[Janvier 1943] Raid à la bibliothèque

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Alyson tirait littéralement Johan par le bras pour éviter qu'elle ne s'enfuis. Après avoir disparues derrière un groupe d'élève qui passait en sens inverse et avoir prétendu vouloir faire un détour aux toilettes pour rallonger le trajet, plus aucune des excuses ne bernait Alyson. Elle peinait à avancer à vitesse normale avec Johan qui traînait des pieds comme un poids mort tout en râlant sur l'inutilité de s'avancer pour un devoir à rendre dans une semaine et demi.
Après avoir argumenter longuement sur la nécessité des recherches et de la difficultés du sujet en finissant sur le sens de la ponctualité et de l'assiduité douteux de Johan en matière de travail, les deux griffondors arrivèrent enfin à la bibliothèque.
Les complaintes de Johan furent une agréable déclaration de présence indiscutable pour tout les autres occupants qui ne manquèrent pas de manifester la réception du message. En d'autre termes tout le monde les regardaient et déjà des " chut ", " silence " se faisaient entendre alors qu'elles n'étaient même pas encore assise.
Les remarques des autres élèves travaillant (ou faisant semblant) furent accueillis par un très aimable "oh! ça va, on sait!" d'Alyson qui avait eu tout le trajet pour s'énerver contre la mauvaise volonté de sa camarade qui commençait à la contaminer.
Elle soupira et se tourna une nouvelle fois vers Johan.

"Plus tôt se seras fait plus vite on seras tranquille, et on auras du temps pour éviter de faire n'importe quoi en quatrième vitesse"

Sur ces dernier mots le regards d'Alyson ce posa avec insistance sur Johan un sourire taquin et entendu sur les lèvres.

La bibliothécaire qui sortait du rayon devant elles interrompit les gloussement moqueur d'Alyson qui repris plus bas pour proposer à Johan de se mettre à une table libre un peu à l'écart pour pouvoir discuter (travail) tranquillement.

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- to go to school and learn solemn things.

Johan avait tout essayé pour échapper à la terrible poigne d'Alyson mais cette dernière semblait bien décidée à lui forcer la main et l'obliger à travailler un peu. C'était un scandale! Il faisait beau dehors! Ou en tout cas, pas si moche que ça, elle aurait pu aller s'entrainer au quidditch ou jeter des gnomes de jardin dans le lac pour battre le record de distance de l'école mais au lieu de ça, Alyson l'avait honteusement kidnappée pour travailler sur un devoir qui n'était à rendre que pour dans... deux semaines! Deux semaines! Elles avaient tout le weekend pour ça! Et les jours d'après! Et les nuits, s'il fallait! Pourquoi lui imposer pareil traitement alors qu'on avait largement le temps qu'il fallait devant sois?! C'était tout simplement injuste.
Lorsqu'elles passèrent les portes de la bibliothèque, Johan redoubla d'efforts pour échapper à son amie diabolique, s'accrochant aux tables et aux étagères mais sans d'autre succès que d'avoir arraché une écharpe Serpentard du dossier d'une chaise.
Assise de force à une table, l'écharpe vert et argent dans une main et l'autre poing serré, Johan plissait les yeux, dardant son regard sur Alyson. Ses sourcils étaient fortement froncés dans une colère purement bonne-enfant que trahissait son sourire en coin.

« Si tu crois que tu peux m'obliger à remplir soixante centimètres de parchemin sur la révolte gobeline en mille-sept-cent-chose alors qu'il y a un nid à boursoufs, derrière le sycomore, qui ne demandent qu'à être attrapés... »

Le regard pétillant de malice, Johan brandit sous les yeux de son amie l'écharpe Serpentarde avant de l'enrouler autour de son cou et de rabattre la capuche de sa robe de sorcier sur sa tête. Alors, et sans se défaire de son sourire de crocodile, Johan bondit debout sur sa chaise et leva sa baguette en annonçant à voix juste assez haute pour être entendue d'Alyson...

« Indusia Saltator! »

Le sortilège qui avait semé la panique le soir du nouvel-an (juste avant une autre panique bien plus fondée...) se déchaina à nouveau sur l'ensemble des personnes présentes dans la bibliothèque. Simultanément, tous les sous-vêtements portés par les élèves -et éventuels professeurs- présents dans la bibliothèque s'agitèrent sous les robes de sorciers, cherchant à s'enfuir pour danser avec les dessous de tout le monde. Johan pointa alors sa baguette vers Alyson dans un geste victorieux, un pied sur la table.

« Je vais te faire regretter d'avoir voulu me trainer dans cette bibliothèque, Reily! » Clama joyeusement Johan en se délectant du scandale.

Elle agita de nouveau sa baguette et des dizaines d'ouvrages tous plus vieux, fragiles et inestimables les uns que les autres s'envolèrent à leur tour en faisant claquer leurs couvertures comme des mâchoires pour pincer les élèves alentours.
Personne ne travaillerait cet après-midi. Parole de Johan Penney!

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Raid à la bibliothèque

Avec beaucoup de monde

J'avais encore du temps à perdre avant de devoir assister à mon prochain cour. Je sais même pas pourquoi j'y vais d’ailleurs parce que c'était un cours de Métamorphose, il y'a bien longtemps que j'avais renoncé à faire quoi que ce soit dans cette matière.. j'étais nul, mais.. je m'améliorais doucement.. très doucement. Certains diront que c'est bien et que je devais continuer comme ça en révisant encore et encore. Ouais mais la volonté à des limites.. Alors je préférais trainer un peu avant de m'infliger une heure de supplice. Avec un peu de chance trouverais une occupation distrayante!
Étrangement depuis que tout ces Auror patrouillaient un peu partout dans l'école, les bêtises et événement inattendu ce faisaient de plus en plus rare. Surement que l'idée de ce faire botter les fesses par un sorcier diplômé et franchement balèze ça refroidit plus que de ce prendre une ou deux heures de retenus idéal pour faire une petite sieste. Ouais, j'avoue que même moi j'avais pas très envie de me faire réprimander par l'un d'entre eux.. S'il me prennent pour une menace ils seraient capable de bien me pourrir la vie.. Alors je restais discrète.. du moins j'essais. Jusque là je m'étais contenté de me dégourdir les jambes, montant et descendant les étages ce qui faisait également office de rééducation pour ma jambe, mais bon, ça va bien cinq minutes.. Heureusement mes pieds m'avaient conduit instinctivement vers quelque chose de plus amusant..

La bibliothèque? Pourquoi c'était certainement le dernier endroit au monde ou je m'attendais à voir quoi que ce soit d’intéressant ce produire?.. Pourtant l'agitation venait de là, je l'avait entendu de l'autre coté du couloir, et mon flaire d’emmerdeur ne ce trompait jamais! Autant entrer pour voir de quoi il en retourne... même si je risquais de me faire agresser par des livres et d'apprendre quelque chose.. c'était un mal nécessaire..
Mais j'aurais jamais pensé me faire réellement agressé par un livre... Ils volaient tous, enfin.. flottaient.. En clapant dangereusement comme s'ils voulaient mordre tout ce qui ce trouvait sur leurs passage. Finalement c'est cool la bibli! Même si ce petit manège coûterait la vie à son créateur.. Je ne pouvais qu'admirer le geste. Un sourire hilare, je me faufilais à travers les ouvrages carnassier et les élèves qui dansaient étrangement du popotin.. la douce mélodie que chantaient leurs sous vêtement me rappelait étrangement quelque chose.. Il été la, celui du nouvel an! Mes yeux cherchaient curieusement l'auteur de tout ce bordel et finirent par tomber sur cette fille, à moitié debout sur la table et qui brandissait sa baguette vers Alyson. Quoi? Un serpent qui menace un Gryffon? Dans quelle monde cet acte pouvait il rester impunis?! Quoi que ce serpent il avait quelque chose de bizarre, de familier même... et puis au fond de moi ça me faisait trop mal de me dire que ce chef d'oeuvre était le fruit d'un Serpentard. Non ça ne ce pouvait pas.. ça ne devait pas! Alors je m'étais approché de notre trouble fête et n'eu pas grand mal à reconnaître le regard malicieux de Johan qui brillait sous son capuchon.

- L'écharpe de l'ennemis pour les tromper tous... J'admir le culot Penney. Tu viens de déclencher la guerre le plus sanglante que cette école a connue.

Dans une élégante révérence mille fois exagérée, j'avais aussitôt reculé de quelques pas en pointant du doigt la jeune fille sous son déguisement et me mit à crier haut et fort à qui voulait l'entendre.

- C'est pas possible ça! Regardez c'est encore un de ces fichus Serpentard! C'est eux qui ont lancé ce sort au nouvel an pour gacher la fête! et la encore ils recommencent à venir ennuyer le monde! Y'en a marre! Et personne fait jamais rien! C'est normal ça hein?!

Déjà quelques élèves s'étaient mis à chuchoter entre eux, des regards de reproches étaient lancés aux quelques vert venus réviser innocemment. Leurs amis questionnaient "tu savais?" "c'est vrais ce qu'il dit?", peut importe ce qu'ils répliqueraient pour ce défendre, Le doute était maintenant bien installé, il planerait dans les esprits et il suffirait d'une petite étincelle pour tout embraser. Un Poufsouffle qui ce trouvait là désigna Johan et son écharpe avant d'ouvrir de grand yeux pour venir soutenir mon discours, un serpent un peu trop agacé par ces accusation ce permis d'hausser la voix, mais dans son audace, il ne remarqua pas le livre qui le percuta en plein tête. Évidement, celui ci venait tout droit en direction d'un Gryffon qui lui non plus, n'avait rien demandé. L'étincelle venait de naître. Chacun lançait des accusations à tout vas, les voix s'élevèrent parmis les livres et les sous vêtement chantant, le désordre déjà bien installé agaçait les esprit, et les esquisses de disputent n’arrangèrent rien, il ne fallut pas grand chose pour que le combat éclate entre certain. Livres, reproches et insultes s’échangeaient joyeusement à travers la bibliothèque, et au milieux de tout ça, deux Gryffond satisfait et un faux Serpent observaient.

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Isobel vaquait à ses occupations dans la bibliothèque, rangeant des livres par ci par là quand des éclats de voix retentirent.

-Ca va pas commencer

Se dirigeant vers ceux ci, la bibliothécaire tomba sur les deux perturbatrices au coin d'une étagère. Se contentant de les fusiller du regard, elle reprit sa route, espérant qu'elles auraient comprise le message comme quoi une bibliothèque c'est fait pour travailler au calme, pas pour faire la fête. Bon finalement on ne dirait pas car l'une des deux perturbait ses camarades en s’agrippant au chaise.
Isobel éleva légèrement la voix pour énoncer un sermon.

-Une bibliothèque est un lieu de calme et d'étude je vous rappelle.

Eh non, encore un haussait le ton en disant qu'il refuserait de travailler et lança un sort qui fit danser tout les sous-vetements de la pièce. Cherchant le coupable du regard, la Faucheuse, comme les élèves aimait l’appeler, remarqua un élève encapuchonné et dresser sur une chaise.

-Jeune homme descendait de sur cette chaise. Finite Incamtem

A peine cette phrase fut prononcer que tout les livres sortait des rayons et se mettait à voler à travers la pièce.

-MES LIVRES. QUI EST LE FILLIO DE GNOMO QUI LES FAIT VOLER.

Isobel ne remarqua pas le bazar l'environnant, trop occupés à poursuivre ses livres, paniqué à l'idée que ses exemplaires les plus précieux se retrouvent abimés.

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Raid à la Bibliothèque
Constance In The Magic World

Constance avait pris l'habitude de toujours être en avance sur ces devoirs. Elle avait pris cette habitude en travaillant avec Mona, cela lui permettait de prévoir du temps en plus si elle avait des difficultés, voir même de demander de l'aide aux personnes avec qui elle s'entendait bien. Cependant aujourd'hui elle s'était rendu compte qu'elle n'avait pas fait un devoir prévu pour le lendemain... Alors aussitôt ce constat fait, Constance c'était rendu à la bibliothèque espérant ne pas trop avoir de difficultés pour faire ce devoir de DCFM.

En entrant, Constance avait directement chercher une table pour installer ces affaires. Passant aux cotés d'élèves de toutes maisons, elle essaya de se faire le plus discrète possible pour ne pas les déranger. Ce n'était pas des plus difficile puisque de toute façon elle passait souvent inaperçue. Elle faisait des efforts pour marquer un peu plus sa présence auprès des autres... Mais ce n'était pas encore tout à fait ça...

Elle s'installa enfin à une place et sortie parchemins et plumes, calculant la longueur qui lui faudrait. Elle essayait d'économiser le plus possible pour ne pas avoir à demander de l'argent pour en racheter. Même si c'était inéluctable, le plus longtemps sa réserve durerait le mieux c'était. Constance partit ensuite dans les rayons concernant sa matière et farfouilla parmi les différents livres observant titres et sommaires. Il y avait tellement de livres ! Elle se demandait si quelqu'un un jour avait réussi à tous les lire ? Peut-être la bibliothécaire ? Elle semblait en tout cas savoir où était chacun d'eux. C'était impressionnant. Elle se savait grosse lectrice. Mais contrairement au Serdaigle, c'était davantage de la lecture de détente et de rêverie. Cependant en entrant dans le monde sorcier son répertoire c'était quand même agrandie pour accueillir tous les livres qu'elle jugeait important à étudier, notamment ceux traitant du monde magique, les coutumes, les lois et tout ce qui pourrait l'aider à s'intégrer. Elle faisait des efforts, mais elle se trouvai souvent confrontée à un mur dû à son statut de sang de née-moldu. Mais elle persévérerait, elle l'avait promis à sa mère.

Constance retourna à sa table avec deux livres qu'elle avait jugé pertinent. Elle les ouvrit à des pages intéressantes et pour ne pas les perdre, elle les marqua en glissant les cartes de voeux qu'elle avait reçu pour les fêtes, une de sa famille à Londres et l'autre de son père qui n'avait pu avoir sa permission. Une fois sont plan de travail installé comme elle le désirait elle se plongea enfin dans la rédaction de son parchemin.

Le temps passa et Constance travaillait. Parfois sa concentration était gênée par quelques chuchotements plus fort que les autres, mais vite étouffer par les réprimandes de Mme Arrigton. Elle n'y faisait pas plus attention.

« Indusia Saltator! »

A peine le sortilège atteint les oreilles de Constance que celle-ci s'agrippa à sa petite culotte. Qu'est-ce-que...! Ces sous-vêtements avait l'air désespérés de la quitter et se tortillaient pour quitter ces fesses. Mais non! C'est d'un air désespéré que Constance constata qu'elle n'était pas la seul à se trémousser de la sorte. Le sortilège semblait avoir été lancé par un serpentard encapuchonné à quelques tables de là qui clamait son désaccord d'avoir été traîner à la bibliothèque. Au secoure ! Son esprit ne pouvait répéter que ça. Elle ne pouvait rien faire d'autre. Serrant cuisses et genoux, Constance avait une peur bleu de lâcher le peu d'emprise qu'elle avait sur son vêtement. Il ne devait surtout pas passer la barrière de sa jupe en laine !

"Jeune homme descendait de sur cette chaise. Finite Incamtem"

Constance soupira, enfin son vêtement cessa de se tortiller. Merci à la bibliothécaire ! Mais ce répit fut de court instant lorsque ses livres s'envolèrent soudainement et claquèrent sous son nez tel une mâchoire. Constance fit un bon en arrière.

Alors que la Bibliothécaire s'égosillait à n'en plus pouvoir en cherchant à rattraper ces livres, Constance elle ne s'avait plus quoi faire à part faire comme elle. Il y avait ces carte de voeux dans ces livres et puis elle ne pouvait pas travailler sans ! Zigzaguant entre les tables, Constance courrait après un des livre, essayant de ne pas perdre le deuxième de vue. Heureusement qu'elle avait retenu le titre. Mais quand on pensait que cela ne pouvait être pire, un Gryffondor ne trouva pas mieux que de semé davantage la discorde.

"C'est pas possible ça! Regardez c'est encore un de ces fichus Serpentard! C'est eux qui ont lancé ce sort au nouvel an pour gacher la fête! et la encore ils recommencent à venir ennuyer le monde! Y'en a marre! Et personne fait jamais rien! C'est normal ça hein?!"

Mais est ce que c'était le moment de penser à ça ? Des chuchotements commencèrent à se faire entendre et des bagarres commençèrent à éclater entre les Serpentards... et les autres. Les livres, parchemins et encriers volèrent au travers de la pièce, sans oublier les sortilèges...

En vérité Constance n'avait pas vraiment prit consciences de tout se raffut et continuait à courir après ses livres. Oui, elle s'en rendait compte, c'était stupide, elle pourrait les retrouver après que tout ce soit arrêter. Mais elle ne pensait qu'à ces précieuses cartes et au travail qu'elle ne pouvait pas finir sans ces livres. Alors elle tentait tend bien que mal d'éviter les objets volant non identifier.

Elle réussi enfin à attraper un des livres qu'elle traquait alors qu'il attaquait un troisième année de Sepentard et s'en vraiment réfléchir plongea sa mains entre ces pages pour en sortie sa première carte. Mais q'est ce que ça pinçait ce livre ! Comment de simple bout de papier pouvait faire aussi mal. Enfin c'était la carte de son père. C'était déjà ça.

Constance posa d'office le livre sur une chaise et s'assit dessus pour tenter de le maintenir en place. Levant enfin la tête, elle pu voir le carnage autour. C'était comme si soudainement une bulle qui l'entourait venait éclater et tout le vacarme ambiant l'atteint de plein fouet. Tout ça c'était passé en à peine une minute. Mais ça avait vraiment empirer. Entre la bibliothécaire qui vociférait et les élèves qui n'écoutait rien...

S'aggripant à sa chaise et tournant la tête, Constance aperçu son deuxième ouvrage, et sans trop réfléchir, elle voulu lancer un "finite" pour qu'il arrête de bouger dans tous les sens. Sauf que ce que Constance avait oublier, c'est que même si elle c'était grandement amélioré en magie... Si elle lançait un sort sans une bonne concentration et une grande volonté...

"KABOOM"

L'étagère à deux mètres d'elle explosa et fit valser encore plus de livre au travers de la pièce et sur les individus présent au alentour.

Et constance tomba de sa chaise libérant le livre carnivore...

With.
Constance Matthews & plein de monde
Our Story.
...

And...
Vous inquiétez pas, les prochains post seront moins long, c'est juste pour que je pose les bases x)

© Narja - Never-Utopia

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Infirmière Angel ♥

"J'ai toujours su que je soignerai des gens. C'est ma passion, je dois le faire. Aider les autres les autres est plus qu'une vocation, c'est mon destin. Mais une chose est sûre, la vengeance est un sacré poison, mais je ne pardonnerai jamais ce que vous avez fait à ma famille."

Angélica, depuis le nouvel an, cherchait la paix par tous les moyens, cependant, c'était très compliqué quand on travaillait dans l'une des plus grandes écoles de magie jamais connues. Et composées d'élèves tous aussi doués les uns que les autres qui ne désiraient qu'une chose : exprimer leur talent.
Alors, souvent, l'infirmière allait se réfugier dans sa chambre pour méditer quelques minutes. C'est à ce moment là qu'elle entendit un bruit sourd aux étages supérieurs. Inquiète et sur le qui-vive depuis quelques jours, elle sortit en courant de sa chambre, sans même prendre le temps de remettre ses chaussures - elle était dans une robe droite en coton, très sobre, avec de simples coulants pour cacher ses pieds et une longue veste en laine - mais pensant tout de même à sa baguette, et se dirigea vers le lieu d'où venait ce bruit. S'en suivit les cris d'Isobel, la bibliothécaire puis ceux des élèves. De plus en plus inquiète, Angélica se mit à courir. Elle grimpa rapidement jusqu'au quatrième étage, ses pieds toujours nus, ses cheveux lâchés et totalement en désordre. Elle arriva enfin dans la grande salle. Un spectacle ahurissant se jouait devant elle. Des dizaines de livres volaient dans tous les sens, pourchassaient les élèves. Et encore, elle n'avait pas eu le temps de voir voleter et chanter les sous-vêtements des élèves. Elle resta bouche bée devant ce spectacle. Dans l'entrée, elle ne faisait aucun geste. Elle était figée. Son esprit retenait un éclat de rire : Jamais, à son époque, un coup comme celui-ci avait été fait. Son visage resta cependant totalement hermétique au sourire et elle prit son courage à deux mains pour s'avancer. Elle n'interrompit pas le sort - il fallait dire qu'elle perdait trop de temps à éloigner les bouquins qui lui fonçaient dedans - et finit même pas abandonner son ascension jusqu'à sa collègue. Elle décida donc de se mettre à crier dans sa direction pour qu'elle l'entende :

« Bon sang, Isobel, que se passe-t-il ici ?! »

A l'affut du moins livre qui pourrait lui foncer dessus, Angélica attendit la réponse de la jeune femme aux longs cheveux noirs et au visage si dur.

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La pagaille absolue... Voila ce qui se déroulait sous les yeux d'Alyson.
Un spectacle quasi apocalyptique avec la bibliothécaire qui courait après des livres volant tout en criants, dieu sait quoi, couvert par le boucant des élèves qui se montaient les uns contres les autres grâce à la magnifique intervention de Lian. Bouche bée, Alyson regardait Johan en position de grande vainqueur sur sa chaise qui riait à gorge déployée. Cette vision ne pue rester impuni aux yeux de la jeunes griffondor

" Ne soit pas si sure de toi! Tu n'en sortira pas indemne ! "

Le regard pétillant d'un faux air de défie et un sourire mal réprimé Alyson sortie à son tour sa baguette.
Puis repérant le plus gros livre qui passait par là en claquant furieusement de la couverture, elle le défia vers Johan et fut ravie de constater qu'il semblait vouloir à tout pris lui mordre le postérieure.

Au moment où elle allait éviter un livre d'herbologie en lui lançant un finite , une étagère explosa derrière elle et l'a fit sursauter. Le sort toucha un autre livre plus loin, par pure coïncidence, qui malheureusement dans sa chute tomba sur le crane d'un élève. Elle ne vit pas qui car "la flore magique de grande Bretagne" s'en prenait à ses cheveux lorsque qu'elle attendit le cris caractéristique que l'on doit pousser quand on se prend un gros livre bleu sur la tête.
Après avoir triomphé du livre mangeur de cheveux elle s'aperçue qu'il fallait mieux filer si elles ne voulaient pas avoir de problème. Elle essaya de capter l'attention de Johan pour lui faire signe dans la pagaille de sortir tout en prenant soin de ne pas prononcer son nom ni s’approcher trop d'elle pour ne pas trahir sa couverture. Mais avant que la jeune griffondor ne puisse se faire comprendre de sa camarade en plein dans l'action, la voix de l'infirmière qui venait d'arrivée retentit, c'était le début du retour de bâton, il fallait qu'elle partent sans se faire attraper.
Voyant passer du coin de l’œil Lian elle tenta de le rattraper, il fallait qu'il les aide à sortir et que lui aussi sorte, sinon il leur ferais perdre des points. Moins il y aura de griffondors sur place mieux se sera, se disait-elle alors qu'un livre avec des bout de carte colorée qui dépassait sur le coté des pages lui passa sous le nez, puis une seconde plus tard une jeune élève de Poufsouffle qui courait après vient la heurter. Alors qu'elle l'aida à se relever Alyson vit son regard fixé sur le livre qui s'éloignait, il fallait qu'elle passe et la jeune fille gênait le passage étroit entre deux table. La griffondor pointa sa baguette sur le livre
"finite !"
Cette fois elle toucha sa cible de justesse, frôlant les cheveux d'une serpentard et avant que le livre ne touche le sol fit un second mouvement rapide.
"accio"
Le livre passa sous la jupe de la serpentard, la soulevant sans aucune considération et atterris dans les mains d'Alyson qui remis le livre à la petite Poufsouffle avant de la prendre par les épaules, de permuter sa place avec la sienne et repartir à la poursuite de Lian.

"Lian! LIAN !" elle le rattrapa enfin après avoir jouer des coudes et posa sans trop réfléchir sa main sur son épaule pour attirer son attention.

"Il faut sortir avant que les professeurs n'arrive! Aide moi a faire sortir Johan sans qu'on la reconnaisse, ça sera déjà ça de gagner. Si tu croise d'autre Griffons dit leur d'essayer de pas se faire prendre"

Un livre vint s'en prendre au bas de sa robe de sorcier avant qu'elle eu le temps de rajouter quoi que se soit... c'était la pagaille absolue... comment il allait faire pour ne pas écoper d'une retenue à vie avec ça ?

Date d'inscription : 11/02/2014 Messages : 538

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Le chaos s'était répandu comme une traînée de poudre dans la vaste bibliothèque sous le regard triomphant de Johan qui n'en oubliait pas pour autant sa position précaire. Toujours debout sur sa table, tournant sur elle-même, la petite Gryffondor observait le joyeux désastre en essayant d'imaginer une punition à la hauteur de son exploit. Un instant elle songea à jeter l'éponge, fuir la scène de crime, prendre ses jambes à son cou et sauver sa peau avant que la bibliothécaire ne reçoive de l'aide mais un frisson extatique lui traversait la nuque et la révérence théâtrale de Jenkins acheva d'étouffer toute trace de prudence.
C'était une frasque du même genre que celle du nouvel an; ce genre d'aventures n'allaient pas sans risques. Et ça en valait le coup!

Un sourire fendant son visage d'une oreille à l'autre sous l'écharpe vert-et-argent, Johan bondit sur la table d'à côté, le livre envoyé par Alyson lui pinçant violemment les fesses en plein vol, manquant de peu de lui faire rater son atterrissage. Rien n'aurait pu autant convaincre Johan de poursuivre sa mascarade que l'entrée en scène d'Alyson dans le rôle du challenger. Chassant le livre affamé d'un coup de pied, Johan s'apprêtait à poursuivre le duel mis en scène lorsque deux éléments la coupèrent dans sa représentation; tout d'abord, une minuscule Poufsouffle (qui n'avait visiblement pas la moindre idée de ce qu'elle faisait avec sa baguette...) fit littéralement exploser une étagère de laquelle s'enfuirent une vingtaine d'ouvrages furieux qui se mirent à attaquer tout ce qui leur passait à portée de reliure. Dans la surenchère de chaos, Johan perdit momentanément Alyson de vue et son regard s'arrêta alors sur un deuxième élément: Angélica Lecter, l'infirmière de l'école, se tenait dans l'ouverture de la porte et contemplait le désastre.
Sentant ici une menace plus pressante que celle de son adversaire de duel imaginaire, Johan -bondissant de table en table- s'empressa de disparaitre dans un autre rayonnage chaotique pour se soustraire à la vue de Mesdemoiselles Lecter et Arrington avant que l'une ou l'autre n'ait l'idée de l'attraper par le col et de lui arracher son écharpe...

Quittant son perchoir, Johan s'était mise à courir à vive allure entre les élèves lorqu'un nouvel élément lui fit brusquement interrompre sa course dans un dérapage désastreux qui lui fit bousculer cinq ou six élèves au passage. Immobile, la fauteuse-de-trouble dévorait du regard son prochain objectif.
... Oserait-elle...?
Vraiment...?
...
...
Par l'illustre caleçon de Merlin, bien sûr qu'elle osait!

« Alohomora! »

Un sourire jubilatoire lui fendait le visage lorsque le cadenas tomba sur le sol et que s'ouvrit devant elle la porte de la réserve.

« Pas de jaloux; tout le monde participe! »

Et sans la moindre considération pour le caractère dangereux de certains des ouvrages, Johan les envoya d'un coup de baguette rejoindre le chaos de la bibliothèque. Dans la fière procession elle nota la présence de plusieurs livres hurleurs, d'au moins un ouvrage toussant des jets de vapeur et d'une encyclopédie baveuse qui rependait derrière elle une trainée de mucus vert particulièrement malodorant.
Devant ce glorieux spectacle la petite Gryffondor se sentit gorgée d'orgueil au point d'en oublier momentanément les trois bouquins qui lui mordaient avidement les tibias.

Date d'inscription : 18/12/2013 Messages : 1163

Je dois dire que c'était encore mieux que ce que j'avais imaginé.. je sais aps trop quelle anarchie avait subitement envahis les gens mais ça ce soldait par une magnifique bataille à coup de baguette des livres et de tout ce qui est plus ou moins susceptible d'être balancé. Fière d'avoir attisé le brasier qui enflammait la bibliothèque, je ricanais dans mon coin, essayant d'éviter les livres farceurs qui voulaient s'en prendre à moi. J'ai jamais pus aimer les livres.. Alors quand je peux les faire exploser sous prétexte de me défendre... je vais pas me gêner!

J'avais perdu Johan de vus avec tout ce remue ménage, je crois qu'Alyson essaya de la "punir" en lui envoyant un livre au derrière, mais après ça, elle disparus dans un nuage de papier froissés et déchirés. Je lançais quelques sort par ci par la, sur les livres, ou carrément sur les autres élèves... c'est pas ma faute si les serpentard ce jettent sous mes sort après tout... puis ça glisse un peu par terre alors.. aps évident de viser.. de toute manière avec le bordel que c'était, on avait dus mal à distingué d'ou venait les agressions... D'ailleurs.. je n'étais pas le seul à faire un peu trop de zèle.. car une étagère vola littéralement en éclat. Impressionné par l'audace, je cherchais rapidement du regard le culotté qui avait fait ça.. et fus surpris de croisé les yeux terrifié et désolé d'une toute petite poufsouffle. Visiblement elle ne l'avais vraiment pas fait exprès.. mais ça ne gâchait rien à la beauté du geste, bien au contraire.

Ça n'avait fait qu'empirer les choses. Les livres volaient dans tout les coins, je les esquivaient agilement, avec souplesse et précision. Finalement je remercie notre vieux fou de voisin qui nous canardait de gros sel avec son vieux fusil de chasse quand on venait lui tirer des trucs dans sa grange.. Jamais je n'aurais pensé que ça me servirait d'entrainement pour une situation comme celle ci. Une main sur mon épaule, je m’apprêtais à bondir sur l'éventuel agresseur mais freina mon geste en voyant la petite tête rousse d'Alyson. Elle s'était frayé un chemin vers moi pour qu'on puisse sortir d'ici avant que ça chauffe trop. C'est vrais que t'avais déjà l’infirmière et la bibliothécaire qui commençaient à gueuler et a montrer les crocs.. Autant pas trainer là.

- T'as raison.. avec de la chance ça retombera sur les Serpentards.

Un sourire mesquin s'étala sur mes lèvres, je crois que rien ne m’aurait fais plus plaisir que cette situation.. mais vus le carnage.. c'est un miracle si on s'en sort sans retenus ou sanctions.. Mais on peu toujours rêver! Nous allions nous mettre en route pour trouver Johan la trouble fête et ses plans foireux quand un livre attaqua sournoisement Alyson. Sans l'ombre d'une hésitation, je brandis ma baguette en direction du livre avant de nous débarrasser de cette gêne.

- Confringo!

Le livre explosa littéralement, laissant une multitude de pages déchiqueté ce répandre en l'air et au sol. Ce n'était qu'un détails parmis le chaos déjà régnant, je ne m'inquiétais pas vraiment d'avoir été vus ou non... Direction.. le faux serpent.

Johan était là, non loin.. ça ce sentais.. je crois que c'était pas difficile de deviner qu'elle devait ce terrer quelque part.. et quoi de mieux que la resserve pour ça.. Une ombre remuait dans ce coin la, une ombre coiffé d'une écharpe vert et argent.. ça ne pouvait être personne d'autre.. Ouais.. qui d'autre que Miss Penney pouvait ouvrire la cage au monstres... j'aurais préféré n'importe quoi d'autre que ce genre de bouquin volant... Quoi que ça me donnait encore une fois une bonne raison de me venger de ces maudits ouvrages de malheur...
Elle est définitivement timbré cette fille... Mais je dois avouer qu'au moins.. elle met une sacré ambiance.. quitte à ce faire dévorer tout crue! ce qui n'allait pas tarder à arriver si elle ce bougeait pas les fesses de la. D'un coup de botte, je repoussais les livres carnivore comme si je piétinais une bestiole un peu trop vorace qui voulait faire de la gryffon son dessert. d'une main, j'avais saisie ma camarade par la robe, la soulevant presque comme un sac de vieux linge sale avant de longer les murs le plus discrètement possible tout en évitant de me faire attaqué par les livres fous qu'elle venait de libéré.

- Je crois que t'en a assez fait là.. même qu'ils en auront jusqu’à noël à ranger ton merdier. Alyson surveille nos arrières.. et si tu vois un truc.. tu le fais exploser..

Méthode radicale.. on ce serait presque crus sur le champs de bataille à l'heure actuel.. a ramper derrière les étagères comme si c'était des tranché, guettant l'ennemis d'un regard furtif tout en progressant vers un endroit plus sûr. On allait s'en sortir finalement.. peut être.. même si une volée de livre furieux nous barrait la route.. il faut sauver le soldat Penney.

Invité

Isobel continuais de poursuivre ses livres quand une voix qui lui était connus lui demanda ce qu'il se passait. Se retournant violemment vers son propriétaire, elle se détendis légèrement en voyant que c'était Angélica, l'une de ses collègues. Alors qu'elle allait s’apprêter à la rejoindre pour lui expliquer, l'une des étagères explosa, ce qui fut la goutte d'eau qui fis déborder le vase.

-MES LIVRES!!!!!!

Une bordée de juron suivit ce hurlement. A la place de l'habituelle bibliothécaire, se tenait un monstre de colère de voir ses bébés martyriser. Le visage de la jeune femme était défiguré par de la haine pure envers les élèves perturbateurs dont elle ne connaissait pas l'identité. Quand elle tiendrais les coupables, elle leur ferais payer très chers. Au bords de la crise de nerfs, la jeune femme se tourna vers sa collègue et se calma instantanément. Le visage d'Angélica était doux, pas en colère, juste étonné. Soupirant, Isobel alla la rejoindre et enfouit sa tête dans son cou pour retrouver complétement son calme. Elle se blottit contre sa collègue comme une enfant le ferait et lui expliqua tout ce qui s'était passer avant de lui demander d'y remédier au plus vite. Elle avait vraiment besoin de son aide, que ce soit pour le moment présent ou pour l'après coup qui allait arriver.

-Je suis épuisée, j'en ai marre de tout ce ramdam, aide moi s'il te plait. Il faut ranger les livres au plus vite, certains sont très précieux, il ne faut pas qu'ils soient abimés. Aucun.

Un Cofringo retentit derrière elle, ce qui lui arracha des larmes. L'un des livres ne pourrait pas se retrouver sa place, l'un de ses bébés venait à mourir. Quand elle se retourna, elle frôla l'infractus en voyant un certain type de livre.

-LA RESERVE ! MAIS ILS SONT MALADES CES ENFANTS !

Elle se mit à courir dans la direction de la réserve, arretant tout les livres qu'elle croisait venant du sanctuaire interdit et les ramena comme elle pus là bas.

-Ils vont m'achever

Invité

Désolée pour l'attente >___< j'ai cru que Angélica devait répondre avant moi... Du coup j'ai mis du temps à me rendre compte que c'était mon tour... <.<

Constance regardait effarée l'étagère qu'elle venait de faire exploser. Oh mon Dieu ! Qu'avait-elle fait ! Ça n'avait qu'engendré encore plus de chaos autour d'elle. Encore plus de livres volaient dans tous les sens et semblaient avoir pour mission de s'attaquer à tout ce qui n'était pas fait de papier et d'encre. Les hurlements de la bibliothécaire lui firent se dresser les poiles de la nuque, d'autant plus lorqu'elle l'aperçu avec une expression haineuse sur le visage. Elle ne pu que couiner un petit "pardon" désespéré et craintif qui n'avait même pas dû être entendu dans se vacarme. Il ne semblait pas que Mme Arrigton l'avait repérée. Elle s'en sentait soulagé et fautive à la fois. Par contre, elle croisa le regard impressionné d'un griffondor qui lui l'avait vu et ne pu s’empêcher de rougir en détournant les yeux. Elle n'avait pas fait exprès !

La pauvre Constance ne savait plus trop quoi faire. Elle observait autour d'elle l'état déplorable de cette espace où le silence était "normalement" Roi. Et bien, on était bien loin de cette règle... Se redressant, elle glissa délicatement la première carte de vœux dans sa poche de gilet. Bien à l'abris. Elle soupira en se mordant la lèvre. Avec tout ça, elle avait laissé filer l'autre livre... Observant de tout coté à la recherche du fameux livre, la petite poufsouffle se demanda si elle ne devrait pas mieux attendre la fin de cette apocalypse. Elle pourrait toujours récupérer sa carte après coup.

Ces fesses furent alors gnaquées par un gros bouquin d'astronomie et elle bondit en avant de douleur et de surprise. Comme elle l'avait déjà souligner : Aïe ! Mais, c'est que ça faisait vraiment pas du bien ces bestioles ! Constance se retourna et tenta de repousser le livre de ces deux mains avant de voir passer sous son nez le livre qui, ô ironie du sort : possédait 4 coins de carte postale dépassant de sa reliure... quatre !? MAIS ! Non ! Impossible que les quatre coins ressortent ! La petite Poufsouffle retrouva alors son envie désespéré de récupérer son bien. Sa carte était déchirée ! La carte écrite par sa mère !

Repoussant avec une nouvelle énergie son premier agresseur, elle l'envoya voler plus loin. Ce dernier sembla jeter son dévolu sur une autre victime, une serdaigle. Constance se lança alors dans une course effrénée à la poursuite du livre mâchouilleur de carte. Une pensée lui traversa l'esprit : il n'y avait bien que dans le monde magique que tout ce ramdam était une normalité. Surtout à Poudlard.

Courant toujours après son livre, Constance zigzaguait, se baissait et... non ne sautait pas... elle était bien trop petite pour passer au dessus de quoi que ce soit. En tout cas, elle était sur d'avoir été heurté au moins par un sort mais elle ne savait pas encore quel avait été son effet...

Elle percuta alors de plein fouet ce qui sembla être un être humain et au vu des cheveux long et roux lui chatouillant le visage alors qu'elle tombait, ce devait être une fille. Elle atterrie durement sur ces fesses et soupira. Encore un bleu... Et son livre allait encore lui filer des mains. Constance sourit timidement à la griffondor tout en acceptant son aide pour se relever. Oui, des bleus partout.

Avec un air dépiter sur le visage, la jeune fille observa son livre continuer à voler loin d'elle. C'est alors que le livre s'arrêta subitement grâce au même sortilège qu'elle avait tenté d'utiliser (tenter était bien le mot) et fit demi-tour pour atterrir dans les mains de la griffondor qu'elle avait percutée. Elle commença alors à lui faire un sourire reconnaissant, étonnée que son aine est prit le temps de l'aider dans cette cohue générale où tout le monde semblait avoir perdu la tête.

Le livre lui fut alors mit brusquement dans les mains avant que la petite poufsouffle soit agrippée par les épaules et permutée de place avec sa rouquine. Constance se retrouva stupéfaite par ce brusque changement de position, un "merci" encore à moitié suspendu aux lèvres et observa la jeune griffondor partir à la poursuite de Dieu sait quoi tout en jouant des coudes.

Et bien... au moins, elle avait le livre et donc sa carte, peu importe son état. D'ailleurs... Constance s'accroupit sous une table, à l'abris des sorts et autres objets non identifiés et ouvrit le livre. Soupirant en découvrant sa carte postale déchirée – mâchouillée – entre ses pages, elle prit délicatement les 3 morceaux aux bords irréguliers et les glissa dans sa poche avec son autre carte. Elle verrait plus tard pour demander à Scarlett si elle pouvait la réparer.

Constance sortit précautionneusement la tête de dessous la table. C'était la pagaille... Totalement ! Une bataille générale, des livres mangeur et une bibliothécaire qui hurlait tout en essayant de rattraper des livres à l'aspect dangereux. Mais ! Celui-ci bavait ! Et l'autre avait de la vapeur sortant de ces pages ! C'était quoi ces livres ! Au vue du désordre, Constance se dit qu'il valait mieux se faire petite et se mettre à l'abris... resserrant son gilet contre elle, elle tourna la tête vers ces affaires. Elle s'en était beaucoup éloignée à courir partout... Le chemin pour récupérer ces affaires semblait être un véritable parcours du combattant. Elle se mordit la lèvre... Et si elle restait sous cette table ? Bien à l'abris ? Non ?

C'est ce que Constance se disait lorsque deux livres – Les Guerres Gobeline Tome 7 et Tome 15 – vinrent la dénicher sous sa table. Table qui n'avait plus rien d'un abris... La pauvre Constance sortit comme un boulet de sous la table, espérant s'en débarrasser et trébucha sur un sac. Oh non !

Étaler de tout son long parterre, les mains dans une flaque d'encre, des livres s'attaquant à elle, Constance se demanda si elle allait réussir à retenir ces larmes.

"Au secours..."

Cette un bien piètre appel à l'aide alors qu'un autre livre vint lui attaquer le mollet droit. Oui, parce que son bras gauche et sa fesse droite semblait déjà en grande discussion avec Les Guerres Gobeline.

Invité

Infirmière Angel ♥

"J'ai toujours su que je soignerai des gens. C'est ma passion, je dois le faire. Aider les autres les autres est plus qu'une vocation, c'est mon destin. Mais une chose est sûre, la vengeance est un sacré poison, mais je ne pardonnerai jamais ce que vous avez fait à ma famille."

Le Chaos, voilà ce qu'était cette si belle bibliothèque dans laquelle elle avait passé de longues heures pendant sa scolarité accompagnée de Salem ou encore de Pearl. Plus rien ne ressemblait à ce qu'elle avait connu. D'ailleurs, ce carnage semblait changer les gens.
Les élèves couraient dans tous les sens, hurler, seuls quelques téméraires se battaient encore contre la menace, d'autres se cachaient et encore quelques uns ... allaient savoir ce qu'ils faisaient !
Angélica contemplait ce manège catastrophique alors qu'elle sentait une masse s'agripait à son cou. Il s'agissait de Isobel. Toutes deux n'avaient pas plus de lien que cela, et jamais l'infirmière n'aurait imaginé sa collègue ainsi. Mais son caractère maternel prit le dessus sur son étonnement, aussi, la serra-t-elle délicatement contre elle tout en faisant attention aux élèves.
Accrochée à elle, la bibliothécaire la supplia de l'aider, avant de se remettre à vociférer .. non, hurler, contre les élèves. Angélica se réveilla enfin à la troisième syllabe prononcée par la brunette, encore plus aigüe que le reste de sa phrase ! Son premier réflexe fut de fermer les lourdes portes de la bibliothèque d'un coup de baguette magique et cela pour deux raisons : La première était d'éviter que les livres se fassent la malle et aillent attaquer d'autres élèves, la seconde tait d'empêcher les fautifs de fuir. Aussi, elle renforça le sort afin de bloquer un quelconque Alohomora, empêchant son action. Elle redirigea ensuite son regard et alla au plus urgent. Elle se mit à courir -Angélica courrait, oui, c'était pas tellement son genre, mais l'urgence, toussah, vous savez- en direction de la section interdite de la bibliothèque. Cependant, une autre urgence l'appela.
Isobel avait beau aimer les livres comme ses enfants, les priorités d'Angélica et ses enfants à elle passaient bien avant cela. Les cris d'au secours d'une élève la happèrent. Elle s'arrêta immédiatement et chercha l'enfant des yeux jusqu'à tombée sur une petite Poufsouffle étalée sous une table, attaquée par trois livres. Sans attendre, elle se précipita sur elle, dégagea les bouquins d'un coup de pied -pas le temps de lancer les sorts, et trop dangereux avec cette gamine si prêt- attrapa la petite contre elle, et calme les deux livres d'un Finite radical.
L'infirmière se redressa rapidement, accompagnant la petite dans son mouvement. Elle la regarda un instant, soulevant ses cheveux châtains en pagaille de sur son joli visage

« Tu vas bien ma grande ? Tu n'as rien ? Vas te mettre dans un coin et fais très attention, tente d'utiliser le sort que je viens de faire quand un livre vient vers toi, c'est moins risquer que de le faire exploser, sinon, appelle au secours, je viendrais, ne t'en fais pas. »

Dans l'affolement général, Angélica garda son calme et envoya la petite en direction d'un coin qui semblait plus calme. Espérant qu'Isobel soit partie vers la section interdite, elle chercha les élèves qui semblaient en difficulté. Elle se jeta sur deux Serdaigles qui semblaient en difficulté face à une douzaine de livres bien épais, stoppant les livres pour les aider, puis remarqua des élèves d'années supérieures qui semblaient s'enfuir, ou bien courraient-ils autre part ? Allez savoir, cependant, Angélica n'entendait pas les choses comme cela ! Surtout qu'elle en avait reconnu un des deux. La belle jeune femme prit une voix imposante qui ne lui ressemblait pas mais qui était essentielle pour pouvoir transpercer la cohue générale.

« Monsieur Jenkins, et tous les élèves de quatrième année ou plus, veuillez bien aider vos camarades plus jeunes à arrêter ces satanés livres ! Nous parviendrons plus facilement à les arrêter tous ensemble. »

Angélica ne pensait pas à une sanction au fauteur de trouble, bien loin de là, elle avait ses élèves à protéger en priorité. Et de toute façon, ce ne serait pas elle qui mettrait les sanctions et désignerait les coupables, ce n'était pas son lieu de travail, premièrement, et surtout, elle n'avait pas été là lorsque tout ce bazar avait commencé !
Après son intervention elle était alors retournée aidé un groupe de seconde année, toutes maisons confondues, en train de se battre à grand coup de chaussures contre les livres qui s'accrochaient à eux ou leur fonçaient dessus !

Invité

Ils avaient enfin rattraper Johan et formant un petit bataillon rangé, les trois gryffondor, dont un sous couverture, se dirigeait vers la sortie, lentement mais surement, à travers les livres volants. Alyson surveillait qu'aucun d'entre eux ne se fasse prendre à revers pendant que les deux autres ouvrait la voie.

Bien évidement, Johan avait trouvé judicieux de faire sortir les livres de la réserve, et bien évidement, l'un d'eux, venait vers eux leur prouver sa reconnaissance. Ainsi donc une grosse encyclopédie baveuse zigzaguait dans leur direction, éclaboussant avec amour tout ce qui se trouvait en dessous de son mucus vert et mal odorant, pour le plus grand plaisir des élèves. Un groupe de serdaigles fut d’ailleurs doublement servit lorsque l'expulso d'Alyson toucha l'encyclopédie et que cette dernière de mit a virevolter, tournant sur elle même comme une toupie jusqu’à l'opposé de la rangée. Rangée qui fut repeinte par la même occasion que les serdaigles prirent une douchent de morve de livres.

"Beurk ..."
Alyson ne pues s’empêcher de grimacer à la vue des élèves tout gluants, par sa faute qui plus est...

Les portes étaient en vues, grandes ouverte et ... Blam! Elles venaient de se refermer... Elles venaient de se refermer ?! Ce n'était pas bon du tout pour eux...

" Mince... Liam, essaye un Alohomora."

Un gros bouquin crachant de la fumé déboucha du tournant ,faisant sursauter Alyson, qui se plaqua contre le mur pour l’évite et l’accueilli au demi tour :
" reducto! "
Lian faisait exploser les livres mais elle elle avait encore des remords à en arriver là... Et de ce fait, ce n'est pas une explosion de feuille et de fumé qu'il y eu dans leur rangé mais un petit livre, de quelques centimètres qui leur tournait au tour tel un moustique, en toussotant des petits nuages noires. Il en était presque mignon... Mais Alyson avait plus urgent et c'est avec une pichenette qu'elle envoya le livre asthmatique pimé voler vers d'autre élèves.

" Alors ? La porte s'ouvre ? "

Coincés! Ils étaient coincés, fait comme des rats. Vite Alyson regarda autour d'elle et s'aperçue soudainement que Johan avait toujours l'écharpe de serpentard autour du coup et sa capuche rabaisser sur la tête.

" Vite enlève l'écharpe, si on peut pas sortir ils vont finir par voir la supercherie et là on pourra même pas argumenter. Là, vas-y il n'y a personne ! Donne la moi j'ai une idée. "

Hâtivement Alyson pris l'écharpe et la lança sur un livre qui les dépassaient et l'emporta au loin juste au moment où la voix de l'infirmière se fit entendre

" Monsieur Jenkins, et tous les élèves de quatrième année ou plus, veuillez bien aider vos camarades plus jeunes à arrêter ces satanés livres ! Nous parviendrons plus facilement à les arrêter tous ensemble. "

Alyson se raidit et se redressa, échangeant un regard avec ses camarades et leur chuchota :
" Plan B, on fait comme si de rien n'était ? "

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[Janvier 1943] Raid à la bibliothèque 612653raidlabibliothquePART2

❝ I don't want - ❞

- to go to school and learn solemn things.

Johan achevait tout juste son opération de libération des livres de la réserve lorsque Lian et Alyson débarquèrent pour la tirer à l'écart de la scène. Elle leur emboita le pas sans opposer de résistance, observant entre les étagères à moitié vides le chaos qu'elle avait provoqué. Elle ressentait un curieux mélange de fierté et d'inquiétude tandis qu'elle constatait l'étendue des dégâts et s'interrogeait sur la punition qu'on jugerait appropriée. Aeris serait furieuse.
Mlle Lecter les appela, tendant le cou au dessus d'une volée de livres, mais ils poursuivirent leur course jusqu'à la porte de la bibliothèque. Johan avait le souffle court sous son écharpe, elle lançait autour d'elle des immobilus! et autre reducto! mais avait un champ de vision assez réduit pour que certaines encyclopédies particulièrement revêches se soient fait un chemin jusqu'à sa robe, qu'elles mordillaient consciencieusement depuis.
Devant eux, la porte de la bibliothèque restait impitoyablement close malgré les assauts de leurs sorts.
-Par la sainte culotte de Merlin... On est fichus?! Johan trépignait devant les lourds battants, sautillant sur ses pieds couverts de bave-de-dictionnaire. Ouuh ça va faire mal ça... ça va faire... 50... 150... points... Sa voix ne trahissait aucun signe d'inquiétude, mais un amusement consommé. Chacun...?
-Vite enlève l'écharpe, si on peut pas sortir ils vont finir par voir la supercherie et là on pourra même pas argumenter. Là, vas-y il n'y a personne ! Donne la moi j'ai une idée.
Johan s'exécuta sans piper mot. Il n'y avait personne alentours et sans l'écharpe elle avait encore une infime chance de passer pour "l'un des coupables" au lieu d'être "la grande initiatrice" du carnage littéraire qui se déroulait dans la bibliothèque...
Alyson jeta l'écharpe sur un livre d'astronomie qui passait par là en sifflant et Johan rabattit sa capuche, libérant sa tignasse de cheveux châtains qui semblèrent doubler de volume maintenant qu'ils étaient à l'air libre.
- On peut peut-être s'en sortir pour 50points... annonça-t-elle en souriant bêtement.
Chacun.
Alyson se raidit et se redressa, échangeant un regard avec les deux autres. Johan s'empressa d'effacer le sourire satisfait qui lui fendait le visage en deux.
- Plan B, on fait comme si de rien n'était ?
- Oh soyons honnêtes, y'a aucune chance pour que Lian et moi, on se fasse accuser les premiers! Je veux dire... c'est pas comme si on avait une réputation de trublions ou quoi que ce soit...
Johan haussa les épaules en souriant et remonta les manches de sa robe. Elle se glissa entre deux étagères, chassa un manuel de potions de première année d'un coup de pied et fit signe aux deux autres Gryffondor de la suivre.
- Au point ou on en est, autant faire ce qu'à dit Mlle Lecter non? Avec un peu de chance on passera pour des innocents...? Ajouta-t-elle sans conviction.
Elle s'arrêta brusquement au milieu d'une rangée, stoppée net par ce qu'elle avait aperçu de l'autre côté de l'étagère désertée d'ouvrages. Là-bas, une élève de Poufsouffle d'une petitesse ridicule affrontait sans grand résultat les livres de cours qui se jetaient sur elle. Johan désigna la scène du menton à ses deux camarades.
- On y va? Si on s'occupe d'elle, on aura l'air cool non? Elle souriait à nouveau de son air de conspiratrice. Avec cent-vingt centimètres de mignonité dans les jambes, on aura un bon gros capital sympathie à la fin du grabuge!
Et sans même attendre d'avoir terminé de parler, Johan envoya un Expulso! sur trois livres qui lui barraient la route et se fraya un passage jusqu'à la petite Poufsouffle...

Date d'inscription : 18/12/2013 Messages : 1163

C'était un tel bordel qu'on savait même plus ou donner de la tête. Enfin on.. les autres quoi.. ceux qui essaient pas de fuir les lieux de crime ni vus ni connus. J'avais pas envie d'être dans les parages quand ils ce rendraient compte que les livres de la resserves étaient eux aussi libre.. A ce niveau la c'était même plus des livres.. c'était des monstres ! J'en ai vus un passé en rampent, essayant de croquer des pied.. Un livre avec des dents ... Qui est le génie fou qui a eu l'idée d'un truc pareil hein ? Valait mieux ce tirer avant qu'il y ai un mort ! On y était presque.. Mais voilà.. je crois que ce serait simplement trop beau qu'on puisse simplement sortir d'ici sans soucis.. et s'était nettement moins drôle comme perceptive aussi.. mais vus le nombre d'heure de retenue que cet « incident » allait nous apporter.. je crois que je me serais passé de cette distraction pour le moment.
La porte voulait pas s’ouvrir.. pendant que j’envisageais sérieusement de la défoncé à grand coup de pieds, de tête ou de n'importe quoi qui me passait sous la main y compris un élève... les filles elles, surtout Alyson en faite avaient eu la bonne idée de ce débarrassé de touts indices qui pourraient nous trahir.. l'écharpe. Mais je crois que ça nous sauvera pas...

La voix de notre infirmière si charmante retentit dans toute la bibliothèque. Impossible de faire comme si nous n'avions pas entendu.. enfin surtout moi. Je m'étais figé sur place, espérant peut être que si j’arrête de bouger je devienne subitement invisible... mais faut pas trop rêvé.. Bon. Au moins c'était pas pour m'accuser, ou m’engueuler.. mais on y viendra peut être.. mon regard glissa lentement vers les deux petites tête à coter de moi... faire comme si de rien était me semblait pas très utile.. car, comme l'avait si bien fait remarqué Johan.. Il était évident, que nous serions pointé du doigt, simplement par principe !

- Ouais.. je suis d'accord.. Autant essayer de pas avoir l'air encore plus coupable.. et puis ça ce trouve elle a rien remarqué.. on peut presque passé pour des victimes qui essaient de sauvé leurs peaux.. quoi que ma simple présence à la bibliothèque soir assez suspect....

C'est vrais que je n'étais jamais à la bibliothèque.. Alors.. pour une fois que j'y suis.. comme par hasard.. c'est l'anarchie.. Je sens que ça va me retomber dessus tout ça, alors qu'en plus j'ai vraiment rien fait cette fois ci !.. Tout ça me les brises grave, mais bon, comme l'ont dit les filles. Essayons de nous rendre utiles.. Avec de la chance ça jouerait en notre faveur, et puis comme j'étais même pas certain que quelqu'un ai vraiment vus Jo la fausse Serpentard mettre le bordel.. On est innocent tans qu'on peut pas prouver le contraire ! Profitons en !

- Vous en faite pas ! Je gère la situation. Capitaine Jenkins à la rescousse. Derrière mois mes mignonnes, vous allez voir ce que c'est qu'un justicier en action !

Posture héroïque, il me manquait plus qu'un costume qui en jette et un acolyte pour que ce soit parfait. Quoi que j'avais toujours Johan et Alyson qui seraient parfaites pour ce rôle. D'ailleurs Johan avait littéralement foncé vers une petite poufsouffle en difficulté. Elle perd pas une seconde elle... Baguette levé, elle envoya valsé les livres qui voulaient s'en prendre à al petite demoiselle, me volant la vedette au passage hein..

- Hé ! J'ai pas encore dit à L'assaut ! Tu fais une très mauvaise acolyte Penney !

Bon elle venait de sauvé la petite miss mais c'est pas une raison. Ca bousille complètement monj intervention ! C'est qui le sixième année ici hein ? Mais j'allais pas lui laisser faire tout le travail pour s'attirer toutes les félicitations. Et puis quoi encore. En trois bond et une roulade tout à fait inutile, j'avais rejoins les deux jeunettes avant de sauté vaillamment dans un tas de livres sur l'Arihmancie à travers les ages...

- Je vais vous faire prendre l'air moi ! Après ce jeux de mot totalement naze, j'avais brandit ma baguette vers les livres en criant la formule bien fort. Ventus !

Un tourbillon d'air fit son apparition, emportant les livres dans une tornade de feuille et de vent. C'était presque beau.. mais je sais pas si provoqué une véritable tempête dans un endroit si restreint était une bonne idée... En me rendent compte de ce léger détail. Je m'étais précipité vers la première fenêtre à ma porté pour l’ouvrir et y laisser la tornade s'y engouffré, emportant les livres qui dégringolèrent jusqu'en bas... j'espère que personne n'a eu la bonne idée de faire la sieste sous les fenêtres sinon il allait avoir une sacré surprise.

- Et voila ! Bon vent ! Ahaha.. vous avez compris ? Vent.. tornade... Allez c'était drôle quand même.

Je crois que l'heure était pas vraiment à l'humour.. le courant d'air finissait de s’essouffler, faisant volé nos cape dans tout les sens ce qui nous donnait sûrement l'air encore plus cool et héroïque à cet instant... Je suis certain que c'est ce qu'ils ce disent tous d'ailleurs. On venait de sauvé une innocente et terriblement mignonne petite première année ainsi que deux trois jeunes qui traînaient pas là. On ne pouvait plus nous accuser après un sauvetage aussi classe.
Mission accomplie !

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