Eliott Dawson

Comme un intello à première vu, mais dès qu'on parle un peu avec lui, on comprend très vite que c'est un petit plaisantin toujours de bonne humeur.
Hésite entre reprendre le métier de son père, ou aller plus loin dans les études.
Ses deux parents sont sorciers, et sa petite soeur rentrera l'année prochaine à Poudlard. En revanche, ses grand-parents maternels sont moldus.
Si je devais résumer ma vie ? Banale, simple, voir sans grand intérêt. Je suis le fils d’un éleveur de chouette et de hibou, vous savez, c’est grâce à lui que vous trouvez ces emplumés au chemin de traverse. James Dawson, le maitre des piafs ! Accompagné par Bénédicte Lapierre, française d’origine, mais amoureuse des plumes. Vous l’aurez compris, j’ai vu de drôle d’oiseaux tout au long de ma vie. Je n’ai jamais été malheureux, du moins, pas à mon souvenir. Il y avait des petits chagrins, comme tout gosse normal, mais rien de bien terrible. Même la naissance de ma petite sœur était un enchantement pour moi.

Il y a peut être une chose que je n’ai pas aimé dans mon enfance, et que je n’aime toujours pas d’ailleurs : les vacances chez tante Brigitte, la sœur de maman. Ce n’est pas pour rien qu’elle est mon épouvantard ! Elle a toujours été miss propreté, miss règle, miss « il faut se coucher à 20h ! ». Elle pouvait enfin faire régnait sa domination, qu’elle ne pouvait exercer que sur ma sœur et moi, n’ayant jamais eu de compagnon de cœur, les faisant assurément fuir lors du deuxième rendez-vous. J’avais donc pris cette fâcheuse manie de me moquer d’elle, se lui faire des blagues ou rigoler dans son dos avec ma sœur.

Très vite, ma mère, qui nous faisait nos cours à la maison, comprit très vite que j’allais devenir une grosse tête, et s’en vantait à tout va. Ce n’était pas vraiment un problème pour moi, mais je doute que ce soit au gout de ma sœur, qui doit redouter de passer après moi…

Et enfin, je suis rentré à Poudlard, direction la maison de Gryffondor, même maison que mon père. J’aurai dû être content de ça, mais pourtant, je me demande si mon père ne voit pas là un signe indiquant que je devrais reprendre l’entreprise familiale. Ce n’était pas un mauvais métier en soit, mais cela ressemblait plus à une obligation de mon point de vue. En avais-je vraiment envie ? C’est sans aucun doute la seule chose qui me tracasse. J’ai de très bonnes notes dans la plupart des matières, voir seulement correctes en botanique ou en potion, mais globalement, les professeurs ont toujours étaient content de moi.

Cette année, je vais passer les B.U.S.E. et pour tout dire, je ne m’en inquiète pas du tout, ayant une bonne mémoire.

Voilà, un résumé banal de ma vie plus qu’ordinaire.