[Fin Décembre 1943]Un Lac, l'Hiver et deux Amis improbable!(Amanda)

Nous étions le jour de Noël, en milieu d'après-midi aux alentours de 14h30, le jour des joies, parfois des déceptions, tout était fonction des cadeaux reçus. Wei, élevé dans les traditions chinoises ancestrales, ne fêtait noël que depuis sa troisième année. A dire vrai le fêter c'était beaucoup dire, il envoyait des cadeaux à ses proches c'était la seule différence, pour le reste aux yeux de Wei, Noël n'était qu'un jour comme un autre. Le Philosophe était là, comme à son habitude, immobile...

Non, pas totalement immobile, mais qu'est-ce qui se passe?

En réalité c'était l'impression qu'il donnait de loin, car en s'approchant on pouvait le voir mouvoir ses bras. Wei assis, adossé à un arbre près du Lac. Dans ses mains il avait son rat Chung, qu'il caressait et nourrissait par moment. Ses jambes étaient plié en une sorte de cercle. Dedans il y avait, dans le creux, un petit encrier de poche et une plume. A côté de lui à sa droite, un petit panier vestige du transport d'un repas consommé. Wei écrivait un poème, laissant pour un moment la philosophie de côté.

Il laisse la philosophie mais il en eu fait cependant, revenons en début de journée voulez-vous!

La journée débuta à 5h et quarante-cinq minutes comme toujours pour Wei, heure exact et inchangé de son réveil. Il avait pris la peine la veille de faire en sorte que ses amis et sa sœur reçoivent les cadeaux qu'il leur avait acheté. Une chance, ils étaient tous dans l'école pour ses vacances, même Keira. Il partit prendre sa douche puis mit sa tenue de soldat chinois pour faire son sport pour revenir à la douche comme toujours à 7h20 et aujourd'hui en revenant dans le château il constatait qu'il y avait du mouvement, preuve qu'on était à Noël, tout autres jour durant les vacances, peu seraient levé.

Après sa seconde douche il passa par la grande salle pour prendre de quoi petit-déjeuner, mais ce fut un passage très bref, tel une soudaine bourrasque hivernal. Il mangea pendant son trajet vers la Bibliothèque et ne sorti de celle-ci que vers midi. Il se rendit à son dortoir pour prendre un petit panier et de quoi écrire. Embarquant Chung au passage, il récupéra de quoi faire un repas dans la grande salle et reparti aussitôt comme il l'avait fait le matin, direction le Lac.

Une fois sur les berges du Lac, Wei chercha un moment où se mettre, ce fut Chung qui de son petit corps blanc presque invisible dans la couche neigeuse, qui traça un sillon vers un arbre sous lequel la neige ne c'était pas trop déposé. Wei lança un Repulso sur la neige pour la dégagé et s'assoir sans se mouiller le fessier. Il s'installa et mangea tout en observant le lac se demandant si ce printemps il pourrait revoir son amie sirène dans le cas où il battrait les strangulots. Puis il se laissa allé à ses pensées, s'imaginant être un poisson ou un des strangulots qui lui donné si souvent du mal lorsqu'il plongé dans le Lac, s'occupant machinalement de son rat. Il conclu finalement sa réflexion.



Et c'est ainsi que nous revenons où nous avions commencer...

Wei était donc effectivement en mouvement et reprenant sa plume il mit un titre à son poème. A peine il eu fini que son rat escalada le bras de son maître pour se poster sur l'épaule droite, se positionnant sur ses pattes arrière il poussa un petit cris comme pour dire qu'il était près à écouté Wei lire son poème de vive voix. Le Pousfouffle posa sa plume et pris le parchemin dans ses mains.





Le rat poussa un cris puis se mis à tournoyer sur l'épaule de Wei, après quoi il s'arrêta et vint lécher l'oreille de son maître. Le cinquième année sourit dans une simplicité qui lui était bien éloigné de la complexité de ses réflexions. Wei n'avait cependant pas entendu l'arrivé d'une certaines personnes destinataire d'un de ses cadeaux, trop pris dans la déclamation de sa dernière œuvre et continua en lançant à Chung.





Wei signa le poème de son nom, puis Chung poussa un cris aigue aux sonorités chantante. Wei réagit immédiatement, ce cris là était pour une personne précise, Amanda. L'étudiant tourna sa tête pour voir autour de lui et vit alors sa précieuse Manda à sa droite en léger retrait. Il lui fit un sourire radieux.





Wei savait que l'eau et Amanda n'était pas de paire et s'inquiéta qu'elle vienne près du lac, à moins qu'il y avait assez de distance avec l'eau? Après tout l'arbre auquel étai appuyé le jeune homme était à une quinzaine de mètre du bord de l'eau. Il observa Amanda de son regard sondeur, entre inquiétude et joie, attendant.

Ce n'était assurément pas convainquant pour le Philosophe. Cette réponse démontré que quelque chose la turlupiner pas mal rien que par la présence prédominante de ce "Hmm" peut enclin à vous rassuré lorsque la personne qui vous est précieuse le met devant. Toujours analysant la réponse, le constat fut que "ouais" était loin d'un bon vieux "Oui" très vif et clair, ce qui ajoutait à la contradiction et faisait sous-entendre le contraire. Wei se leva donc après avoir plié son parchemin de poésie pour s'approché de Manda en plongeant ses yeux dans ceux de la serpentard. Cherchant à comprendre le malaise qu'elle affichait très clairement, agressant les yeux questionneur du Poufsouffle.


Pourquoi cherché à trouver des problèmes grave là où il n'y en a pas?


Elle releva la tête et leur visage était vraiment proche... Trop proche peut-être pour Amanda? Pas plus de vingt centimètre d'espace. Lorsqu'elle sortit sa main de sa poche pour montré son poignet, Wei baissa les yeux gardant sa tête fixe. Il put voir le cadeau qu'il lui avait fait, là, attaché. Il lui allait très bien, son choix avait été judicieux. Puis elle remit vivement sa main dans la poche de son manteau.





Wei laissa dès lors l'inquiétude affiché sur son visage s'envolé au loin. C'était donc ça qui lui trituré l'esprit? Rassuré Wei afficha à nouveau un sourire radieux. Il ouvrit grand ses bras et vint la serré contre lui, l'enlaçant avec tendresse. Chung profita de l'accolade chaleureuse de son maître pour venir sentir la sorcière et lui lécher, au passage, la joue pour la salué.





La lâchant, il gardait ses mains sur les épaules d'Amanda. Baissant sa tête pour mieux trouvé le regard de son amie, sourire bienveillant aux lèvres il ajouta sur un ton satisfait finissant sur l'inquiétude.





Oh! Hé! Doucement... tu as pensé qu'elle pouvait ne pas appréciée?


Il lâcha alors les épaules de la jeune fille, trop de contact physique n'était pas non plus son genre, hormis lors de salutations, de retrouvaille ou en couple, chose qu'il n'était plus depuis la seconde année. C'est alors qu'un brin d'humour lui fusa dans son esprit tellement occupé.


Dit-il en rigolant.


Le jeune homme mit fin à son éclat de rire de façon si sèche qu'on aurait pu franchement croire qu'il venait de s'énervé pour une raison quelconque, mais non. Il était ainsi, capable de mettre fin soudainement à la plupart de ses émotions aussi rapidement qu'elles avaient débutés. Une des raisons qui faisait qu'on ne le voyait pas comme un être totalement humain, après tout qui de normalement constitué décide de quand une émotion doit cessé d'agir?


Des gens asocial?...


La chaleur protectrice qui émanait naturellement de Wei en présence d'un proche repris place, de nouveau un sourire aux lèvres. Il observa d'un regard inquisiteur Amanda pour vérifié qu'elle allait bien et que sous cette couche de vêtement, elle ne tente pas de dissimulé une blessure. Pour finir il ajouta sur une tonalité somme toute très joviale.





Oh! Tu sous-entends quoi avec cette fin?

Lorsque le visage de son amie se fit plus rougeoyant, Wei se demanda ce qui lui arrivait. Totalement pas fichue de comprendre que la serpentard était en état de gêne de par sa preuve d'affection si... rapproché. Il conclue donc que cela devait être la conséquence du froid ne voyant aucunement ce qui pourrait en être la cause autrement.


Espèce d'handicapé social.


Finalement elle semblait réellement tenir à le remercié pour le cadeau. Le Philosophe était bien loin de se douté que sa précieuse amie n'avait pas l'habitude d'en recevoir, se disant qu'elle avait du avoir d'autres cadeau venant d'amie serpentard. Oui, d'amie, avec un E, Wei n'avait pas souvenir que Manda ai d'autre ami garçon que lui et autrement il aurait été au courant.


Ouai tenez-vous le pour dit!


Elle en vint alors à rétorquée sur la plaisanterie qu'il avait faite. Il la croyait facilement quand au fait qu'être malade et raté des cours ne la dérangée absolument pas, de plus elle savait que pour rattrapée elle pouvait comptée sur lui. Lui qui ne concevait pas de raté le moindre cours, la moindre minute de cours, la moindre seconde. Apprendre, gagné en connaissance, c'était son objectif ultime. Sa raison d'être actuel.

La mention de Keira le surpris quelque peu. Manda n'avait pas tort, Mèimei n'accepterai pas qu'il vienne s'infiltré dans les dortoirs des serpentards et qui plus est des filles, même si au final c'était plus son genre de faire le planton devant l'accès aux dortoirs des filles de Poufsouffle pour s'assuré qu'aucun abrutis pas fini tente de rejoindre sa sœur Lin et Keira en passant mais plus Lin tout de même. Enfin ça il ne le dirait pas.


Tu sais qu'elle sont certainement au courant l'ami?


A sa dernière phrase sa précieuse blondinette devint encore une fois rouge, peut-être plus même. Bon cette fois c'était sûr, elle avait froid mais ne le disait pas par politesse ou gêne vue que Wei n'était pas du style frileux. Pourquoi devenir rouge sinon? Il s'en voulut de l'avoir obligée à sortir le rejoindre.


Abrutit...


Après un soupir gracieux comme seul Amanda savait les faire, celle-ci tira Wei pour s'assoir là où il était à l'arrivé de la cinquième année. Alors qu'il avait prit place, Wei retira son manteau et une fois fais il eu l'extrême surprise de sentir la tête d'Amanda se posé sur son épaule. Sa chevelure dégagée un agréable parfum qui relaxa immédiatement le jeune Philosophe qui fut un bref instant tendue à cet acte. Il aimait l'odeur féminine de celle qu'il aimait. Cela le détendait, il se sentait rassuré. Il posa son manteau sur les épaules de son amie, lui ayant encore une veste par-dessus sa chemise. Oui avoir un style vestimentaire class n'a jamais tué personne comme dirait sa mère. Puis il posa sa tête délicatement contre celle de Manda mais sans laisser le poids de son crâne appuyé sur la tête de la serpentard, juste histoire de pouvoir profité de l'agréable parfum de sa chevelure d'or.
Elle lui demanda ce qu'il faisait, mentionnant Qìdí.


Oh! Oh! Serait-ce de l'amour petit Pouffy?





Amanda sembla avoir un peu froid dans un léger frissonnement que Wei ressentit au vue de leur position du moment. Il se colla alors contre le tronc de l'arbre. Son familier grimpa sur sa tête. Il plia ses jambes, genoux vers le ciel, pieds au sol et ramenant Manda contre lui passant son manteau sur elle et ses bras entourèrent la blondinette. Ainsi positionné elle aurait certainement moins froid, même si du coup il ne voyait plus son visage mais la santé de Amanda primé sur le plaisir de lui parlé face à face.
Il répondit ensuite à la dernière question.





Il colla machinalement sa tête contre celle de Manda, sans même y prêté attention, son souffle venant réchauffé la nuque de la Serpentard.


Heuu... Tu t'en mangerais une que ce serait pas étonnant!

Et quoi? N'est donc pas une excellente pour demander à emprunté un livre dans la réserve que de vouloir communiquer avec une sirènes? Qui ici-bas peu actuellement se targué de réellement cherché à comprendre ce peuple? Wei resté persuadé qu'un des professeurs lui accorderait ce droit. C'est une noble volonté qui le guide, pourquoi l'en empêché? Non, le Philosophe ne voyait absolument pas pourquoi on lui refuserait le droit d'approfondir son savoir et ses connaissances. Il était après tout du devoir des enseignants de guidé les élèves vers l'acquisition et l'appronffondissement de leur connaissances!


Les professeurs ne sont pas des serviteurs de ton égocentrisme profond!


Pourquoi diable serait-ce surprenant que des élèves préfères resté à l'école même lorsqu'ils ont de la famille? Wei concevait parfaitement cet état de fait. Il y en avait comme lui qui voulait apprendre, d'autres voulant profité du calme de l'école. Certains resté pour ne pas laissé leurs amis dans la solitude, d'autres encore uniquement pour évité les problèmes internes de leur famille. Il devait cela dit admettre que pour quelqu'un comme sa précieuse Manda, étant orpheline, que ceci pouvait être déroutant et hors de la logique même instillé par la société.

Soudain, voilà que la chevelure d'or s'éloigna de la proximité qu'il avait inconsciement installé. Elle ne retourna pas sa tête. Cherchait-elle quelque chose ayant échappé aux yeux du Poufsouffle? Wei commençat donc à scrupté attentivement les alentours, Manda, Chung et lui-même. Lorsqu'elle le remercia il esquissa un sourire très brièvement. Alors qu'elle se replaçait de façon très enfantine en apparence. L'action avait été plus brusque par contre, seulement Wei décortiquant tout cela dans sa tête, cette action fut plus lente sur le plan "impression". Un temps il se dit que ce devait être la serpentarde en elle...
Cependant en analysant tout cela plus en profondeur, il finit alors par comprendre. Enfin cela lui était monté au cerveau si l'on pouvait le dire ainsi. S'apprêtant alors à posé une question, il fut coupé dans sa lancé...


Non la honnêtement, je ne peux que salué cette preuve contredisant les ragots te taxant "d'inhumain".


Décidons, la question avant de lui répondre où lui répondre avant de posé sa propre question. Il remarqua qu'elle arrachait le peu d'herbe dégagé par le répulso qu'il avait lancé auparavant, en s'installant ici. Il décida donc de d'abord posé sa question, rapprochant une nouvelle fois son visage, l'amenant au-dessus de l'épaule droite de la jeune demoiselle, parlant pour le coup avec douceur.


Tu as enfin compris qu'elle est gênée et tu en rajoute? T'es un gros sadique en fait!




Puis il répondit en suivant à ce que Manda avait alors demandé.




Il y a des choses que l'on nomme "Tact" et "Délicatesse" ainsi que "Subtilité", je te rassures tu en semble totalement dénué mon ami.