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 Constance Matthews

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MessageSujet: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeSam 26 Avr - 17:54

Constance Matthews

A petits pas, j'avance. Le cœur déterminé.


Genre :
Féminin.
Âge :
12 ans (7 juillet 1931)
Lieu de résidence :
Dans le Londre moldu
Maison :
Poufsouffle
Année :
2ème année
Personnage ou auteur de l'avatar :
Sakura Honda

Familier :
une petite reinette volante
Baguette :
Epicéa, 23 cm, crin de licorne, souple.
Patronus :
Qu'est ce que c'est qu'un patronus ?
Epouvantard :
Un homme enflammé
Balai :
Je n'en ai pas, c'est interdit pour les première année.
Amortentia :
La douce odeur sortant d'une boulangerie associé à l'odeur des vieux livres caché dans un grenier.
Matières :
Astronomie ; Botanique ; Défense contre les forces du Mal ; Histoire de la magie ; Métamorphose ; Potions ; Sortilèges ; Vol sur balais.

Taille :
1m32, je suis plus petite que la moyenne de mon âge
Corpulence :
Plutôt fluette je dirai.
Cheveux :
J'ai les cheveux coupé au carré, noir, avec une frange qui cache mes yeux lorsque je suis gênée.
Yeux :
Un mélange de bleu/vert avec des tache de gris.
Signes distinctifs :
Je garde souvent les yeux baissés et rougis pour un rien. Je porte parfois une petite barrette pour relever ma franche et me dégager le visage.
Style vestimentaire :
Je porte en général des vêtements moldu sans grande excentricité du faite des revenus modeste de ma famille. Des robes, des jupes, des blouses et des petits gilets forment ma garde robe avec pour compléter des chaussettes hautes lorsque le temps est frisquet. Je compte cependant me fournir en tenues sorcières afin de mieux m'intégrer dans ce nouveau monde.

Qualités :
calme, Hum... je dirai douce, gentille, loyal, travailleuse et déterminer dans ce que j'entreprend. Rêveuse aussi, à moins que ce soit un défaut... Oui ça doit être un défaut plutôt...
Défauts :
Timide, maladroite, soumise, je rougis pour tout et rien malheureusement.
Préférences :
J'aime lire et m'évader dans mes rêverie, encore plus lorsque je suis sous une bonne couverture avec un peu de lait au miel. J'apprécie découvrir ce nouveau monde plein de surprise et écouter les personnes parler des aventures qu'ils ont. J'aime les animaux aussi et surtout, j'aime ma famille, mes parents, mon frère et ma petite soeur!
Antipathies :
Je n'aime pas le feu, les rats aussi et le bruit d'explosion. Je n'aime pas aussi les personnes qui intimide les autres et les injustices. Et je n'aime pas les  banane aussi.

Réputation :
Je ne sais même pas si j'ai une réputation... Pour avoir une réputation, il faudrais que l'on parle de moi, non ? Et puisque l'on ne parle pas de moi, c'est que je n'ai pas de réputation. En faite, je suis plutôt invisible...
Projets :
Je voudrais m'intégrer dans Poudlard et donc dans le monde magique, me faire des amies sur qui je peux compter aussi. Je voudrais pouvoir être bonne en magie et tout connaitre de ce monde... mon monde. Et j'aimerai essayer de changer et ne plus être cette petite fille timide! Mais c'est dure...
Famille  :
Je viens d'une famille moldu comme ils disent. Mon père est au front en temps que pilote de la Royale Air Force et ma mère est femme de ménage chez plusieurs bourgeoise. J'ai un  grand frère qui a 14ans et une petite soeur qui a 6ans. J'avais un autre grand frère aussi. Avant.
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeDim 27 Avr - 4:06

Histoire

Je me souviens encore de ces temps où on ne s'inquiétait pas vraiment. Où a 8 ans, on nous demande seulement de sourire et de rire, sans faire trop de bêtises et d'être poli. J'habitais cette maison située au-dessus d'une boulangerie, une jolie rue avec un square à quelques pas. Lorsque les fenêtres étaient ouvertes, on entendait les enfants qui jouaient, les commères et tous les autres bruits de la rue. Moi, j'adorais par-dessus tout l'odeur du pain juste cuit et des viennoiseries qui sortaient de cette petite boulangerie de quartier. Lorsque je montais dans le grenier pour me mettre sous la lucarne avec un bon livre, je sentais cette odeur et elle m'accompagnait dans mes rêveries. Quel plaisir. J'étais déjà une enfant calme et timide, qui ne savait trop comment se lier d'amitié, mais qui était heureuse quand on venait lui parler. J'aimais regarder autour de moi le monde évoluer comme une spectatrice face au plus grand théâtre de tous les temps. Et quel beau théâtre ! Plein de joie de vivre et de gaieté.
Je me souviens que cet été là, mon père était en permission et taquinait ma mère dans la cuisine. Ma petite soeur Cathy gazouillait dans son berceau à quelques pas d'eux et observais de ces grands yeux curieux l'ombre d'un cerf volant sur le mur. Mes frères étaient dehors au square, Jimmy jouait au gendarme et au voleur avec ces amis et William tentait de draguer quelques filles les faisant glousser de ces pitreries.
On était en juillet 1939, le temps était clair, le soleil haut et la brise nous apportait les senteurs de l'été.

Et tout changea...

Septembre 1939, la guerre fut déclarée, la drôle de guerre. Mon père eu de moins en moins de permission et William prit davantage en maturité pour protéger en l'absence du chef de famille. Il y eut quelques changements pour faire face à cette guerre, mais nous continuions à vivre. Une routine s'installa à nouveau et nous regardions toujours les avions passer au-dessus de nous pour, peut-être, apercevoir celui de notre père. La guerre était si proche et si loin à la fois. La propagande tombe du ciel.

Et tout changea...

Les bombardements commencèrent en août 1940, les avions qui survolèrent Londres cette fois-ci n'était pas des camarades de notre père... Bien au contraire, ils apportèrent avec eux le feu et le sang, les premières ombres de nos vies, les premières tâches sur notre belle ville. Le square se vida encore davantage des rire d'enfants. Les mères tiraient près d'elles leur bambin, un regard toujours en direction du ciel. Nous attendions tous la prochaine sirène d'avertissement pour se précipiter dans les caves et les métros. A attendre, parmi les autres réfugier, parmi les rat parfois, parmi les pleurs des enfants apeurés, les gémissements de ceux qui se sont blessés dans leur course pour se protéger, à attendre que la terre cesse de trembler et que l'on puisse à nouveau sortir et vivre comme nous le pouvions. Car il le faut bien. Toujours l'oreille aux aguets. L'angoisse latente qui nous étreignait le cœur. Une routine s'installa. Et moi je continuais à me réfugier sous cette lucarne, je continuais à lire et à rêver.

Et tout changea...

Ma mère avait décidé de souffler un peu entre deux ménages et avait amené Cathy et Jimmy chez une amie à l'extérieur de Londres. Moi j'étais restée à la maison avec William, je me souviens qu'il me faisait travailler mes chiffres et mes opérations malgré son impatience. L'école se passait bien malgré ma timidité, j'observais les enfants de mon âge former des liens d'amitiés et de rivalités. J'observais sans oser m'intégrer, mes seules interactions avec les autres étaient de faibles salutations, des services rendus et quelques chahutages à mon encontre.

Nous étions le 7 Septembre 1940 et mon esprit d'enfant de 9 ans pensait que la guerre était déjà à son summum et que cela ne pouvait pas être pire. Le « Blitz » vint et emporta pourtant ces âmes ainsi que William. C'est tellement étrange... On entend parler de décès autour de soit tout le temps durant la guerre, mais tant que cela ne nous arrive pas, ça semble comme un flou possible mais impossible en même temps... Et pourtant... Qui aurait pu prévoir ce qui allait arriver ce jour-là ? De cette ampleur là ? Peut être les grands hommes... Mais pas nous.

Nous étions le 7 Septembre 1940 et le ciel était dégagé et bientôt les sirènes hurlèrent leur avertissement. Les bombardiers étaient sur Londres, il nous fallait nous mettre à l'abri. C'était des gestes fait tellement de fois déjà, pourquoi n'avons-nous pas eu le temps d'atteindre le métro ? Pourquoi a t-il fallut que la bombe tombe si près de nous ? Les bombes... La suite se grava dans ma mémoire mais pourtant reste flou. J'entends encore mon frère me crier de me dépêcher et de me mettre à l'abri alors que l'explosion projetait des pends entier de mur et des débris enflammés dans tous les sens. Je sens encore l'odeur de fumée qui flottait dans l'air. Je vois encore William se faire engloutir par les flammes de l'explosion de gaz de la boulangerie, je me souviens de mettre dit que je ne pourrai plus acheter le pain en bas de chez nous. L'esprit est vraiment tordu. Je tombais inconsciente au milieu d'un cercle intact délimité par des décombres.

Se fut un drame pour notre famille, se fut des larmes pour nos coeurs, se fut de la culpabilité pour ma mère et pour moi. William ne me chiperai plus mes livres dans de grands éclats de rire en me disant : « Allez sort de ta bulle ! Vie un peu ! Tu verras le monde réel aussi peut être magique ! ». William ne serait plus là et nous n'étions plus que 3enfants, mais pour combien de temps ?

Malgré tout, la vie continu, elle change et nous évoluons pour nous adapter. Nous avions perdu tout ce que nous possédions et nous avions donc dû déménager dans un petit appartement. Les nouvelles de mon père étaient rares mais précieuses : il était en vie. Et il voulait venger son fils et s'investissait toujours plus davantage dans la guerre. Je restais davantage auprès de ma mère pour la soutenir dans la famille et l'aider. Unis nous étions plus fort, unis nous nous protégions.

Les attaques continuaient, les bombardements aussi. Il semblait loin le temps où je lisais sous la lucarne du grenier et où la seule chose que l'on demandait à un enfant était de sourire et de rire, sans faire trop de bêtises et d'être poli... Bien sûr la situation n'était pas toute sombre, mais l'éclat des regards disparaissait trop rapidement dans les yeux de chacun. Pourtant, je continuais à rêver éveillé comme un moyen de me protéger de toute cette guerre. Je voulais m'évader comme Peter Pan.

Et tout changea...

Mardi 7 Juillet 1942, j'ai 11ans, pour n'importe qui ce n'est qu'une année de plus, pour moi ce fut un bouleversement. Ce jour-là, je découvris ce que ressentie Wendy lorsque Peter Pan lui fit découvrir un nouveau monde. Ce jour-là, le professeur Phileas-Faust Carthew endossa le rôle de Peter Pan et me fit découvrir le monde de la magie !

« Votre fille, Constance, est une sorcière » cette phrase résonna longtemps dans mon esprit. Elle tourna en boucle encore et encore, j'en découvrais les saveurs et les nuances. J'eus l'impression de m'éloigner soudainement de ce monde gris. J'eus l'impression d'une explosion de couleur.

Pour n'importe qui ce n'est qu'une phrase dont la réponse ne peut être qu'un rire et un « voyons, de quoi me parler vous, vous êtes vous ». Pour moi ce fut une chute libre au coeur de mes rêves, pour ma mère se fut d'une incongruité totale.

Pourtant, lorsque cet homme à la carrure haute et large vint sonner à la porte de notre petit appartement ce début d'après-midi là, il n'y avait pas de place à la plaisanterie et le petit rire de ma mère s'étrangla devant un petit coussin volant. Elle resta là, silencieuse à fixer le coussin, le visage vide d'expression. Moi, je rêvais éveillé et retenais mon souffle, la tête baissée, je fixais mes mains posées sur mes genoux. Les minutes s'écoulèrent sans qu'aucun autre son que celui les babillages de Cathy dans la pièce à côté. La patience du professeur face à ce silence m'impressionna. Et cette même patience fut récompensée par une phrase prononcéseavec incertitude : « Vous êtes sûr ? ».

J'avais peur d'espérer. Quel enfants ne pourraient pas espérer ce genre de choses ? Je voulais y croire.

La suite fut une longue série d'explication et de questionnement. Le monde des sorciers, Poudlard, la magie, les baguettes magiques, les matières enseignées, le planning scolaire, le Chemin de Travers, les moldus, mes possibilités... Tellement de choses qui me paraissaient de plus en plus incroyable au fur et à mesure que j'en apprenais plus !

Bientôt la cloché sonna ces 16 coups, midi. Ma mère et moi avions la tête pleine. J'avais l'impression de flotter pour ma part, d'être toute légère. Ma mère, elle, semblait ressentir tout le contraire. Je m'étonnais qu'elle puisse aborder les choses aussi calmement. Les adultes ne sont-ils pas sensés se récrier face à ce genre de choses ? Les adultes pouvaient-ils encore avoir assez de rêve pour pouvoir accepter aussi facilement ce genre d'annonce ? Peut être allait-elle exploser plus tard. Soudain une angoisse me vrilla l'estomac : Et si elle ne voulait pas que j'aille dans cette école de magie ?
« Je pense que vous avez beaucoup à réfléchir, je vais prendre congé et ne pas davantage abuser de votre temps. Je reviendrais samedi après-midi pour l'achat des fournitures scolaire de votre fille... Si bien sûr tel est votre désir. »

Ce fût très étrange. Une fois la porte refermer sur cet homme, sur ce sorcier, tout cela sembla... soudainement loin. Impossible. Tout cela venait-il bien de se passer ? Étais-je bien une sorcière ? Poudlard existait-il vraiment ?

Les jours suivants, je les passais à regarder par la fenêtre sans oser parler de tout cela. Jimmy et Cathy ne savaient rien et ma mère semblait ne pas tenir en place. Je ne savais plus quoi penser, j'alternais entre rêverie sur la magie et incertitude sur l'avenir, incertitude sur ma nature de sorcière. J'hésitais plusieurs fois à aborder ma mère. Je commençais doucement face à ces quelques jours à oublier l'espoir infime qui était né en moi ce mardi-là.

Mon monde change... Et moi ?

Vint le vendredi soir, je m'étais pelotonné près du poile, sur le vieux fauteuil à la trame usé, mon préféré. J'avais l'esprit ailleurs, j'avais l'esprit déjà demain après-midi. Ma mère s'approcha de moi doucement et réussi à se caler avec moi sur l'assise. Nous étions coller l'une à l'autre, nous étions mère et fille.

« J'ai réfléchi à tout ceci ma chérie, me dit-elle doucement. Je pense que tout ça, la magie, Poudlard et tout le reste... Je pense que c'est une opportunité pour toi. Quand je vois le monde aujourd'hui, cette guerre, ton père qui est presque toujours absent... »

Elle se tût un instant, je ne voyais pas son visage la tête poser contre son épaule, mais je savais qu'elle était mélancolique. Elle avait perdu l'éclat d'il y a 3 ans. Elle avait peut-être même perdu l'espoir. Moi je sentais un éclat se raviver au fond de moi, l'espoir.

« Oui, reprit-elle plus fermement. C'est une opportunité que tu te dois de saisir. Tu vas pouvoir démarrer dans un nouvel univers et embrasser tout ce qu'il peut t'offrir. Je suis sûr que tu peux t'y faire une place. Tu as beau ne pas être une enfant très ouverte au monde, mais je sais que tu es forte et que tu peux être très déterminée quand tu le veux. »

Je n'osais rien dire, j'étais suspendue à ces mots. Ma mère, je l'aimais.

« J'ai envoyé une lettre à ton père. Je n'ai pas encore de réponse, mais je sais qu'il approuverait ma décision. Jimmy est en apprentissage avec Tom le Verrier, il est déjà en train de tracer sa voie et faire ce qu'il aime. Cathy est encore trop jeune pour penser à tout cela et nous verrons le moment venu. Mais nous voulons te soutenir pour que tu puisses, toi aussi, avoir une chance de faire ce qu'il te plait. Et si ce qu'il te plait se trouve dans le monde de la magie ma petite rêveuse alors nous allons te permettre d'aller à Poudlard. »

Je lui souris, un de ces sourires que seul les enfants peuvent montrer, un de ces sourires qui expriment la joie simple mais sublime. Un de ces sourires qui reflètent le bonheur qui étreigne le coeur des enfants, mon coeur. Ma mère, douce mère, me sourit en retour et resserra son étreinte.

« J'ai couru un peu partout cette semaine et j'ai réussi à rassembler assez d'argent pour que tu puisses obtenir tes fournitures scolaires. Je ne pourrai malheureusement pas venir avec toi demain sur le Chemin de Traverse, j'ai un ménage à faire que je ne peux pas manquer. Mais je suis sûr qu'en rentrant tu pourras me décrire toutes les nouvelles choses que tu as vu. Et puis, je veux que tu saches, que sorcière ou non, nous t'aimons de tout notre coeur.»

Et moi ? Puis-je changer ?

« Allez sort de ta bulle ! Vie un peu ! Tu verras le monde réel aussi peut être magique ! »
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeDim 27 Avr - 18:39

Très bien et très jolie Constance ;) Tu n'en a pas trop fait :) c'est pour ça que les admin demande un 2éme post si c'est trop long.

Bienvenue sur le forum au plaisir de RP avec toi à l'avenir :)
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeLun 28 Avr - 12:44

Bien le bonjour ! De ce que j'ai lu tout semble convenir, cependant je crois que tu n'as pas terminé ta fiche ? Autrement, sache que tu n'en as pas fait trop.  <3 
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeJeu 1 Mai - 2:40





Bonjour, je suis Sally Chapman, modératrice. Je suis également responsable de ta validation.

Bienvenue ! Je te félicite pour ta validation, c'est une très belle fiche et qui plus est, tu as pris un prédéfini ! Nous te remercions pour ça et sommes heureux que l'un de nos prédéfinis t'aient plu.



Constance ! Enfin, je peux te valider. Je te l'ai déjà dit mais je te le redis, j'aime la façon dont tu écris ! maintenant, remplis ton profil si ce n'est pas déjà fait, créé ta fiche de RS et tu pourras rp ! Au plaisir de te croiser au détour de la chatbox ou d'un couloir du château !
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeJeu 1 Mai - 8:44

Bienvenue parmi nous et je te le dit deux fois car c'est bienvenue dans le monde des sorciers et bienvenue dans la bande des 1 ères années. Car oui j'espère que nous formerons bientôt une bande, il n'y a pas de raisons que les "petiots" ne puisse pas s'amuser comme leur ainés de 6 ème année principalement.
Tu sais déjà où rp si tu le souhaite, il n'a pas commencer, on dirais qu'il t'attend.
Je le répète, bienvenue :)
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitimeJeu 1 Mai - 14:33

Merci beaucoup !!!!!
Je vais de ce pas remplir tout ce qu'il faut =)
Et pis je vais voir ce fameux RP qui m'attend ^^

En tout cas Sally merci, ça me fait plaisir !!
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MessageSujet: Re: Constance Matthews   Constance Matthews Icon_minitime

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