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 [Janvier 1943] Raid à la bibliothèque

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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Raid à la bibliothèque   [Janvier 1943] Raid à la bibliothèque - Page 2 Icon_minitimeLun 29 Déc - 15:17

Ramenant tout les livres que je pouvais dans la Réserve, je réussis à tous les ranger correctement excepter quelques un qui continuait de se promener dans la pièce.

-Bon.

Je me tournais vers Angélica et remarquais derrière elle trois silhouettes qui souhaitait s'enfuir. Tiens tiens, si ce n'était pas mes coupables, je voulais bien cesser mon deuil. Cependant, un des livres de la Réserve passa juste sous mon nez et mon attention changea de cap, les oubliant momentanément.
Poursuivant mon bouquin, je courus à travers toute la bibliothèque pour l'attraper dans le rayons de l'histoire de Poudlard.

-Toi tu bouge plus, je te tiens.

Je le ramenais dans la Réserve avant de rejoindre Angélica au moment où elle donnais ses consignes au quatrième année.

-Tu pense que l'on va y arriver ? Cela se calme mais il y a des livres qui volent encore à travers la pièce.
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MessageSujet: Re: [Janvier 1943] Raid à la bibliothèque   [Janvier 1943] Raid à la bibliothèque - Page 2 Icon_minitimeLun 29 Déc - 19:23

Des larmes avaient commencé à apparaître sur le coin des yeux de la pauvre poufsouffe.  Elle était toujours étalée part terre, les mains dans l'encre, ces manches s'imbibant petit à petit, et plusieurs livres lui attaquant les fesses. Dans son malheur, Constance se dit que haut moins sa jupe ne s'était pas relevée. Mais elle était toujours là a appeler au secours désespérément.

Une ombre la surplomba alors et Constance sentit plus qu'elle ne vit les trois livres valdinguer sous les coups de pieds de son sauveur. Relevant les yeux, elle put voir l'infirmière lancer un finite sur les livres qui l'avaient assaillit et fut bientôt prise dans une entreinte à couper le souffle. La petite poufsouffle se sentit tout de suite en sécurité, sentiment qui l'avait déserté depuis que ce chaos avait démarré. Elle tenta instinctivement de ne pas salir les vêtements de l'infirmière avec ces mains pleines d'encre, mais malheureusement se fut peine perdu. Surtout lorsqu'elle fut subitement redressée par la jeune femme.

La petite poufsouffle se laissa papouiller les cheveux et s'essuya le coin des yeux. Quelqu'un était venu l'aider. Elle se sentait déjà beaucoup plus rassurée surtout en écoutant la jeune femme qui tentait de la rassurer.

Me mettre dans un coin ? Constance eu envie de s'accrocher désespérément à la belle infirmière. Elle ne voulait pas la quitter. Elle allait encore se faire attaquer. Elle en était sûr ! Elle se mordit les lèvres tentant de cacher son désarroi et baissa la tête pour cacher ces yeux humides derrière sa frange. Elle se morigéna sur le champs, elle n'était pas la seul à avoir besoin d'aide. Elle n'avait pas le droit de monopoliser les adultes. Elle sera légèrement les points et respira un grand coup.

D'une poussée, elle partit dans la direction indiquée, serrant sa baguette. Elle n'oserait cependant pas s'en servir de peur de provoquer à nouveau une explosion d'étagères. Elle continua d'avancer avec prudence, scrutant dans tous les sens à la recherche de possible livres vengeurs. Elle eu la surprise de se retrouver à son point de départ puisque sa table de travail était juste devant elle. Son devoir était d'ailleurs toujours sagement à la place où elle l'avait laissée avec plumes et parchemins vierges. Son sac était juste au pied de la chaise renversée, comme elle l'avait laissée.

Elle entendit au loin sa sauveuse d'infirmière apostropher un certain Jenkins et demanda même aux années supérieur d'aider les plus jeunes. Constance se sentit rassuré un instant et commença tout de suite à chercher un élève auprès de qui elle pourrait se réfugier.  Mais à part un groupe de serdaigle un peine plus âgé qu'elle, personne en vue. Effectivement la zone était relativement calme. Il semblerait que les livres agressifs c'étaient rassemblés ailleurs.

Constance se détendit quelque peu à cette pensée. L'autre groupe semblait aussi être arrivé à cette constatation puisqu'ils commencèrent à bavarder en chuchotant sur ce qu'il venait de se passer. Accalmie de courte duré puisque bientôt un hoquet de surprise et de désespoir se fit entendre à la vue d'une véritable vague de livres qui arrivaient vers eux, les reliures claquantes.

Constance ne put qu'observer, désespérée, ces livres arriver sur elle. Elle se retrouva bientôt à tenter de repousser plusieurs ouvrages qui l'attaquaient de toute part. Au moins il n'y avait aucun livre de la réserve... Constance se retrouva bientôt à nouveau à cran, les larmes recommençant à apparaître aux coins de ces yeux.

"Hé ! J'ai pas encore dit à L'assaut ! Tu fais une très mauvaise acolyte Penney !"

Une voix retentit plus loin et subitement plusieurs sort volèrent vers elle et envoya valser les quelques livres qui l'attaquaient. Deux filles de Gryffondor semblaient être venu à sa rescousse et elle en fut grandement soulagée. Elle leur adressa un grand sourire malgré les larmes qui manquaient encore de glisser sur ces joues.

"Merci, je n'y arrivait plus. Et puis, ma baguette... j'y arrive pas.. je..."

Soudainement un autre gryffondor – un garçon – roula juste devant elle pour atterrir sur le tas de livres qu'elle avait expulsée des étagères au tout début.

Je vais vous faire prendre l'air moi !  Après ce jeux de mot totalement naze, j'avais brandit ma baguette vers les livres en criant la formule bien fort. Ventus !

Un grosse bourrasque de vent souleva alors livres, devoirs, jupes et capes et se transforma en tornade rempli de projectiles ! Constance totalement effaré de cette brusque apparition, tenta de retenir sa jupe de dévoilé sa culotte. Mais il avait quoi avec ces sous vêtement aujourd'hui !

Le tourbillon s'engouffra alors par la fenêtre ouverte par le gryffondor et Constance resta bouche bée devant tous ces livres, plumes et autres matériels emportés par la tornade, direction la fenêtre, direction dehors, direction le parc... Il faudrait des heures pour rassembler tout les objets éparpillés sur la pelouse !

"Et voila ! Bon vent ! Ahaha.. vous avez compris ? Vent.. tornade... Allez c'était drôle quand même."

Elle regarda le jeune homme prendre une posture héroïque alors qu'elle le regardait toujours autant effarée. Son regard dévia de quelques centimètres et atterri sur sa table, celle qu'elle occupait auparavant, vide. Sa sac n'était plus au pied de la chaise mais avait bien été déplacer de plusieurs mètres. Et lui aussi était à moitié renversé, elle pouvait déjà noté que certains parchemins avaient disparues. Disparues. Envolés. Par la fenêtre. Son devoir qu'elle devait rendre demain et même sans doute les devoirs qu'elle avaient déjà fini et qui étaient dans son sac, disparus ! Dehors. Sur la pelouse. Des heures de recherche !

Les larmes qui avait cessé de s'accumulé avec son sauvetage et sa stupéfaction jaillirent alors de plus belle et un petit gémissement s'échappa de ces lèvres.

"Mes affaires..."

C'était trop. Trop, trop, trop. On lui avait ensorcelé ces sous vêtements, ces cartes de voeux avaient été déchirés, des livres l'avaient attaqués de toutes part et parfois lui avait bavé dessus, ces mains et ces manches étaient tachés d'encre, elle avait encore fait exploser des choses à cause de sa baguette et maintenant elle venait de voir ces devoirs et ces affaires disparaître par une fenêtre. Elle n'aurait jamais le temps de les refaire, elle n'avait pas les moyen de se payer des nouvelles affaires comme ça ! Tout ça c'était...

"de ta faute... C'EST DE TA FAUTE !"

Elle hurla ces derniers mots comme elle ne le faisait jamais, envoya un coup de pieds dans le tibia du stupide gryffondor qui continuait à tenir sa stupide pause et s'effondra par terre en pleurant à chaude larmes, des sanglots parcourant son petit corps. C'était trop.
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