[Fin Janvier 1944] Un peu de vie social? {Gail MacKenzie}

L'ami Wei était en joie, venant tout juste de mettre Echec et Mat un petit prétentieux de Serpentard se croyant plus intelligent du fait qu'il soit un sang pure.
Le Philosophe venait une fois de plus de démontrer que sang-pure ne veut pas dire supériorité intellectuel. Ce fut une cuisante défaite pour le vert et argent. La partie fut plier en quinze minutes et encore ce fut long parce que l'adversaire de Wei avait laisser le temps de tour s'écouler en totalité. Le Poufsouffle avait eu tant de facilité qu'il avait même prit le temps de lire un livre pendant la parti tout en buvant un thé. Le tout exécuter dans une Synchronisation pareil à celle d'une machine moldu bien régler. Pas loin de la perfection. Même si ce n'était pas la perfection, après tout la perfection n'est qu'une notion que l'on imagine et qui nous pousse à l'excellence et pourtant on ne l'atteint jamais réellement.


Ta joie ce limite à ce simple fait? Ton orgueuil est grand.


Il y avait un autre fait à ajouter à sa joie. La veille au soir, en rentrant d'une excurtion dans la fôret interdite, le Cinquième année avait enfin recroiser sa Licorne. Il c'était bien enfoncer dans la fôret au point dans perdre les petits santier et comme souvent elle était apparue, le guidant vers la lisière pour qu'il puisse rentrer sans encombre. Il l'avait alors remercier et elle partait dans un hénissement qu'il reconnaîtrait entre mille.


Revenons au temps présent. Avant ce petit duel intellectuel avec l'ami Serpentard, Wei avait comme chaque jour fait son sport quotidien, pris sa douche, brosser ses dents, fait le tour des tableaux. Ce matin là il avait remarquer une nouveauté ou un tableau qu'il ne connaissait pas. Une dame âgé faisant du Tricot assise sur un petit banc devant une Bicoque près de la plage. Il eu un instant d'émotion en imaginant sa défunte grand-mère en faire autant. Tant est si bien qu'il finissait par discuter avec la dame, celle-ci finissant par lui apprendre les bases du Tricot. Il se disait alors que pour le prochain hiver il serait certainement capable de tricoter une jolie écharpe à sa chère Lin chérie, peut-être ensorceller histoire qu'elle baffe les idiots pas fini qui voudrait la câliner.
Il avait fini par enfin rejoindre la grande salle pour une fois à l'heure pour le repas. Déambulant jusqu'à sa place, à la table de sa maison, comme d'habitude seul avec ses pensé, bizarrement personne ne venait le voir lors des repas. Même lorsqu'il était entourer personne ne lui parler. Après le repas il restait un peu dans la grande salle, profitant de son dimanche pour se prélasser à ne rien faire... Rien hormis des parties d'échecs version sorcier avec lui-même. Ainsi débutat la petite histoire, car un des serpentard décida qu'il donnerait une leçon au Poufsouffle en l'écrasant aux échecs, se ventant même de sa victoire à venir.








Sur quoi il fit signe au prétentieux de prendre place et... vous connaissez la suite.


Rappelons que ce cher Wei ne supporte pas ce qui ce sente supérieur de par leur sang.


Le Serpentard se leva de rage et retournat auprès de ses camarades. Wei lui lançait alor sune dernière pique bien sentit.





Puis il remettait ses pièces d'échecs en place et après avoir sortit son journal il venait écrire dessus.

Curiosité? Voilà bien une qualité qu'il apprécie venant d'une fille studieuse.

Wei était donc là tranquillement en train d'écrire dans son journal intime offert par sa chère sœur de cœur Keira. Déposant une trace écrite de sa satisfaction du moment suite à l’événement précédent, la défaite du Serpentard. Ce fait peut sembler des plus insignifiants pour bon nombres d'élèves mais pas pour le Philosophe. Trop fier d'avoir littéralement écraser le sentiment de supériorité intellectuel du vert et argent de par le prétendu sang supérieur qu'il possédait.

Non vraiment, Wei était en cet instant emplie d'une grande satisfaction. Pourtant rien ne transparaissez sur son visage si inexpressif hormis pendant un laps de temps excessivement fugace, un sourire narquois et sadique. Nul besoin pour le Poufsouffle d'un ricanement sonore pour accompagné son brève expression, le simple fait qu'il en affichait une, fut en soit, plus rabaissant qu'un contentement sonore.

Avouons-le, il est tout de même très agaçant, si ce n'est énervant de voir un être dit inhumains et dénué d'émotions afficher pareil expression sur son visage si neutre. Le cinquième année sentie une présence à sa droite alors qu'il finissait d'écrire dans son journal intime. Refermant son ouvrage personnel il écoutait alors la voix de la présence en question. Voix féminine, connu. Miss MacKenzie, quatrième année, Gryffondor et une élève excellente. Le genre de personne que ce cher Wei prenait soin d'observer à sa manière. Elle avait des traits de caractère déplaisant mais dans l'ensemble elle restait une jeune fille intéressante et avide d'excellence. Le Chinois studieux c'était même une fois dit que cette soif d'excellence pourrait conduire la jeune demoiselle vers une soif de connaissance plus propice aux capacités dont elle avait pu faire preuve.


Et Lin apprend que tu as de l'intérêt pour une camarades de classe... Le drame!


Il se décidait à lui parler à son tour sans lâcher du regard son plateau d'échec, dirigeant les pièces du jeu de son index droit pour finir de les remettre en place sur le plateau.





Wei se redressait, bien droit et tournait ensuite la tête à sa droite pour plongé son regard dans celui de la Gryffondor. Il se plça un peu en biais de manière à mieux lui faire face tout en restant assis, puis il fit signe de s’asseoir à la place juste à sa droite.

Il n'allait pas laisser cette jeune demoiselle partir, pas de suite. De plus elle était venue d'elle même lui parler. Soit elle s'ennuyer ferme et avait décider de tuer le temps en discutant avec l'élève que tout Poudlard semblait trouver des plus ennuyants. Soit elle avait une réel envie de conversation avec lui, ce qui lui plaisait vraiment. Discuter avec une personne intelligente, avoir une possibilité d'en faire une proche à venir, pourquoi ne pas être heureux en ce moment? Il affichait donc un sourire de circonstance, bienveillant et chaleureux. Accueillant. Mais ce sourire ne restait pas bien longtemps sur les lèvres de Wei.


Curiosité? Voilà bien une qualité qu'il apprécie venant d'une fille studieuse.





Le cinquième année lançait suite à ses derniers mots un clin d’œil amicale sommes toutes innocents, mais déjà il entendait des murmures, des chuchotements venants des groupes alentours assis à bonne distance pour voir mais trop loin pour être entendue lors de marmonnements à ragots. Il n'en faisait pas cas pour l'instant. Attendant la réaction de la quatrième année des rouge et or.


Et voilà comment voir une rumeur se lancer... "Wei Yi, l'inhumain qui aime les filles plus jeune que lui"... Lin risque de pas apprécier ce genre de rumeur.