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 [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère

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MessageSujet: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeSam 19 Mar - 23:45

[Suite de ce post]

La plus grande rébellion capillaire de Vivian s'était toujours bornée au désintérêt marqué qu'elle portait à sa coiffure. Les cheveux rouges d'Iyad l'impressionnaient, et son crâne rasé peut-être plus encore. Le conflit qu'il avait avec ses parents - ou seulement son père ? - avait l'air plus ouvert que celui qu'elle avait avec les siens. Elle avait au moins la chance que ses parents ne lui préparent pas un mariage arrangé.

« Non en fait ça va. Ma partie de la famille n'est pas vraiment influente. Ma mère est sang-mêlée mais elle a été élevée dans le monde moldu et elle ne s'est jamais parfaitement intégrée dans le monde sorcier - parfois je suis même étonnée qu'elle se soit mariée avec mon père et pas avec un bon petit moldu. Du coup "bien né", je ne sais pas ce que ça voudrait dire pour elle. C'est sûr, j'imagine qu'elle me voit avec un homme assez riche parce que soi-disant elle se préoccupe de mon bien-être, mais elle n'a pas de folles ambitions non plus. »

Elle marqua une pause, essoufflée par tous les escaliers qu'ils venaient de monter. Elle esquissa un sourire.

« Après, j'imagine que elle aussi elle péterait un plomb si je lui ramenais quelqu'un avec les cheveux rouges et à moitié rasés ! Et sinon, euh... »

Elle fit une petite grimace. Elle avait perdu le fil de ses pensées.

« Ah oui. Mon père. C'est mon père le Lovegood mais il est assez cool... assez détaché. Et puis ils ont eu beaucoup de mal à avoir un enfant du coup il n'ose pas trop me contrarier. »

Elle eut un petit sourire d'excuse.

« Je suis un peu une enfant gâtée. Hey, on est arrivés ! »

Elle reconnaissait le heurtoir en forme d'aigle de la salle commune de Serdaigle. Elle savait que pour y entrer il fallait répondre à une énigme. Elle s'était souvent demandé si elle y trouverait la solution, et avait même failli essayer plusieurs fois, mais s'était arrêtée à la pensée de tous les Serdaigles rassemblés dans la salle qui l'auraient regardée rentrer, éberlués. Elle avait hâte de savoir ce que le heurtoir allait demander.
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Iyad Underwood
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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeDim 20 Mar - 18:08

La tolérance est la fille du doute

« Vivian Lovegood »


Au moins elle échappait à tout ces plans diaboliques que mettaient en place les parents par simple désir de gloire ou de pouvoir. Sa mère voulait la voir marié, mais elle lui donnait tout de même le choix du gaillard, évidemment s'il pouvait être riche c'était toujours bon à prendre. Épouser un gentil garçon, ce faire entretenir, lui donner plein d'enfants et vivre paisiblement jusqu'à la fin de sa vie. Merlin que c'est écœurant... pourtant beaucoup de jeunes filles ce seraient contenté de ça, et en aurait même été comblé.. Mais dommage pour Viviane.. ce genre d'avenir devait pas tellement être ce qu'elle attendait. Je crois que j'aurais été vraiment amusé de voir la tête qu'aurait tiré sa mère si elle leur avait présenté quelqu'un comme moi ! Je suis certain que dans cette condition ses parents airaient tout de même émis quelques réserves et interdictions.

Pour elle tout n'était néanmoins pas perdu, même si sa mère voulait qu'elle trouve quelqu'un à épouser, son père semblait relativement plus détendu avec la situation, je la voyais très bien être la petite fille à son papa.

« Les enfants gâtés c'est les meilleurs. »

Je lui fis un grand sourire ponctué d'un clin d’œil. Les enfants gâtés sont toujours intéressant, ils ont ce petit coté princier qui leurs va bien même si tout le monde finit par trouver ça agaçant. Je ralentissais un peu pour lui laisser le temps de reprendre son souffle, c'est vrais qu'elle n'avait pas tout ce chemin à faire tout les jours pour remonter à la salle commune. Certains maudissaient d'être à Serdaigle juste pour ça. Ça et l’énigme pour entrer quand les autres ce contentent d'un mot de passe, chez les bleu c'était plus compliqué que ça.

Nous arrivions devant le heurtoir de la porte. Comme à chaque fois que quelqu'un essai d'entrer il posa son énigme et ne s'ouvrira qu'une fois la bonne réponse obtenue. Qui est apparu en premier, le phénix ou la flamme ? Mon regard ce tourna vers Vivian , un peu curieux de voir si elle trouverais seule la réponse.

« Techniquement n'importe qui peut entrer tant qu'il a la réponse. Avec le temps les énigmes ce répètent bien entendu mais il faut quelques années avant d'être plus à l'aise.. Je te laisse imaginer le nombre de premières années qui restent coincé devant la porte. Les préfets sont obligé d'aller les chercher avant le couvre feu histoire de pas les laisser dormir dans le couloirs ! »

Nev détestait ça, parfois il fallait même le pousser un peu pour qu'il y aille et qu'il fasse son travail, je ne me lassais jamais de ce spectacle et ne m'en cachait jamais qui plus est. Mais il n'y vait pas que des premières années, y'avait aussi des gens simplement nul en énigmes, ça m'était arrivé une ou deux fois de devoir attendre que quelqu'un vienne avec la bonne réponse, heureusement pour moi, vagabonder dans le château et même y dormir étaient loin de me poser problème !

«  Alors ? Tu veux tenté ta chance ? Va y. »




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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeMer 23 Mar - 20:51

Vi fut rassurée de la remarque d'Iyad sur les enfants gâtés. Elle avait craint qu'il ne la juge ou lui en veuille d'avoir plus de chance que lui, alors qu'il semblait avoir des relations difficiles avec ses parents.

Elle hocha la tête impatiemment tandis qu'il expliquait le fonctionnement de la porte. Elle savait déjà tout cela. Elle se rendit compte trop tard que le geste pouvait sembler très impoli - mais après tout elle n'était pas une petite fille modèle.

« C'est étonnant quand même, ce n'est pas très sûr ?! Vous n'avez jamais des élèves d'autres maisons qui débarquent ? Il n'y a quand même pas que les Serdaigles qui ont du talent pour les énigmes. »

Elle fut évidemment enchantée lorsqu'il lui proposa de répondre elle-même à l'énigme. Elle trépignait tellement qu'elle eut du mal à comprendre la question la première fois et dût la répéter à voix haute pour prendre le temps d'enregistrer les mots.

« Qui est apparu en premier... le phénix ou la flamme... »

Elle avait lu une histoire du même genre dans un livre... ou c'est quelque chose qu'on lui avait raconté ? Une histoire de poule et d’œuf. Elle grimaça.

« C'est un paradoxe, une question qui tourne en rond. Est-ce que la réponse est... qu'il n'y a pas de réponse ? »

Elle était un peu déçue de cette question et d'elle-même : elle avait espéré trouver immédiatement la solution de l'énigme, trouver une réponse à la fois évidente et élégante... sa répartie manquait de tout cela. Est-ce qu'Iyad aurait trouvé, lui ?
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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeMer 23 Mar - 23:41

La tolérance est la fille du doute

« Vivian Lovegood »


Elle avait l'air contente que je la laisse essayer. C''est vrais que c'était risqué de laisser entrer n'importe qui ici mais encore fallait il trouver la bonne réponse, et surtout, avoir envie d'y entrer ! Quand on y pense aucune salle commune n'est réellement sûre. Pour les Gryffondor il suffisait de laisser traîner ses oreilles prêt du portrait de cette grosse dame agaçante.. Les Serpentards étaient plus embêtant à changer toutes les deux semaines, quand aux Poufsouffles, il fallait retenir ou frapper et à quel rythme, c'était pas le plus difficile, mais certainement le plus chiant ! En plus de rester devant la porte, on ce faisait aspergé de vinaigre...

Je la laisse réfléchir à voix haute, ce répétant la question une fois et l’étudia avec sérieux. Elle avait de l'esprit, c'est vrais que le choixpeau avait hésité à l'envoyer chez Serdaigle, je suis certain qu'elle y aurait eu sa place sans soucis, ça manquait peut être un peu de précision néanmoins.

« C'est vrais, c'est une question qui tourne en rond. Le phénix et le feux sont lié, il né des cendres et meurs dans une flamme, mais pour avoir des cendre il faut qu'il y ai eu une flamme. Il répète le même cycle encore et encore, comme...  une boucle en quelque sorte... Un cercle infini, et le cercle.. hé bien le cercle, n'a simplement pas de commencement... »

Le heurtoir félicita cette réponse et laissa la porte ce déverrouiller dans un cliquetis de serrure qui résonna dans la couloir. D'un geste gracieux de la main, je l'invitait à entrer en poussant la porte qui dévoila la salle commune toujours aussi calme depuis une semaine. Je crois même que nous étions seul, les rares Serdaigles présent n'étaient soit pas rentré, soit déjà dans leurs dortoir, on pouvait ce balader tranquillement sans craindre de remarque, de toute manière personne n'était assez chiant pour ça. Un feu crépitait lentement au centre de la salle, la pièce était baigné par la lueur des chandelles ainsi que celle des étoiles, on pouvait apercevoir le ciel à travers les grandes baies vitré qui donnaient directement sur le parc et le lac. Je crois que je ne me lasserais jamais de cette vue. Un escalier menait à une mezzanine qui contenait toujours plus de bibliothèques et quelques tables pour, les murs qui n'étaient pas des fenêtres étaient eux couvert de bibliothèque, il y'en avait deux plus grosses que les autres qui contenaient une porte dérobé, chacune menaient aux dortoirs. A droite pour les filles, à gauche pour les garçons.

« Voilà ! Alors, qu'est ce que t'en dis ?  Et encore, c'est plus impressionnant quand y'a du monde, y'a toujours des livres qui ce balades au dessus de nos têtes allant d'un coins à un autre..»

Ici la pièce elle même semblait s'endormir, je fis quelques pas en direction des fauteuils de velours  et la tira un peu plus dans la pièce pour refermer la porte derrière moi et enfin reposer Ifrit au sol, son premier réflexe fût de gambader en couinant, peut être un peu fâché que je le déloge de mon cou et décida d'investir un fauteuil complet pour lui tout seul. Il est pire que moi..

«  Alors.. C'est mieux que dans ton imagination ou pas ? Peut être un peu.. snob. »



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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeDim 3 Avr - 18:56

La porte ne s'ouvrit pas à la réponse de Vivian, qui en fut déçue. La réponse d'Iyad la frustra encore davantage : c'était à peu près ce qu'elle avait dit ! Si seulement elle avait un peu mieux cherché ! Elle était trop bête pour Serdaigle, finalement...

Elle passa néanmoins la porte qui venait de s'ouvrir. La salle commune était très différente de celle de Poufsouffle. Elle n'était pas aussi accueillante ; le plafond haut en imposait trop pour cela. La vue était sublime, mais pas aussi réconfortante que les petites fenêtres si lumineuses de la salle commune de Poufsouffle.

« C'est très beau... je dirais que ça donne envie de réaliser de grands projets. J'aurais envie de venir ici quand je suis en forme pour y trouver une ambiance d'ébullition intellectuelle. Mais quand je suis fatiguée ou triste, je préfèrerais ma salle commune. Ici... j'aurais l'impression qu'on ne pardonne pas la faiblesse. »

C'était peut-être vrai, d'ailleurs - bien que Serdaigle ne soit pas Serpentard. Il n'était que naturel que les salles communes de chaque maison reflètent l'esprit de leur fondateur. Elle grimpa sur la mezzanine - elle aimait bien les mezzanines, c'étaient comme des petits recoins protégés, et le plafond y paraissait moins haut.

« Je me demande si elles ont beaucoup changé depuis la création de Poudlard » demanda-t-elle soudain, suivant le fil de ses pensées.

Oubliant déjà cette digression, elle laissa courir sa main sur une rangée de livres.

« Vous ne devez même pas avoir besoin de venir à la bibliothèque. Enfin ça paraît logique : les Serdaigles doivent pouvoir travailler toute la nuit. »

Elle redescendit en trottinant de la mezzanine et se laissa tomber dans un fauteuil près d'Iyad.

« Et sinon les élèves sont sympas ? »
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Iyad Underwood
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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeJeu 7 Avr - 11:38

La tolérance est la fille du doute

« Vivian Lovegood »



La découverte de la salle commune sembla rapidement effacer la déception de ne pas avoir réussit à ouvrir la porte. Elle prit quelques instant pour contempler les merveilles de cet endroit, s'autorisant même a grimper la mezzanine pour y trouver encore plus de livres. Mon regard la suivait distraitement et je ne pu retenir un sourire à ses propos, y'avait certainement beaucoup de vrais dans ce qu'elle disait. Les plus ambitieux restaient les Serpentard mais les Serdaigle ce défendent bien aussi, et puis notre esprit curieux et notre coté érudit ce ressentaient bien à travers cette salle, même si c'était cliché.

« Je ne sais pas tellement si ça a beaucoup changé, je sais juste que certain livres sont très vieux, je crois même que certain datent de la création de Poudlard, mais les plus intéressants sont bien entendu gardé à la bibliothèque, et ceux encore plus intéressant ne sont pas accessible puisqu'ils sont dans la réserve et accessible qu'au sixième et septièmes années s'ils ont une autorisation. Ici c'est.. des truc plus banal en faite.. des romans aussi, des truc bizarre sur « Le non-être, le comprendre », ce genre de fantaisie.. mais y'a toujours quelqu'un que ça intéressera, c'est pour ça que c'est là. Personnellement après une journée de cours et de révision j'ai pas tellement envie de me farcir deux trois livres de plus, sauf si c'est des roman d'amour, ça c'est ma faiblesse. »

Surtout s'ils sont torride. Mais ça c'était compliqué à trouvé et puis avouer ce genre de chose n'était pas décent, de toute manière j'aimais cultiver ce mystère et surprendre les gens avec. Je me demandais si Juliette avait apprécié le cadeau que je lui avait fait. Quoi de mieux qu'une histoire sensuelle et romantique pour perfectionner son anglais.. et je savais qu'elle demanderait de l'aide à Nevender alors.. . C'est surtout ça qui était amusant.

Mon regard ce reporta sur elle quand elle ce posa juste à coté de moi et ce perdi quelques seconde le temps d'une réflexion.

« Je dirais qu'ils sont sympa ouais, certain plus supportable que d'autre. J'imagine que la... bonne humeur... d'Oak ne t'as pas échappé. Heureusement qu'il n'est pas comme ça trop souvent, le pire c'est quand il est avec Houston. La française. Tu sais qu'elle a du sang de vélane. j'imagine que tu vois de qui je parle, elle et sa sœur ne passent pas inaperçus ici.. Sinon si tu oubli ceux qui ce qui ont tendance à ce prendre pour Merlin en personne ou ceux un peu trop pédant.. on est franchement cool. Mais comme je te l'ai dis j'aime pas tellement les généralité. J’apprécie tout autant les Serpentard et les Poufsouffles.. ou les Gryfondor, ils sont pas désagréable à regarder, enfin jusqu'à ce qu'ils ouvrent la bouche. Souvent c'est décevant.»


Je me permis un rire, en même temps, les Gryfondor de notre année étaient un très bon exemple. Que ce soit Sutherland, Brown ou Lindley... On peut pas tellement dire qu'ils brillent par leurs intelligence..

« Mais je crois que ma côte chez les Poufsouffle est en chute libre depuis deux trois mois.. Au faite.. c'était qui cette fille.. celle dont tu étais amoureuse ?  Enfin, si le sujet te dérange, on est pas obligé d'en parler, je suis juste curieux. Comme toujours en faite. »


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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeLun 2 Mai - 19:53

Vivian fut assez étonnée d'apprendre qu'Iyad aimait les romans d'amour, Il avait l'air si cynique ! Mais d'une certaine manière cela pouvait se replacer dans l'anti-conformisme du Serdaigle : un garçon qui aimait les romans d'amour !

Elle n'appréciait pas tellement Oak. Il était... joyeux, oui, mais il pouvait aussi être tranchant sans prévenir. Elle détestait les personnes méchantes, et le fait que l'acidité d'Oak soit imprévisible le rendait inquiétant.

Quant à Houston, bien sûr qu'elle l'avait remarquée. Elle était sensible au charme des vélanes comme n'importe quelle personne attirée par les filles.

« Difficile de ne pas voir de qui il s'agit, en effet. »

Elle laissa échapper un petit rire aux Gryffondors « pas désagréables à regarder ».

« Oh, tu es injuste. Je suis sûre que beaucoup de Gryffondors sont très intelligents. »

Elle ne parvint cependant pas à trouver d'exemple. En fait, elle ne les fréquentait pas beaucoup.

« Ta côte est en chute libre... à cause de Stephan ? Ou il y a autre chose ? »

En chute libre. Dans le contexte, c'était un très mauvais jeu de mots.

Elle soupira. « C'était une fille de Poufsouffle. Elle est en septième année maintenant. Elle s'appelait Ann, je ne sais pas si tu l'as remarquée, elle était plutôt discrète... Mais très jolie, yeux noisettes, anglaises châtain clair. »

Et le plus beau des sourires - y repenser lui serrait le cœur.

« Bref, elle est sortie avec un garçon de Serpentard et j'ai abandonné. Je l'ai un peu perdue de vue depuis, ou j'essaie. Et toi alors, il y a un garçon ? Moi aussi je suis curieuse. »
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MessageSujet: Re: [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère   [1943 - Décembre - Le 29] Si nous jetions cet uniforme, tu pourrais être mon frère Icon_minitimeDim 8 Mai - 10:55

La tolérance est la fille du doute

« Vivian Lovegood »



Stephan était certainement une des raisons qui marquait mon impopularité chez les jaunes ces derniers temps. Ça et Charlie qui ne ce décide toujours pas à arrêter d'être un idiot. Mais je ne m'en portait pas plus mal peut être ? Les histoires et les prises de tête inutiles finissent par me donner mal à la tête. Je lui fis un sourire en haussement vaguement les épaules. C'était inutile de parler de Stephan une fois de plus, tout le monde ne parlait que de ça s'en devenait exaspérant et puis ses histoires de cœur brisé étaient bien plus intéressante que n’importe quel ragot sur le capitaine des jaunes.  J'étais pas surpris qu'elle ai remarqué les Houston, si leurs charme n'a pas tellement d’efficacité sur moi, pour cette pauvre Vivian ça devait être tout le contraire. Heureusement qu'elle n'est pas à Serdaigle, elle aurait due vivre tout les jours en craignant les décharges de phéromones des deux demoiselles. Au moins il y avait une certain ambiance depuis leurs arrivé. De la rivalité viril et quasi puéril. Même Nevender s'y mettait. Ça valait le coup d’œil.

Mais son coup de cœur était de Poufsouffle tout comme elle., sa description me disais vaguement quelque chose mais j'avoue me souvenir surtout des garçons que je croise. Elle a eu le regret de la voir finir avec un Serpentard. C'est le genre de chose qui arrive malheureusement et c'est mille fois plus vrais dans notre cas. Du moins ça l'était pour moi car il fallait bien admettre que je n'avais pas à me plaindre ces derniers temps.

« Effectivement il y'a un garçon en ce moment. Il est Serpentard, cinquième année, il s’appelle Glenn je crois que ton cousin le connaît. Ça fait quelques temps qu'on est ensemble même si ça avait pas très bien commencé. Avant lui les garçons que j'ai connus c'était plutôt le genre .. qui ce cherche, ou, pour essayer. Alors c'était jamais tellement sérieux mais ça ne me gênait pas plus que ça, et puis maintenant je n'ai plus a me plaindre. »

Enfin si. En ce moment étant donné qu'il était loin de moi, mais c'était surtout parce que je suis capricieux et que ça finit par me frustrer de devoir attendre son retour. Heureusement que j'avais de la distraction, comme Vi ce soir.

«Tu lui avait dis ? A cette fille je veux dire... tu lui avait parlé de tes sentiments, ou de ton attirance ? »

J'étais curieux de savoir si elle avait osé ou si elle s'était contenté de l'observer de loin dans l'espoir de ce faire remarquer. C'est souvent comme ça que ça ce passe malheureusement.


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