[1942 - Décembre - Mi mois] ϟ Orgueil & préjugés

Alice K. Wayland; Asterion T. Vesago; (Gregor Delov); Errai V. Vesago; (Scarlett Neil); Kathe Itrykwood; Sally Chapman; Alan Lawford; Vlad Corvinus; Aodhan D. Asling Phileas-Faust Carthew et Aloisia F. Peabird Isaac Lawford.

Notez que nous sommes onze sur ce rp, et que dans un soucis de rapidité, il est préférable de faire des réponses courtes et rapide. Si jamais vous avez un empêchement et que vous ne pouvez pas répondre, prévenez pour que le rp puisse continuer, vous pourrez toujours vous réinsérer plus tard.



Alice s'était levée de bonne humeur ce matin. Les vacances arrivaient à grand pas et elle allait enfin pouvoir revoir ses frères et son père. La seule ombre du tableau restait encore et toujours sa mère. Mais elle avait décidé que rien ne pourrait déranger sa bonne humeur du jour, alors elle évitait d’y penser, préférant se concentrer sur les bons moments qu’elle allait pouvoir partager avec Alec et Alan une fois rentrée chez elle. C’est avec le sourire qu’elle est entrée dans la grande salle où la plupart des élèves de l’école étaient déjà présent, et c’est avec le sourire qu’elle s’est assise aux côtés de Gregor, Sally à sa droite. Elle resserra un peu le nœud de sa cravate avant de se servir dans les plats déjà posés devant elle. Elle mangea de bon cœur tout en bavardant avec ses camarades verts et argents, discutant de Quidditch, d’examens, d’amours et d’emmerdes. Plus d’emmerdes que d’amours d’ailleurs.

Elle venait tout juste d'entamer une conversation avec Gregor, concernant leur prochaine mauvaise blague, lorsque le courrier arriva. Levant les yeux, elle scruta avec attention l’enchevêtrement plume en tentant désespérément de reconnaître l'oiseau de l'un de ses proches. C'est seulement lorsque de la chouette brune et noire se posa devant Alice qu'elle reconnu avec horreur l'animal fétiche de sa mère. Elle ne l'utilisait que très rarement, préférant utiliser celle de son mari pour les lettres sans grande importance. Avec réticence, elle détacha le papier de la patte de l'oiseau, le faisant déguerpir dans la seconde avec de grands gestes. Elle observa la lettre un long moment avant de se décider à l'ouvrir. Elle déchira le papier avec lenteur, retardant l'échéance le plus possible. Elle déplia le papier et pris une grande inspiration avant de commencer sa lecture.

Alice,
Je t'écris ces quelques lignes pour t'apporter une nouvelle qui, je l'espère sincèrement, te ravira autant qu'elle nous comble de joie ton père et moi. J'ai longtemps hésité avant de t'écrire cette lettre, j'aurais préféré t'annoncer cette nouvelle de vive voix, afin de pouvoir voir ton expression étonnée, mais je ne peux définitivement plus attendre, je suis tellement impatiente !
Il y a quelques semaines, qui eu une importante discussion avec l'actuel chef de la famille Vesago. Je pense que tu dois déjà connaître ses deux fils étant donné qu'ils sont tout deux scolarisés à Poudlard en ce moment même. Mais ce n'est pas vraiment le sujet pour l'instant, Alice. En effet, en parlant avec lui, nous nous sommes rendu compte qu'il pourrait être bénéfique pour nos deux familles de se rassembler pour n'en former qu'une. Ils n'ont cependant pas le sang pur et ont même une Cracmol dans la famille. Tu te rends compte ? Une Cracmol ! Mais là n'est pas la question.
La vérité Alice, c'est que j'ai réussi à conclure une promesse de mariage avec leur famille, c'est fabuleux Alice ! Je peux donc d'ors et déjà t'annoncer que dès la fin de l'année scolaire, tu pourras faire l'honneur à leur famille d'épouser leur premier héritier : Asterion Tyl Vesago ! Il a un an de moins que toi, mais je suis sure que tu saura passer outre ce petit détail ma chérie !
J'espère que tu es autant transportée de joie que moi ! Et puis, de toute façon, tu n'as pas le choix, tout est déjà réglé. Tâche de bien t'entendre avec ton fiancé surtout, c'est pour le bien de notre famille après tout !

Avec amour, ta mère.
Alicia L. Wayland

Alice dû relire la lettre trois fois pour être sure d'avoir bien comprit. Ses mains se crispèrent sur le papier, froissant la lettre et la déchirant même a quelques endroits. Ses yeux jonglaient entre plusieurs mots clefs de la lettre. « Mariage », « Asterion Tyl Vesago »; « fin de l'année scolaire »; « fabuleux »; « pas le choix »; « le bien de notre famille ». Elle sera les dents avant de prendre une grand inspiration. Ça n'allait pas se passer comme ça. Elle ferait annuler se mariage. Elle n'avait pas à se sacrifier pour les autres. Prenant appui sur la table, elle se redressa lentement, tenant toujours la lettre à la main.

▬ « ASTERION TYL VESAGO ! »

Elle regarda rapidement à droite et à gauche avant de poser son regard sur l’intéressé qui se trouvait non loin de là. Remerciant son statut de préfète-en-chef qui lui permettait de connaitre plus ou moins tout les élèves, elle sauta sur ses pieds et se dirigea d'un pas rapide jusqu’à lui pour l'attraper par le col. Ignorant protestations et regards d’incompréhensions, elle le traîna avec elle en dehors de la Grande Salle. Elle le lâcha une fois arrivé dans le Hall et lui colla la lettre sous le nez. Le tout en silence. Finalement, après un petit moment, elle brisa le silence.

▬ « Serait-il possible de savoir ce qu'est cette affreuse blague, Vesago ? »

Son ton était calme, posé, sec. Menaçant. Pourtant, elle bouillonnait intérieurement et se retenait tant bien que mal de lui envoyer plusieurs sorts à la figure.

▬ « Je te jure que si tu étais au courant, tu vas le payer cher... »

La bonne odeur de nourriture se répendait dans ses narines, alors qu’Asterion prenait son repas tranquillement. Serpentard tout à son aise parmi les siens, il gardait toutefois le silence, comme à son habitude. Ne rien dire, ne pas se faire voir de quiconque. Il participait au mouvement général pour ne pas sortir du moule, et il gardait pour lui ses ressentiments, ses colères, autant que faire se peut. La foule des élèves lui donnaient plus des envies de génocides qu’autre chose, mais il devait bien faire avec. Il ne les détestait pas, non, pas tous… Il jeta un œil à Sanctius, un peu plus loin, en se demandant s’il trouverait quelque chose d’encore plus horrible pour punir Matthews de son ignoble comportement. Il observait, tout.

Puis son regard se leva vers l’envol d’hiboux et de chouettes, qui apportaient le courrier. Un regard trop plein d’espoir s’échappa de ses yeux, et il fut bien malheureux qu’aucune lettre ne lui parvienne. Emrys n’était pas même apparu. Dans un soupir, il retourna à son assiette. Il ne quitterait Poudlard qu’après le Bal, et seulement pour quelques jours. Et dans sa dernière lettre, Ada n’avait pas l’air aussi joyeuse et amusée que d’habitude. Un pincement au cœur le saisit, ainsi qu’une légère angoisse. Il craignait qu’il ne lui arrive quelque chose.

Quand soudain…

« ASTERION TYL VESAGO ! »

Oh… oh lala… ça n’annonçait rien de bon du tout, ce genre de ton. Ignorant ce qu’il avait bien pu faire pour faire ainsi hurler une voix féminine qu’il ne reconnut que vaguement, il sentit son estomac se tordre, alors que le silence saisissait la table des Serpentard depuis le centre où il se trouvait. Toute l’attention de ceux qui étaient là était braquée sur lui. Il se sentit vaguement mal, et un peu perdu, mais trouva au fond de lui le courage de relever les yeux en cherchant l’origine de ce cri.

Alice Wayland, préfête-en-chef, s’avançait vers lui avec une espèce d’aura meurtrière autour d’elle, au moins. Il en lâcha ce qu’il avait en main, et eut à peine le temps de se retourner, que sa main venait le saisir au col et le trainer. Le regard perdu, il émit un « hey ! » de protestation, puis fronça les sourcils alors qu’on le trainait sans ménagement jusqu’aux couloirs. Quand elle le lâcha enfin, il ne dit rien, mais recula d’un pas contre le mur et plissa le nez, dans une espèce de moue qui se voulait indignée. Elle lui colla un papier sous le nez, et il eut le temps d’en parcourir les premières lignes :

« Serait-il possible de savoir ce qu'est cette affreuse blague, Vesago ? »

Elle était, là, actuellement, terrifiante. Il laissa sa baguette glisser dans ses doigts depuis son étui dans sa manche, simple mesure de précaution. Un petit groupe d’élève se formait autour d’eux, et il sentit, à son grand désepoir, le haut de ses oreilles rougir de colère.

« Je te jure que si tu étais au courant, tu vas le payer cher... »

Ah non ! Ca non ! Il n’avait rien fait, et il ne la connaissait qu’à peine, juste de réputation, et parce qu’elle était préfête-en-chef ! Pour le reste, il n’avait rien à voir avec elle, et ne le voulait probablement pas ! Elle était une aînée, elle était dangereuse, elle était Serpentard, et il voulait juste disparaitre, plus encore que d’habitude. Pourtant, il haussa le ton lui aussi, essayant de paraitre sûr de lui, alors que l’incompréhension qu’il avait de cette situation le mettait juste en colère :

« De quoi parles-tu Wayland ?! Je n’ai rien fait ! Passe tes colères sur quelqu’un d’autre, ou alors explique moi ce que tu me veux ! C’est quoi le problème ? »

Pas très Serpentard de s’énerver comme ça, mais à la fin, quoi ! N’allait-il pas pouvoir passer sa sixième année comme les cinq autres, à faire l’inexistant sans qu’on vienne lui chercher des noises ?! D’un mouvement rapide, il prit la lettre et s’écarta prudemment, puis la parcourut dans un silence tendu. On put deviner qu’il avait saisit la « formidable nouvelle » car son visage, déjà fort peu coloré (à l’exception de ses oreilles), devint blême, au point qu’on aurait pu penser qu’il allait défaillir.
Enfin. Peut être pas à ce point.

Il serra le poing, froissant le papier entre ses doigts.

« Qu’est-ce que ça signifie ? Pourquoi n’ai-je pas été mis au courant ? Est-ce juste un amusement de ta mère, Wayland, ou bien… ? POURQUOI… »

La phrase mourrut dans sa bouche. Il observa Alice Wayland. Elle allait le tuer. Ou tuer ses parents. Ou décimer la moitié de Poudlard.
Peut-être qu’il allait même l’aider. RAGE était un mot trop faible pour décrire ce qu’il ressentait, au point même qu’il sentait sa magie crépiter autour de sa baguette, qu’il avait toujours en main.

Un jour tout à fait banal pour Gregor qui ne semblait que vivre pour se lever, manger, travailler et ainsi de suite. Le train-train quotidien de la misère  semblait l'achever bout à bout. Il avait jeté son sac rempli de parchemins sur la grande table et dégustait avec tout en prenant garde de ne pas se tâcher une tartine beurrée soupesée de confiture de citrouille. Alors qu'il avait sous les yeux la Gazette du Sorcier et faisait son petit tri matinal dans les articles, Alice se pointa pour prendre place entre lui et Sally. Rien d'exceptionnel jusqu'à là. Il ne fut question de choses habituelles, rien qui ne pouvait sortir le serpentard de morosité. Enfin si, Alice lui donnait bien de la motivation. Après tout il l'adorait comme une grande soeur et ne put s'empêcher de lui adresser son sourire le plus fourbe en parlant de leurs projets... Disons par-ti-cu-li-èr-e-ment déplaisants pour d'autres.

Ce fut l'interruption d'une chouette adressée à elle, qui le tira de ses bonnes manières. Bien entendu que Gregor regardait par-dessus de son épaule. Il était normal qu'il s'informe de ce qui semblait monter en Alice et allait exploser tôt ou tard... QUUU..OOOOI ?! Il déglutit en lisant discrètement la lettre. NONNNNN... QUUU...OI ?! Le serpentard fit tomber sa tartine sur son journal dans la surprise et se pencha sur la table pour regarder Asterion plus loin. REGARD NOIR. PARTICULIÈREMENT NOIR. Gregor se redressa et planta sa fourchette à la verticale sur la table. Puis Alice fit un bond de la table pour rattraper ce... *inspiration*... bsaizjfngjn,kldnzfdknerknfg. À vrai dire le serpentard était un peu trop retourné pour suivre la fiancée qui traînait son... machin pour s'éloigner de la grande salle.

Il jeta son journal dégueulasse sur la première personne qu'il aperçut et rassembla ses affaires pour fuir vers la salle commune de Serpentard.

Errai était occupé à manger. Il était là pour ça après tout. es hiboux lui importaient peu, il n'attendait rien, étant donné que son père était bien trop occupé pour lui écrire une lettre, et qu'il était hors de question d'Ada lui écrive. De toute manière, si elle s'y risquait, Errai ne prendrait même pas la peine de la lire. En somme, la nourriture était donc la seule chose qui l'intéressait pour le moment, participant brièvement à la conversation de ses camarades de table.

Tout était calme et allait le mieux jusqu'à ce que le nom de son frère résonne dans toute la grande salle, poussant je cadet Vesago à lever les yeux en direction du grabuge. La préfète des Serpentard n'avait pas l'air de bonne humeur et à la manière dont elle saisit le col d'Asterion, le petit frère comprit qu'il allait se faire passer un savon, sans trop savoir pourquoi.

Pendant que tout le monde était occupé à les regarder quitter le halls et commencer à faire propager des rumeurs, Errai se leva silencieusement et prit le chemin de la sortie également. Il s'agissait de son grand-frère tout de même, et Errai estimait qu'il était en droit de savoir également.

Enfin, il atteignit la porte un peu tard sembla-t-il, car le Poufsouffle n'entendit que les jérémiades d’incompréhension de son frère. Il resta sur le seuil de la grande porte, attendant d'en savoir plus.

Les matins, c'est difficile. C'est tout, y a pas à chipoter plus. La bonne humeur ambiante, les rires les cris... Qu'on lui laisse déguster son pancake tranquillement !
Enfin... Tranquillement ? Finalement elle ne rechigna pas à un peu d'action quand elle entendit Alice, la préfète de serpentard, s'énervait contre Asterion. Regard interloqué vers chacun de ses camarades, qu'est-ce-qui avait bien pu la faire sortir de ses gongs ainsi ? Quelque chose d'intéressant, c'était certain. Ils se retirèrent de la grande salle, plusieurs personnes les suivaient déjà. Sally décida qu'elle pourrait s'amuser, elle aussi. C'est vrai, ces vacances promettaient d'être ennuyeuses au possible.

Elle se leva pas loin de son ami d'enfance. Elle ne voulait pas se faire remarquer. De toutes manières, ils semblaient tous les deux bien trop préoccupés pour être inquiétés de la rouquine qui avançait à pas de loup vers les adolescents. Bon. Il fallait commencer à évacuer les femmes et les enfants. Mais qu'est-ce-qu'il se passaiiiiit ?! La curiosité de Sally la démangeait. Mais à ce train la, elle n'était pas certaine de qui elle devait s'approcher pour avoir sa réponse.
… Allez, soyons folle ! Elle dégaina sa baguette alors que ses deux amis se battaient. C'était fourbe. Mais hé, Alice et Asterion, si fiers de leurs maisons, lui pardonneraient bien cette serpentardise ! Elle murmura un sortilège d'attraction visé au poing du garçon pour en retirer la lettre qui semblait avoir provoqué tout ce trouble. Une fois celle-ci en sa possession, elle s'éloigna en ouvrant la dite lettre les bras en l'air, comme une enfant fière de sa bêtise.
Alors qu'elle lisait n vitesse la lettre, son visage se décomposa d'abord avant qu'un sourire moqueur ne déchire son visage de toutes parts. La rouquine s’esclaffa. Sérieusement ? Alice et Asterion ? Mariés ?



Merci pour la distraction, merci pour ce joyeux moment de tension dans la maison serpentard.
Elle se rapprocha de ses deux camarades, jouant avec le papier plié entre ses mains. Ils allaient la tuer. Ou pire encore. Mais c'est plus fort qu'elle, elle n'arrive pas à ôter ce sourire collé à son visage. C'est trop bon !


Leurs alliance ne lui ferait rien à elle, personnellement, mais ils étaient ses amis. Elle serait un peu triste s'ils venaient à s'entretuer. D'ailleurs, elle ne savait même pas qu'ils se connaissaient en dehors de Poudlard...

Voilà un matin comme les autres. On ce réveille, on ce lève, on suit le mouvement monotone et endormis du reste de l'école, imitant les même gestes, les mêmes habitudes, encore et toujours. Une tasse de thé, ma fois, pas trop mal préparé pour une fois, quelques tranches de pain soigneusement beurrées et voilà.. la journée pouvait poursuivre son cour. Ennuyeuse au possible...
J'étais en train de finir les dernière gouttes de ma boisson quand le brouhaha de battement d'ailes et de piaillement envahis la pièce. De paquets, des lettres et de la paperasse, chaque élève avait plus ou moins levé le nez pour accueillir ce ballet de plumes. Rien d’inhabituel, une fois de plus. Rien jusqu’à ce qu'une voix stridente ne retentisse à travers la pièce.

- ASTERION TYL VESAGO !

Alice. Sans aucune doute. Je n'avais même pas besoin de lever la tête pour reconnaître sa voix. Aussi gracieuse et mélodieuse qu'une oie de basse coure, surtout ce matin. Qu'est ce que ce pauvre Asterion avait fait pour la faire brailler de si bon matin? L'agitation de la préfère en chef n'était pas passé inaperçus, déjà, quelques élèves curieux observaient la scène avec attention. La furie verte et argent s'était rué sur le pauvre garçon qui n'avait, semble t-il, rien demandé, et le traîna sans ménagement hors de la salle, jusqu'au hall d'entré.
Je sais pas ce qui ce passe... mais je veux savoir! C'était trop intriguant et amusant pour faire comme si je n'avais rien vus. Surtout que ça c'était passé sous mon nez! Alors, comme quelques autre petits curieux, je m'étais glissé discrètement vers les deux protagoniste de cette histoire. Planté là au milieux du Hall, ils semblaient ce disputer à propos d'une lettre. Lettre rapidement chapardé par Chapman qui ce régalait d'avance de son contenus. Je sais pas pourquoi mais plus les secondes passaient, plus mon sourire s'élargissait. La vue de celui de la rouquine ne fit que l'étendre un peu plus.
Ça sent le drame à pleine nez! Les ragots, rumeurs et autres bruits de couloirs vont ce répandre à la vitesse de la lumière. C'est une promesse!

- Quoi? Quoi?! Faite en part à tout le monde. Quel interet de faire une scène pareil si ce n'est pas pour avoir un publique. Alors? Qu'est ce que c'est? ça a l'air grave à en juger par vos tête d'enterrement.. ou alors.. c'est tout le contraire justement.....

Je ne pouvais cacher mon sourire mesquin,je n'en avait aucune envie de toute manière. J'étais bien trop impatient et enjoué de pouvoir profité de cette situation. Il n'y avait pas grand chose qui pouvait faire frémir la grande Alice de colère, et encore moins qui pouvait sortir Asterion de sa morosité habituelle..
Cette fois, c'était carrément un éclat de rire. Non pas que je voulais me moquer d'eux. Les pauvres, c'était assez triste dans le fond. Mais l'idée qu'Alice puisse être marié à Asterion était probablement la meilleur blague de l'année! Qui a pus avoir une idée aussi grotesque? La vie à un drôle de sens de l'humour parfois...