bien dans sa voix et à sa façon de trembler que ça n'allait pas aller.

- Non Kay. Ça n'ira pas mieux ! Pourquoi tu protège ce type! Pourquoi tu me le dis pas que je règle ça une bonne fois pour toute ! Tu crois que je vais me faire prendre ?!

J'essayais de rester calme mais plus je parlais plus le son de ma voix augmentais. Je ne voulais pas faire plus de peine à Kay, mais le voir si soumis me retournait complètement là tête. Tans que cette histoire ne serait pas régler je ne pourrais plus le regarder sans m'inquiéter ou me sentir parfaitement inutile.. J'avais fini par me détourné de lui soupir soupirer, massant ma tempe qui devenait de plus en plus douloureuse, réveillant un sacré mal de tête provoqué par ce début de dispute. Ça n’arrangeait rien à mon humeur.

- Pourquoi ?! Donne moi juste une foutu raison pour pas me le dire....

Je le regardais droit dans les yeux. Cette fois j’attendais une vrais réponse de sa part, je n'allais pas lâcher l'affaire à moins qu'il ne me donne une excellente raison de le faire... et c'est pas gagné.








By Lilihir for Mathias Jefferson of Felix Felicis 1942

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