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 [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford

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MessageSujet: [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford   [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford Icon_minitimeMar 24 Mar - 9:48



Bonne tenue obligatoire

Marchant dans les couloirs, je me hatais vers la salle d'Histoire de la Magie où j'étais attendus par le Professeur Lawford. Le couvre feu sonnait dans quelques heures donc je pouvais vaquer à mon gré. Cependant, je ne devais pas flâner, mon professeur mettait un point d'honneur à la ponctualité et je me devais de la respecter. Surtout au vu du cours qu'il allait me prodiguer, un cours de bonnes manières pour être dans le futur une convenable ladies comme je lui avais demander quelques jours plutôt. Mon choix s'était orienté vers lui car il était toujours habiller de amnière distinguer. Pour moi, c'était l'archétype du gentleman habile en société. Mais le convaincre n'avais pas été chose facile et il m'avait fallu user de moult argument pour qu'il accepte.
En effet, j'était allé le rejoindre à son bureau à la fin de l'un de ses cours tandis que mes camarades s'égaiaient le plus rapidement possible vers le couloir, heureux de s'évader d'un cours qu'ils jugeaient ennuyeux.
A vrai dire, je ne le comprenais pas. C'était un cours très interessant à mes yeux, et puis c'était très stimulant étant donné que l'on devait prendre des notes, chose que je faisais avec zèle pour ensuite les partager avec mes camarades rouges.
Mais trêve de digression, je m'était retrouver devant le bureau du professeur Lawford, professeur qui me regardait avec un air surpris, voir même résigné à l'idée de faire face à une ribambelle de question concernant la guerre des trolls et géants de 1783. En témoignage de cette guerre, un champ de pierre subsistait en France, en Bretagne plus précisément. Il s’appelait Carnac. Les moldus ne savais pas pourquoi il était là, si seulement il se donnait de la vérité, que c'était un cimetière de troll, les pauvres. Mais cessons de divaguer à nouveau, Monsieur Lawford attendait.

-Bonjour Monsieur, votre cours était passionnant au plus haut point...

Houlà, à croire qu'un dragon se cachait derrière moi au vu de sa tête effaré, mine qui s'effaca quand j'eu finis ma phrase.

-...mais je ne viens pas vous voir pour cela. En vérité, je souhaiterais que vous m'appreniez les bonnes manières et l'attitude à avoir en société.

Voilà, c'était dit, et au vue de sa tête, il n'était pas d'accord. Ne voulant pas qu'il refuse, je repris la parole.

-S'il vous plait Monsieur, acceptez. Vous êtes le seul à qui je peut demander car vous êtes le plus distingués des professeurs de Poudlard. Je vous promet que je m'entrainerais dur pour vous satisfaire.

Je lui montrai ma détermination et ma motivation de toute les manières possibles, restant toutefois dans la retenue et cela finis par payer. Il accepta de m'enseigner. A ce moment là, un immense sourire traversa mes lèvres et je m'inclinai devant lui.

-Je ne vous déceptionnerai pas, merci monsieur.

M'inclinant devant lui, je sortit ensuite de la pièce pour déposer mes affaires dans mon dortoir.


Mais revenons à l’instant présent, je me trouvai devant la salle d'Histoire de la Magie. Ôtant les plies de ma jupe d'un revers de la main et recoiffant correctement mes cheveux, je toquais à la porte avant d'entrer.

-Bonsoir Professeur Lawford, c'est Mademoiselle Blackstone.

J'étais en avance de quelque minute, je comprenais donc qu'il ne soit pas encore présent. Mais il ne devait toutefois pas éloigne de moi car sa croup accouru vers moi. M'accroupissant, je la caressais doucement en souriant.

-Bonsoir Melle Gunhilda, comment allez vous en cette magnifique soirée.

Me redressant, j'otai de nouveaux plies et attendis l'arrivé de son maitre.

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Isaac Lawford
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MessageSujet: Re: [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford   [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford Icon_minitimeMar 14 Avr - 11:38

Comme à leur habitude, les quatrième année n'avaient rien écouté de ce que je leur avais raconté. Je crois que de toutes mes classes, celle-ci était la pire : les adolescents n'ont plus la curiosité des enfants, et pas encore l'intelligence des adultes. Par conséquent... ce sont pour l'immense majorité d'entre eux des petits crétins. Heureusement, il y a quelques exceptions. C'est néanmoins avec un certain soulagement que je les regardais sortir de ma salle de classe dans le désordre le plus total. Je m'affairai quelques instants à mon bureau, rangeant mes dossiers, quand je sentis une présence dans la place. Relevant la tête, je vis Miss Blackstone qui me regardait d'un air qui devait se vouloir respectueux.

- Oui, Miss Blackstone, que puis-je pour vous ? demandai-je, toujours soucieux de maintenir ma réputation de professeur soucieux de ses élèves.

- Bonjour, monsieur, répondit-elle. Votre cours était passionnant au plus haut point...

Bon. La petite flatterie d’entrée de jeu était très claire : Miss Blackstone avait, soit quelque chose à se faire pardonner, soit un service à me demander. Ou peut-être les deux, maintenant que j’y repensais…

- … Mais je ne viens pas vous voir pour cela.

Le contraire m’eût étonné, ma chère, songeai-je à part moi…

- En vérité, je souhaiterais que vous m'appreniez les bonnes manières et l'attitude à avoir en société.

Je m’étais attendu à un large panel de possibilités allant d’une demande de participation aux cours du soir à l’aveu d’une grossesse indésirée (mon imagination part vite, dans ces cas-là…), mais certainement pas à ça. En cinq ans d’enseignement, je n’avais encore jamais eu droit à ce qu’un me demande de lui enseigner les règles de la courtoisie.

- Que je… pardon ?

- S'il vous plait Monsieur, acceptez, insista-t-elle. Vous êtes le seul à qui je peux demander car vous êtes le plus distingué des professeurs de Poudlard. Je vous promets que je m'entraînerai dur pour vous satisfaire.

J’étais partagé entre irritation face à la futilité de la démarche, amusement devant son air sincère et innocent, et satisfaction à l’idée que cette sang-mêlé puisse vouloir améliorer un peu ses manières de roturière. En même temps… ne risquais-je pas d’en faire une parvenue ? A se voir enseigner la politesse par un Lawford et à singer les manières de l’aristocratie, Miss Blackstone, dans l’aveuglement de sa jeunesse, ne risquait-elle pas d’être saisie d’une folie des grandeurs, de commencer à rêver d’une vie et d’un statut qui n’étaient pas les siens ? S’il y avait une chose que je ne pouvais pas supporter, hormis les traîtres à leur sang, c’étaient bien les nouveaux riches.

J’hésitai quelques instants, pesant prudemment le pour et le contre, puis, non sans une certaine réticence, je me rangeais à l’idée qu’après tout, si cette jeune fille exprimait un tel désir, c’était probablement dans une louable intention et qu’il valait mieux accéder à sa requête. Mais je ne pouvais m’empêcher de me demander si je n’allais pas perdre mon temps pour un résultat franchement négatif. Enfin, advienne que pourrait…

- Oui, bon, hum, n’en faites pas trop, ce n’est pas nécessaire, répondis-je. Evidemment, que je peux vous apprendre les bonnes manières, ce serait même un plaisir : vous êtes la première à me demander une chose pareille, et je m’aperçois que c’est bien dommage. Après… je dois vous avouer que je suis un peu pris de court par votre demande, je ne sais pas trop par où commencer… Ecoutez, retrouvez-moi ici-même ce soir à 8h. Si vous croisez un membre du personnel qui vous dit de retourner dans votre dortoir, dites-lui que vous venez de ma part et, au pire, amenez-le moi, je lui expliquerai tout. Pour l’instant, j’ai du travail. A tout à l’heure, donc.

- Je ne vous déceptionnerai pas,promit-elle. Merci monsieur.

C’est ça, ne me « déceptionnez » donc pas, songeai-je dans un soupir en la regardant s’éloigner.

Ce soir-là à vingt heures, je passais donc de mon bureau à ma salle de classe. Quand j’entrai, Miss Blackstone était déjà là, qui parlait d’une voix douce à Gunhilda en la caressant. Rendu d’assez mauvaise humeur par la perspective de perdre ma soirée à regarder la jeune Gryffondor faire des courbettes, je n’étais aucunement disposé à la laisser faire des papouilles à ma croup. Gunhilda n’était pas un objet à la disposition du premier venu.

- Ah, Miss Blackstone, lançai-je d’un ton sec. Vous êtes là... Bien.

Je m’approchai et, d’un coup d’œil critique, jaugeai la tenue de mon élève. Bon, pas grand-chose à redire, ça allait. Un bon point pour elle. Les choses n'allaient peut-être pas être si terribles, après tout...

- Alors… Je vous avouerai que je ne sais pas trop par où débuter, Miss Blackstone… Que souhaitez-vous apprendre en priorité ? Le maintien ? L’étiquette ? Le gotha ? Le vocabulaire ? Ce ne sont pas les sujets qui manquent… Je pense que le plus simple serait que vous commenciez par me dire comment vous voyez la politesse, à quoi vous pensez qu’elle sert, et pourquoi vous souhaitez l’apprendre.
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MessageSujet: Re: [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford   [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford Icon_minitimeMar 14 Avr - 12:49



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Je regardais mon professeur s'avancer vers moi, l'air passablement énervé. En tout cas son ton était rude, j'allais devoir marcher sur des oeufs.
Quand il me posa la question de ce que la politesse représentait pour moi, je réfléchis très sérieusement au mots qui pourrait lui rendre justice. Une fois mon opinion fait, je lui soumis.

-Veuillez pardonner mon délai de réflexion, mais je cherchais les mots qui pouvait lui rendre justice. Pour moi la politesse est un ensemble de règles qui permettent de vivre en société. Elle correspond à l'art sacré de savoir se tenir en société tout en retenue pour ne pas importuner les autres. Il s'agit de respecter les us et coutumes de nos interlocuteurs pour ne pas les offusquer et les mettre en situation de gêne.

Observant une pause, je repris ensuite la parole.

-Je souhaite apprendre la politesse car elle est primordiale, et cela dans toute les situations de la vie courante. Sans elle, le monde serai un vrai chaos régi par l'irrespect le plus total. C'est pour cela que je fais appel à vous pour que vous me les enseignez. Je veut savoir bien me comporter parmi mes contemporains et ainsi ne pas les importuner.

Je restai droite face à lui, le regardant dans les yeux d'un air sincère, aucune lueur de malice ne régnant dans mes pupilles. J'avais penser tout ce que j'avais dit et ma demande était une vrai demande, pas une plaisanterie.



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MessageSujet: Re: [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford   [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford Icon_minitimeJeu 16 Avr - 14:28

Une définition assez juste du savoir-vivre, ma foi, mais quelque-chose dans ce qu'elle dit faillit m'arracher un petit rire ironique. Je m'appuyai sur mon bureau, la regardai d'un oeil sarcastique et répondis :

- Hum… le monde est déjà un chaos régi par l’irrespect le plus total, vous savez... Mais, oui, vous avez tout à fait raison : ce serait encore pire si nous n’établissions pas certaines règles de vivre-ensemble. Certains y voient de l’hypocrisie, et peut-être n'ont-ils pas tort… mais c’est cette hypocrisie qui fait que nous sommes plus que des bêtes. Sans politesse, il n’y a plus d’humanité. Quant à ce qui est de ne pas importuner vos contemporains, ne vous inquiétez pas, partie comme vous l’êtes, ce seront plutôt eux qui vous embêteront que l’inverse. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas faire d’effort, et en cela, votre démarche est très louable.

En rajouter un peu ne pouvait qu’aider la leçon à rentrer. Je n’avais nulle envie de maintenir Miss Blackstone dans les faux-semblants, ni de la ménager : c’était elle qui avait choisi de prendre des « cours » auprès de moi, qu’elle en assume les conséquences : j’allais lui expliquer les bonnes manières pour ce qu’elles étaient, un moyen de se fortifier contre les vicissitudes de l’existence, pas lui faire croire que nous vivions dans un conte de fée. En même temps, le petit compliment que je venais de lui adresser était destiné à apaiser un peu tout ceci.

En parlant de cela... il était temps d'entrer dans le vif sujet. Je me redressai et dis d'un air volontairement solennel :

- Et tout d’abord, commençons avec la règle la plus importante du savoir-vivre: ne jamais écraser les autres de votre supériorité, ne jamais les mépriser, ne jamais leur faire sentir que vous êtes consciente de posséder quelque-chose qu’ils n’ont pas. C’est la règle la plus importante, oui… et c’est aussi celle qu’il est le plus facile d’oublier ! Je ne vais pas vous mentir : même le plus parfait gentleman, même la plus parfaite dame, dans un instant d’égarement, de vanité, est susceptible de se laisser emporter et de tirer fatuité de sa bonne éducation. L’important n’est pas là : tout le monde a ses moments de faiblesse. L’important, c’est d’en être conscient et de regretter le comportement que l’on a eu aussitôt que l’on a pris conscience de son incorrection. La perfection ne peut pas être atteinte, et le chemin qui y mène est semé d’embûches. Et pourtant, ce qui compte, c’est d’avancer.

Je fis une petite pause, autant pour lui laisser le temps de digérer mes paroles que pour m’accorder un bref délai de réflexion, puis j’ajoutai :

- Si vous êtes d’accord, je vous propose de commencer par les formules de politesse, c'est-à-dire la façon dont il convient de s’adresser aux gens. J’ai notamment remarqué que vous utilisiez assez fréquemment le terme de « sir », miss Blackstone… or, les « sirs » sont des roturiers ou des nobles de basse extraction auxquels un titre a été accordé par le roi. Et comme il se trouve qu’il n’y a pas de roi chez les sorciers… il n’y a pas de « sirs » non plus ! Hormis, bien évidemment, sir Nicholas de Mimsy-Porpington, le fantôme attitré de votre maison, mais son titre remonte à une époque où le Code du Secret n’avait pas encore été adopté et où les magiciens pouvaient librement briguer des places dans la société moldue. Mais aujourd’hui… il n’y a que des « misters ». Ou des professeurs, bien évidemment, précisai-je avec un fin sourire. Donc, dans le même ordre d’idée, comment vous adresseriez à une femme mariée, à une femme non mariée, etc. ?
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MessageSujet: Re: [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford   [1943 - Janvier] Bonne tenue obligatoire | Isaac Lawford Icon_minitimeMar 12 Mai - 10:51



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Je l’écoutai réagir à mes propos et fronça légèrement les sourcils. Profitant de l’une de ses pauses, je décidai de réagir à mon tour à ses explications.

-Veuillez m’excuser monsieur de vous interrompre, mais je ne comprends pas l’une de vos paroles. En quoi, je reprends vos propres paroles, « le monde est déjà un chaos régi par l’irrespect le plus total ». Toutes les personnes à qui j’ai eu affaire ont fait preuve de respect, que ce soit envers moi ou envers les autres. Vous pouvez expliciter cette phrase s’il vous plait ?

Cependant je le laissai finir son discours et inclina la tête en silence pour assentir à ses mots et le remercier de m’avoir adressé un mot gentil. Voyant qu’il souhaitait passer à la leçon à proprement parler, je me hâtai de m’installer à un pupitre de la première rangé avec du parchemin et une plume pour prendre des notes de ses paroles. Cela fait, je posais une nouvelle question.

-Monsieur, vous dites qu’il ne faut pas écraser les autres avec quelque chose que l’on a en plus qu’eux. Vous semblez dire que cela s’applique à tout le monde, hors il y a là un problème me concernant. Qu’est-ce que je possède en plus d’autre si ce n’est le don de magie par rapport aux moldu. Je n’ai ni éducation de noble, nom rutilant de réputation, héritage conséquent que je toucherais à ma majorité, origine de bonne famille. Je ne comprends donc pas comment je pourrais écraser les autres de ma supériorité, alors qu’à mon goût je n’en ai aucune. Loin de moi l’envie d’écraser les autres par quelque chose que j’aurais en plus, mais je ne veux pas faire d’erreur avec un élément que j’aurai sous-estimé qui ferait que je méprise d’autre personne.

Je hochais la tête à sa proposition et me tient prête à continuer ma prise de note. Cependant, cela fut en quelque sorte un exercice pratique et je posais ma plume pour l’écouter, froncant à nouveau les sourcils sur certain de ses propos.

-Veuillez me pardonner, mais je ne suis pas d’accord avec vous. Du moins je n’ai pas le même point de vue que vous. Il est vrai qu’il n’y a pas de roi chez les sorciers, ça je suis d’accord, mais je ne partage tout de même pas votre avis. Vous me demandez d’utiliser « mister » ou « professeur » hors là se trouve le problème pour moi. Pour tous mes professeurs, j’utiliserais bien sûr professeur donc je vous dirais Professeur Lawford mais prenons l’exemple de Monsieur le Premier Ministre. Je trouve moins respectueux de dire Mister Lamberston que Sir Lamberston. Pour moi il y a une marque de respect plus importante dans la deuxième appellation que dans la première. Cela me vient plus naturellement. C’est pour cela que pour répondre à votre question je dirais à une femme non mariée Miss et à une femme mariée Lady car pour moi c’est plus respectueux envers cette femme, d’autant plus si en plus d’être une femme mariée c’est une femme ayant un grand âge.

Je le regardais un instant avant de rajouter une phrase pour atténuer mes remises en cause.

-Mais loin de moi monsieur l’idée de remettre en cause votre expérience du milieu mondain, mais je veux éclaircir le maximum de point pour être sûre de ne pas faire de faux pas.


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