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 [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)

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Glenn Appleton
Glenn Appleton
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MessageSujet: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeLun 28 Sep - 15:07

Quand il s'agissait de trouver les coins les plus tranquilles et les mieux cachés de Poudlard, Glenn avait habituellement un don. Malgré ça ces derniers temps toutes ses meilleures cachettes étaient envahies. Le couple qui avait investi la remise près de l'infirmerie. L'infestation de doxy dans les rideaux des alcôves du quatrième étage. L'arbre sous lequel il s'installait quand il faisait bon avait été abattu pour éviter qu'il ne tombe sur les serres de botanique.

Poussé dans ses derniers retranchements, ce samedi après avoir trainé au lit plus qu'il n'aurait dû, il s'était réfugié sous les combles du troisième étage. C'était un endroit étrange dans lequel il évitait d'aller trop souvent pour ne pas attirer l'attention sur son existence. Au détour d'un couloir très peu utilisé on trouvait une série de briques manquantes au niveau du haut du mur et du plafond. Une fois le mur escaladé tant bien que mal, on se trouvait alors dans un espèce d'entresol exigu, obscur, dont le sol de bois ne cessait de craquer et de grincer. Quelle était l’utilité d’une telle structure cachée derrière les épais murs de Poudlard, il n’en savait rien. Mais c’était sacrément pratique.

C'était dans le coin le plus éloigné de l'entrée rudimentaire que Glenn avait l'habitude de s'installer. Debout il devait faire attention à sa tête et marcher courbé, mais une fois assis le coussin qu'il avait laissé là rendait la planque un peu plus confortable.

Dos contre le mur froid, éclairé par sa baguette, il était en train de terminer son devoir de défense contre les forces du mal lorsqu'il remarqua de la poussière lui tombant dessus. Inhabituel. Le serpentard releva le nez vers le plafond quand l'une des dalles se délogea et s'écrasa à ses côtés dans un fracas assourdissant. Dans un sursaut et un cri de surprise il renversa son encre - sur ses vêtements heureusement – puis, incrédule, assista à la chute d'une masse de cheveux hirsute par-dessus les débris déjà tombés.

Le ciel venait de lui tomber sur la tête, apportant avec lui son pire trouble-fête. Penney, il ne savait trop comment, avait réussi à faire un trou dans le sol et à tomber à travers. Toujours aussi ahuri, Glenn leva sa baguette pour éclairer le trou béant qui révéla non pas le quatrième étage comme il s'y était attendu mais un autre entresol, ou peut-être bien un couloir, emmuré et sombre. Pas de bois dans ce nouveau passage inconnu, mais de la pierre. A croupi, sans quitter le plafond ni le trou du regard au cas où ça n’avait pas fini de s’effondrer, il fit un pas vers sa camarade et effleura son épaule pour voir si elle était consciente.

-Penney, ça va? - Puis, agaçé - Mais qu'est-ce que t'a foutu?!

Question idiote. Des bêtises, comme d'habitude. Au moins pour une fois ils n'étaient pas en cours, quand il essayait de se concentrer et qu'elle inventait toujours de nouvelles manières de répandre le chaos.
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Johan Penney
Johan Penney
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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeDim 11 Oct - 19:54

[1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) 631235ParToutatis
 ❝Even though you want to try to, never grow up❞

Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête! -
Les billes se percutaient dans les poches de sa robe, accompagnant ses pas d'un boucan difficile à étouffer, même en parlant fort. La mission ne s'était pas tout à fait passée comme prévu. Johan les avait empruntées une semaine plus tôt, dans l'armoire où le club de bavboules conservait ses jeux, et avec l'aide de Peeves qui avait généreusement semé la pagaille au cinquième étage pour lui fournir une diversion.
Elle avait passé le weekend suivant enfermée dans la Salle sur Demande, à multiplier les expérimentations. Elle n'avait cependant pas osé tester l'efficacité de ses enchantements. Enfermée, seule, dans une salle secrète dont presque personne ne connaissait l'existence, elle ne pouvait pas se permettre d'être la victime d'un sortilège mal agencé... Il faudrait tester sur le vif.


Et c'est ce qu'elle avait prévu de faire, aujourd'hui. Les poches pleines de billes trafiquées, Johan s'était déplacée du septième au quatrième étage en passant d'un passage secret à l'autre pour ne pas attirer l'attention. Approchant de la fin de son parcours, elle avançait à présent à quatre pattes sous le plancher d'une salle de classe du quatrième étage, à une dizaine de mètres à peine du placard du club de bavboules.
Ce qui arriva alors est facile à imaginer.
Quelqu'un marcha sur le plancher, Johan s’aplatit au sol en entendant les lattes craquer au dessus de sa tête, les billes trafiquées entrèrent brusquement en collision...

Une détonation dans les poches de sa robe, une violente secousse... Et Johan tomba.

-Penney, ça va? Une voix de garçon. Mais qu'est-ce que t'a foutu?!

Par la sacro-sainte culotte de Merlin, qu'est-ce qu'il s'était passé?!
Johan avait fermé les yeux dans sa chute, protégeant son visage de ses mains, et conserva cette position plusieurs secondes après avoir touché le sol. Elle avait drôlement mal aux fesses, et un peu à l'épaule gauche. Ces détails mis à part, elle était curieusement en bon état pour quelqu'un qui vient de tomber de plus de deux mètres de haut...
Une fois convaincue qu'elle n'avait rien de cassé, Johan ouvrit un œil et avisa où elle se trouvait. Ce n'était pas une salle de classe. Ce n'était même pas le troisième étage. Un passage secret alors? Impossible! Elle ne connaissait pas ce coin là! Qu'est-ce que...
Oh! Appleton!

-Tu vas pas me croire, mais c'était vraiment pas fait exprès...

Johan roula sur le ventre, toussa en soufflant sur le nuage de poussière soulevé par sa chute, et jeta un regard inquiet à sa robe. Comme on pouvait s'y attendre, l'explosion des billes avait totalement déchiré ses poches et une bonne partie du tissus autour. Un mélange de poussière et de mucus s'était répandu sur les lambeaux de sa robe, sa chemise et sa jupe. Lorsqu'elle tira sur le tissus, Johan découvrit que ses trois couches de vêtements étaient solidement collées les unes aux autres par une étrange substance rose.

-Urh... Est-ce que j'en ai dans les cheveux...? Misère...

Johan s'écarta de son point de chute à quatre patte et vint s'assoir près d'Appleton, laissant une trainée de mucus jaunâtre dans son sillage. Après un nouveau coup d’œil aux alentours et un soupir qui se mua en légère toux, elle adressa au Serpentard un sourire carnassier.

-Dis-moi... Tu voudrais pas filer un coup de main à une camarade dans le besoin, des fois? Ça n'impliquera presque pas d'infraction au règlement~



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Glenn Appleton
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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeMer 14 Oct - 20:14

Ce ne fut que lorsque la jeune fille roula sur le sol que Glenn pu mesurer l’ampleur des dégâts qu’elle s’était infligés toute seule. Ses poches avaient explosé, ses vêtements étaient déchirés, et bien évidemment, puisqu’on parlait de Penney, elle était gluante. Au moins pour une fois ils n’étaient pas en cours. Et le potentiel malodorant de sa bêtise semblait limité, ce qui le soulagea au plus haut point aux vues des liquides répandus un peu partout. Jusque dans ses cheveux, ce qu’il confirma d’un hochement de tête.

Il contempla les dégâts avec un demi-sourire en s’asseyant à nouveau sur le sol alors que la trublionne le rejoignait à quatre pattes. Il fallait bien que l’une des blagues de la gryffonne finisse par lui retomber dessus et c’était grâce à un coup de chance inouïe que le serpentard en était témoin. La curiosité piqué au vif en dépit du fait qu’il aurait vraiment du l’envoyer balader pour terminer son devoir, Glenn répondit au sourire plein de dents de Johan par un sourire parfaitement sage d’élève modèle.  

-Tu me connais, je ne résiste pas aux appels à l’aide de mes camarades en détresse.

Bon, la plupart du temps c’était surtout parce qu’il risquait d’en apprendre des bonnes, mais il fallait bien avouer que pour une fois le serpentard avait envie de savoir comment au diable elle s’y prenait pour accomplir tous ses exploits. Une occasion pareille d'être le bourreau et pas la victime ça se ratait pas. Et puis ce serait forcément inspirant. Il glissa un regard sur son pantalon sale puis attrapa son devoir presque terminé pour le ranger dans son sac et pointa sa baguette sur elle.

-On va commencer par te nettoyer un coup…Tergeo.

Il reposa ensuite sa baguette sur ses jambes après s’être assis en tailleur un peu plus confortablement. Elle n’était pas entièrement propre…Mais au moins elle n’indiquerait plus à tous les professeurs de Poudlard comment la suivre à la trace alors même que l’heure était aux bêtises.

-Maintenant dit m’en plus. Je dis pas oui, j’ai pas envie de me retrouver collé non plus.

Les yeux brillant de malice, Glenn continua de l’observer avec un sourire en attendant sa réponse.
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Johan Penney
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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeLun 6 Juin - 17:01

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 ❝Even though you want to try to, never grow up❞

Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête! -
Johan évaluait déjà la quantité de cheveux qu'il lui faudrait couper pour se débarrasser de la colle colorée lorsque Glenn pointa sa baguette sur elle. Elle passa l'instant suivant à loucher sur la pointe de cette dernière en s'émerveillant de l'astuce infinie des sorciers; ils pensaient à tout!
Une fois le sort lancé, Johan se sentit nettement moins poussiéreuse et tira sur les pans de sa robe pour vérifier que la pâte collante avait effectivement disparue. Ses poches étaient toujours trouées, en revanche et aucune des billes qui s'y trouvaient n'avait survécu à la chute. Levant les yeux vers le plafond bas (et le trou qu'elle y avait fait) Johan se demanda si on l'avait entendue à l'étage supérieur...

-Et ben, déjà, il fallait que je rende leurs billes au club de Bavboule. Commença-t-elle, le regard passant du trou au plafond à ceux de ses poches. Mais j'ai plus rien à rendre maintenant. Conclue-t-elle avec un sourire.

Elle tira à elle son sac de classe dont elle inspecta le contenu en découvrant avec stupéfaction que son encrier avait survécu à la chute. Sans plus de cérémonie, Johan plongea son bras dans le sac et en tira une boule de tissus composée de plusieurs paires de chaussettes et d'un pull en laine. Tout semblait en ordre, mais elle déplia tout de même le pull et inspecta chaque chaussette pour s'assurer que les billes qu'elles contenaient n'avaient pas explosé.

-Celles-là, c'est les miennes.

Elle vida le contenu d'une chaussette dans sa main et plaça sa poignée de billes sous le nez de Glenn, une expression triomphante sur le visage. Il y en avait cinq, toutes d'une couleur violet-vif, deux d'entre elles brillaient faiblement.

-Si elles fonctionnent, ceux qui mettront les pieds dans mon piège auront des problèmes beaucoup plus sérieux que de la colle dans les cheveux! Ses yeux brillaient de malice au dessus de son sourire enthousiaste. Y'en a qui collent, y'en a qui puent, y'en a qui font des paillettes, des jets colorants, des verrues aussi...

Elle comptait sur ses doigts à chaque nouvel effet énuméré, ses yeux ronds levés au ciel tandis qu'elle cherchait à se rappeler toutes les idées géniales et maléfiques concrétisées durant les dernières semaines de travail.

-Bref! C'est sans danger pour le corps, mais assassin pour la dignité! Elle replaça les billes dans la chaussette et replia le pull tout autour. Et comme ils l'ont bien cherché, cette fois, j'ai désigné des victimes. C'est un peu plus méchant que d'attaquer au hasard, mais à la guerre comme à la guerre. Tout ça, c'est pour Serpentard!

Elle épousseta de nouveau sa robe et se tourna légèrement pour faire face au garçon.

-Alors? T'en es?!

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Glenn Appleton
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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeVen 10 Juin - 10:57

Observer Johan dans son élément naturel avait quelque chose de fascinant. Sans piper mot, pour ne pas la déconcentrer, Glenn continua de l’observer avec le même degré de curiosité qu’il ne l’aurait fait dans un zoo face à un suricate.

Il se rapprocha à genoux pour observer l’étrange amas de chaussettes, au sein duquel nichaient des boules de bavboule à l’air relativement normales…pourtant le fait que le serpentard venait de voir Joh les tirer de son sac les rendait dangereuses à ses yeux. Le nez froncé, il loucha dessus avec l’air circonspect quand la rouge les lui fourra sous le nez, retenant par instinct son souffle, parce que sérieusement, si c’était pour une de ses farces y’avait de grandes chances que ça pue.

Eeeet yep. Des qui puent, des qui paillètent, des qui verruent. Glenn releva les yeux vers le visage de sa camarade quand elle lui expliqua tout ça comme si c’était génial et innovateur. Du classique Joh. Mais tous les génies du mal ne pouvaient pas se contenter d’inventer en permanence, parfois les classiques c’était bien aussi.

Pourtant, son envie de participer lui aussi à l’une des traditions poudlariennes fut sévèrement calmée quand la jeune fille lui annonça ses victimes sans même l’ombre d’une hésitation. Vraiment ? Glenn jeta un œil à son blason fort visible, et croisa les bras avant de répondre, l’air de rien.

« Hmmm je sais pas. T’as pas peur de…te répéter ? Ça pue, ça colle, ça file des verrues…C’est rien de très original. Tu ne deviendrais pas feignante avec tes blagues, dis-moi ? »


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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitimeLun 13 Juin - 15:34

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Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête! -
La lumière dans les yeux de Johan s'éteignit brusquement et son visage s'empourpra furieusement sous l'effet de l'accusation de Glenn.

-Pas original? Elle baissa les yeux sur ses chaussettes, soudainement découragée et piteuse. Tu veux dire que c'est mauvais?

Elle pinça les lèvres et tourna une bille dans ses doigts, le rouge aux joues et la confiance dans les talons. Est-ce qu'elle manquait de créativité? Est-ce que ses blagues étaient ennuyeuses? Elle avait fait de son mieux pour créer ces petites merveilles, mais à présent que Glenn pointait du doigt leur déplorable banalité, la création de Johan ne semblait guère plus intéressante qu'un boursouflet. Elle remit, désemparée, la petite bille violette dans sa chaussette.
Était-elle devenue un esprit-frappeur médiocre? Elle adressa un regard buté à Glenn qui avait changé son immense fierté en toute-aussi-immense déconvenue en tout juste quelques mots. Peut-être était-il vraiment un serpent, mais avait-il tors pour autant? Elle se sentait piteuse, son découragement étant à l'échelle de l'enthousiasme qui l'avait animée jusqu'ici. Elle avait été ravie de ce projet de bavboules améliorées; ravie! Sans un mot de plus, Johan s'adossa au mur et rangea mollement ses chaussettes dans leur pull-protecteur.

-J'ai pas eu beaucoup de temps...

Elle fit la moue, dépitée d'en être réduite à s'inventer des excuses.

-Il fallait que je rende les vraies, et puis ils ont failli faire expulser Lian...

Elle laissa tomber le pull dans son sac comme s'il n'avait s'agit que de cela: un pull.

-Mais j'peux faire mieux! J'peux faire pire! Elle s'enflamma, trouvant sa motivation dans la colère qu'elle éprouvait envers la Maison qui avait pris Lian pour cible. J'peux inventer quelque chose de beaucoup plus tordu et de beaucoup plus humiliant. Ils méritent pas moins. J'ai déjà un détonateur prêt que j'avais utilisé pour piéger le couloir du deuxième étage et transformer des gens en poulpes. Je peux piéger tous les cachots comme ça. Il leur tombera des crasses dessus toute la journée.

Non, les cachots c'était loin d'être assez. Ils n'auraient qu'à courir se cacher dans leur Salle Commune...

-Il me faut un truc pour les tracer. Quelque chose qui les suive dans toute l'école...

Elle gonfla le torse et se tourna vers Glenn, l'air combatif et le regard féroce.

-Et je peux trouver mieux que des verrues. J'ai pas eu beaucoup de temps! Je peux faire beaucoup mieux! Et j'ai d'autant plus besoin de ton aide, du coup, parce qu'il faut faire mieux, et il faut faire plus vite.

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MessageSujet: Re: [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan)   [1943 - Mi-Octobre] Par Toutatis, le ciel nous tombe sur la tête. (Johan) Icon_minitime

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