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 [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews

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MessageSujet: [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews   [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews Icon_minitimeMer 30 Déc - 16:12

Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Part. 2]
with - Keira Matthews

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« …Keira. »

C’est dans des situations pareilles que Genim avait vraiment envie de se noyer dans le lac des sirènes. Il maudissait cette branche de gui, peeve et le sale type qui avait lancé ce sort débile, il maudit aussi Nevender, et pourtant, rien était de sa faute pour une fois, malgré tout, il repoussa après le choc passé et regarda intensément Keira dans les yeux. Son couple était-il fichu ? Avaient-ils été trop loin ? Mais pourtant, ils n’y étaient vraiment pour rien.
La demoiselle fit demi-tour, et le garçon lui courut après, sous les regards parfois choquer, parfois amuser des autres élèves de l’école. Humiliation totale… Autant leur baiser dans la forêt resterais secret –il l’espérait de tout cœur- autant là… C’était très mal parti pour que personne n’en parle. Ça avait dû arriver à bien d’autres aujourd’hui, évidemment. Mais là il s’agissait du fou et du boiteux. C’était sûr que ça allait jaser pendant longtemps ! Et le pire, c’est que c’était Keira qui en subirait le plus…
Au loin, on pouvait entendre des « on t’avait prévu jolie blonde, faut pas sortir avec les détraqué ! »

Alors qu’ils s’éloignaient rapidement de la foule, l’une cherchant à fuir l’autre qui essaie de la rattraper, Genim lui attrapa le bras, les stoppant dans leur course.

« Keira je n’y suis pour rien ! Je ne sais pas ce qui s’est passé ! Je… je ne comprends pas. C’était plus fort que… »

Se taisant, cherchant des mots moins violents que « c’était plus fort que moi » puisque ça aurait pu très bien dire que ses sentiments pour Nevender étaient bien plus forts que ceux pour Keira… C’était totalement faux, il savait parfaitement de qui il était amoureux. Mais ça, après ce qui venais de se passé, il fallait le prouver à l’élue de son cœur…

« Je veux dire, c’était RÉELLEMENT plus fort que nous.  On ne voulait pas ça, on discutait et ce gui est arrivé et… »
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Keira Matthews
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MessageSujet: Re: [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews   [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews Icon_minitimeJeu 31 Déc - 1:10





Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé
Genim Morgenstern ▼


Il fallait que je sorte avant de tuer quelqu'un. J'étais dans un tel état de rage que j'aurais put étranglé le premier qui oserait me barrer la route. Cette journée était la pire de toutes, jamais je ne m'étais senti à ce point aussi humilié ni même trahis. Genim m'évitais depuis un temps, je voyais bien qu'il prenait de la distance avec moi, je sentais qu'il avait des choses à me reproché et je savais parfaitement ce que c'était. Je traînais trop avec d'autres garçons que lui. C’était mes amis, je voyais pas ou était le mal, a croire que je devais me consacré exclusivement à lui. Je n'ai pas le droit d'avoir des amis c'est ça ? C'était déjà difficile, mais là, avec ce qui s'est passé, c'était simplement un comble. Alors que Monsieur me reproche de fréquenter trop de garçon lui ce permet d’en embrasser un ! Et pas n'importe qui.. Oak ! Je ne pouvais pas l'accepter !

Hors de question que je reste là à les regarder ce bécoter sous le gui sans rien dire. Oak avait mérité d'avoir mon poing en plein visage, ça lui apprendra un peu, mais ça ne l’arrêtera pas de toute façon cet imbécile. Au moins tans qu'il sera occupé à pleurnicher pour son petite petit minois abîmé il me fichera là paix. Je marchais droit devant moi, nez levé en gardant toute ma dignité malgré les moqueries qui fusaient déjà d'un peu partout dans la pièce. Genim me courait après, évident qu'est ce qu'il aurait put faire d'autre alors que je venais de le prendre sur le fait.
Il cours, il me rattrape et saisi mon bras pour m’arrêter. Je tourne les talons pour lui faire face, je me demandais bien ce qu'il allait trouvé comme excuse tien. Je lui lançais un regard noir, mais aussi triste parce que ce gros crétin venait de déchiqueter mon cœur en un millier de petite morceaux triste.

J'écoute son excuse, pour le moment j'étais plus en colère qu'autre chose. C'était plus fort qu'eux ? Qu'est ce que c'est que cette histoire encore. Je fronçais les sourcils, pas convaincu le moins du monde par ce qu'il me racontait et me permis même de finir sa phrase dans un éclat de voix un brin plus aiguë que d'habitude.

« Et tu t'es senti obligé d'aller collé ta bouche sur celle d'Oak  hein? On t'y a obligé peut être c'est ça ? Vous vous êtes bien fichu de moi. »


Si j'avais un truc à lui lancer à la figure je l'aurais fait volontiers mais je n'avais que mon sac de cours et je n'étais pas encore assez hystérique pour le marteler avec.. quoi que ça n'allait pas tarder à être le cas s'il me servait des truc aussi minable comme excuses.  









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MessageSujet: Re: [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews   [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews Icon_minitimeLun 4 Jan - 1:51

« Et tu t'es senti obligé d'aller collé ta bouche sur celle d'Oak  hein? On t'y a obligé peut être c'est ça ? Vous vous êtes bien fichu de moi. »
« Mais non ! Enfin si, mais non ! Tu ne comprend pas ce que je te dit. Je sais pas ce qui s'est passé, lui non plus. C'est... Peut être encore une farce. Tu sais a quel point on aime nous embêté. En plus c'est Noel bientôt on m'as fait des farces toute la journée sur ce thème, et je pense qu'on nous a jeter un sort. »

Il avais essayé de paraître le plus sincère possible, malgré le ridicule de ses explications face à la terrible situation. Il avait lever le bras en direction de Nevender, et sous l'air dubitatif de sa petite amie, soupira et le baissa le long du corps.

« Je t'en pris Keira, tu crois quand même pas que je suis attiré par un garçon, si? Encore moins de Nevender ! C'est un camarade, et c'est toi que j'aime... Tu le sais, non..? »
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MessageSujet: Re: [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews   [16 Décembre 1943] Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé. [Suite] - with Keira Matthews Icon_minitimeLun 4 Jan - 15:01





Premier baiser, c'est un accident, deuxième baiser, les gens commencent à parlé
Genim Morgenstern ▼



Je fis un effort quasi surhumain pour pas simplement le planter là et partir sur le champ. Bras croisés j'attendis ses « explication » en soupirant d'agacement et de colère. J'espère vraiment qu'il a une bonne excuse mais franchement je voyais pas tellement quoi. Je restais très septique à son histoire de farce. Parce que franchement c'était l'idée la plus nul du monde, vraiment... Je savais qu'on aimait bien l’embêter mais franchement je voyais pas pourquoi on l'aurait obligé à embrassé Oak.. Surtout Oak.. Préfet et emmerdeur de première.. c'était risqué de bien déguster jusqu'à la fin de l'année.

«  Un sort .. Bah voyons c'est pratique ça.... »

Bon c'était quand même pas à exclure même si je voyais pas quel genre, pas un de ceux qu'on apprend en cours ça c'est certain ! Je soupir un peu plus et m'agace toujours à l'entendre parler d'Oak, je crois que j'ai jamais autant détesté quelqu'un de ma vie à cet instant.

« Un camarade hein ? Je devrais embrasser mes camarades aussi alors ? Je crois que tu le prendrais bien.. non ? Et puis excuse moi mais Oak.. franchement ! Tu sais qu'il passe son temps à faire des sous entendu bizarre sur vous deux ?! Et la je te retrouve.. avec lui.. c'est n'importe quoi ! »

C'est vrais que j'avais toujours pris ça pour de la provocation chez Oak, une façon de ce montrer intéressant et de faire son malin pendant les réunions en espérant me casser les pieds. Aujourd'hui ça a marché.

« Combien de fois je t'ai dis que ce type était invivable ! Je suis certain que lui ça lui ça lui a fait très plaisir ! »

Il devait boiter dans son coin en ricanant de cette situation. Peut être même qu'il était caché dans son coin pour en profiter un peu plus. De toute façon s'il fait la moindre référence à ce qui s'est passé je l’assomme avec sa canne et je lui fait mangé histoire de le faire taire une bonne fois pour toute. Ça rendra service à beaucoup de monde.







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