Alan Lawford

Mise à jour 43 : Depuis un an, Alan semble s'être assagit, il n'est plus aussi arrogant et odieux, du moins ouvertement. Il ne fait plus autant parler de lui, au contraire, il semble avoir gagné en maturité dans sa relation avec son entourage. Direct, presque aimable, il ce montre sous un autre jours. Même s'il ne fanfaronne plus en persécutant ce qu'il estime moindre, il garde tout de même un visage froid et fière envers les étrangers.

Alan? On l'aime ou on le déteste. il n'y a pas de demis mesures avec lui. Ceux qui arrivent à supporter ou apprécier son caractère arrogant et suffisant ont la chance de pouvoir voir en lui quelqu'un d'attachant. Il ce fiche de ce que les autres peuvent penser de lui, à vrais dire il n'accorde pas beaucoup d’importance aux jugement d’autrui. Seul son avis est important, et, pas de chance pour le reste de l'humanité mais.. Monsieur Alan Lawford est parfait! Il aime être au centre de l'attention, qu'on le dénigre ou qu'on chante ses louanges, peut importe tans que son noms est sur toutes les lèvres. Issus d'une famille des plus vieilles et noble, il n'a absolument pas honte de sa condition et du milieu d'ou il provient. Il est riche et il aime ça. Il n'hésite pas à faire étalage de sa fortune ou de ses privilèges, allant même jusqu’à narguer sans la moindre gênes les plus démunis. Manipulateur, il profite de sa petite taille et de son air angélique pour manipuler les naïfs ou les adultes. Avec un sourire aussi angéliques, beaucoup ce font prendre au pièges. De nature mesquine et un tantinet cruel, il aime persécuter les autres à ses heures perdues (principalement les née moldu d'ailleurs) C'est un passe temps divertissant selon lui, mais il s'arrange bien évidement pour s'attaquer à plus faible que lui... N'étant pas vraiment quelqu'un de fort, il préfère ce servir de ses mots que de ses points. Une véritable langue de vipère. Bien souvent blessant, il n'éprouve jamais de remord à faire fondre en larme quelqu'un ou simplement à être odieux envers son prochain. Aprés tout.... "Ce ne sont que des mots ils ne vont pas en mourir, et si la vérité est trop difficile à accepter pour eux qu'ils aillent ce noyez dans le lac, ça rendra service à tout le monde et surtout à eux même"
Beaucoup le détestes, la plupart le haïssent, certain rêves même de le voir pendu en haut de la tour d'astronomie.. Pourtant personne n'ose vraiment lui tenir tête. Teigneux lorsqu'on le provoque, il n'hésite pas à crier sur tout les toits que sa famille est une des plus influente et qu'en un claquement de doigt il peut faire de votre vie un véritable enfer. Son père ne lui refuse rien en effet, ça tout le monde le sais, et peux d'élèves sont assez audacieux ou courageux pour tenter de ce mètre les Lawford à dos.. Enfin.. il y'a des insouciants partout..


Avoir une place au Ministère, tout comme son père. Il envisage même de le succéder un jour à la tête du département des Mystères.

La famille Lawford est l'une des plus vieille et des plus nobles. Elle partage le goût élitiste du sang. Pas étonnant qu'on ne retrouve pas un seul moldu dans cette dernière. Il est fils unique, pour son plus grand bonheur.. Son père n'est autre que Jefferson Lawford, Directeur du département des Mystères au ministère. Sa mère, en bonne épouse et mère de famille, ne travail pas et réside au Manoir des Lawford. Il a également un oncle, Professeur de l'Histoire de la Magie à Poudlard.

La famille Lawford fait parti des rares familles de sorciers à pouvoir prétendre être toujours pure, aucun sang moldu n'est venus souiller cette longue lignée. Dans le passé, on a longtemps soupçonné la famille de pratiquer la magie noire, bien n'y a jamais eu de preuve concrète. Cette dernière semble avoir étouffé plus ou moins les rumeurs à ce jour. Son père Jefferson Lawford, est l’aîné d'une famille de deux enfants, noble et influant, il fut rapidement évident que ce jeune homme serait amener à succéder à son père au sein du ministère. A peine sorti de Poudlard, il épousa Arthémise Richard, fille unique d'une famille pure malheureusement sur le déclin. Un mariage arrangé, comme beaucoup dans ce milieu, heureusement le couple semblait entretenir cette amourette depuis bien longtemps. De cet union naquis rapidement un premier enfant. Amélia. Une ravissante petite fille au grand yeux bleu et cheveux blond, la petite princesse combla de bonheur le couple durant deux merveilleuses années avant de s'éteindre. Malade et fragile, elle décéda à l'âge de ses deux ans, laissant un vide et une douleurs dans le coeur de ses parents. Quelques années noirs et moroses s'écoulèrent, jusqu'a ce qu'un heureux événement vienne de nouveau ravir la famille. Un autre enfant, cette fois, un petit garçon. Alan était né. Il avait les même grand yeux bleu que sa défunte soeur ainsi qu'une chevelure d'un blond presque trop pâle. Ses parents, toujours quelque peu torturé par la mort de leurs filles, virent en ce petit ange un nouvel espoir. Ils décidèrent que rien ne serait trop beau pour leurs fils, et qu'ils veilleraient à ce qu'il ai la plus ravissante des vies possibles, bourré d'amour, d'affection et d'attention.
Le début d'une merveilleuse vie pour le jeune Alan.

Il grandi parmi les nobles du monde. Sa famille, fière de ses origines, lui enseigna dès son plus jeune âge l'aversion et le mépris envers les nés-moldu. Il fut baigné par ces idéaux toute sa jeunesse même s'il n'en comprenait pas vraiment le sens. Son père, devenus Directeur du département des mystères au ministère, lui enseigna les valeurs traditionnel de la famille, lui jurant qu'un jour lui aussi serait amené à avoir un post important, que c'était là le destin des Lawford. Mais de tel discours n'intéressaient pas vraiment le jeune garçon, bien trop occupé à exiger tout un tas de choses de la part de ses parents. Gâté, pourris même, il développa très vite un caractère explosif. Capricieux et borné, c'est un véritable enfer qu'il faisait vivre au personnel de maison, en particulier les elfes. Sans gêne, méchant et irrespectueux, personne n'osait cependant venir ce plaindre du garnement, les rares courageux qui dénoncèrent ce comportement, furent simplement récompensé en prenant la portes ... Tout, absolument tout, lui était accordé, aussi extravagante que soit ses demandes, elles étaient accepter. Un Hippogriffe pour ton anniversaire? Le dernier balais sorti hier? Tout ce que tu voudra mon ange. L'enfant, loin d'être bête, apprit trés vite à ce servir de ce privilège, et à profiter de l'amour aveugle et débordant de ses parents pour obtenir tout ce qu'il désirait.
Son enfance ce résuma donc à une multitude de cadeaux, de caprices, d'amour et de soirée mondaines. Car les Lawford ne sont pas n'importe qui, ils fréquentaient les plus grands du pays, paradaient en soirée avec leurs confrère du ministère et tout un tas de famille plus riches et influentes les unes que les autres. Alan, contrairement à beaucoup d'enfants, adorait par dessus tout ce genre d’événements. Une nouvelle façon pour lui de ce mettre en avant, d'attirer l'attention et de briller en société. Il aimait être aimé, c'était évident..

A ses 11 ans, comme tout enfants de sorcier, il reçus la fameuse lettre de Poudlard, l'invitant à rejoindre cette école si prestigieuse. Ce fut loin d'être uns surprise, bien au contraire, il était préparé à faire son entré parmis le monde des sorciers. Une entrée qui ne passerait bien évidement pas inaperçus. Son noms était plus ou moins connus, tout comme sa famille, et le garçon n'en éprouvait pas la moindre gêne, bien au contraire. La tête haute, il rejoignis la maison Serpentard, comme ses parents avant lui. Trés vite il trouva sa place parmis les serpents, apprécier par ces derniers, détesté par bon nombre des autres. Mais peu importe. C'était un Lawford, et les Lawford ne prête pas grand interet à l'opinion d’autrui, en particulier celui des né moldu.
Malgré avoir été élevé loin d'eux, les récent événements mondiaux finissaient par avoir des répercutions sur celui des Sorciers, guerre, bombardements, toutes ces histoires ne firent qu’attiser un peu plus leurs aversion des moldu... Alan ne ce prive pas pour leurs faire savoir qu'il ne les porte pas dans son coeur, et que de tel "personnes" n'ont pas leurs place parmis les sorciers.